FIGU - Signe des temps ZEITZEICHEN 34

From L'avenir de l'humanité
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NOTE IMPORTANTE
Ceci est une traduction non officielle mais autorisée d'une publication de la FIGU.
N.B. Cette traduction contient des erreurs dues aux différences linguistiques insurmontables entre l'allemand et le français.
Avant de poursuivre la lecture, veuillez lire ce préalable nécessaire à la compréhension de ce document.



Introduction

  • Publication sporadique: 8éme Année, No. 34, 4 Octobre 2022
  • Traducteur(s): DeepL Translator
    autotranslation
    , Gérald
  • Date de la traduction Française: 29 Octobre 2022
  • Corrections & améliorations apportée: Gérald
  • Plejadisch-Plejarische Kontaktberichte


Synopsis

Ceci est une publication de la FIGU ZEITZEICHEN Edition Spéciale. Il s'agit d'une traduction française préliminaire autorisée mais non officielle de DeepL et contient très probablement des erreurs. Veuillez noter que toutes les erreurs et fautes, etc. seront continuellement corrigées, en fonction du temps disponible des personnes concernées (selon le contrat passé avec Billy/FIGU). Par conséquent, ne faites pas de copier-coller et ne publiez pas cette version ailleurs, car toute amélioration et correction se fera ICI dans cette version !

FIGU – Signe du Temps ZEITZEICHEN Edition Spéciale 34 - Traduction

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Traduction Française
Original Swiss-German
FIGU – Sign of the Times 34
Special Edition
News • Insights • Knowledge
Publication frequency: Sporadic
Internet: https://www.figu.org
email: info@figu.org
FIGU – ZEITZEICHEN 34
Sonderausgabe
Aktuelles • Einsichten • Erkenntnisse
Erscheinungsweise: Sporadisch
Internetz: https://www.figu.org
E-Brief: info@figu.org
RÉFLEXIONS SUR LA GUERRE RUSSO-UKRAINIENNE, ÜBERLEGUNGEN ÜBER DEN RUSSLAND-UKRAINE KRIEG,
SES VÉRITABLES CAUSES ET SES POSSIBLES CONSÉQUENCES DESSEN WAHRE URSACHEN UND MÖGLICHE KONSEQUENZEN
BASÉ SUR LES ANCIENNES PROPHÉTIES D'HENOCH AUFGRUND DER ALTEN HENOCH-PROPHEZEIUNGEN
ET DES MESSAGES DU PLAN SPIRITUEL PETALE UND DER BOTSCHAFTEN AUS DER PETALE-GEISTESEBENE
PART 1 1. TEIL
L'homme n'a pas besoin Der Mensch bedarf zur
de beaucoup de mots Wahrheitsfindung nicht
pour trouver la vérité, vieler Worte, denn er hat
car il n'a qu'à suivre nur der inneren Stimme
la voix intérieure de la réalité, der Wirklichkeit zu folgen,
qui sans exception die ihm ausnahmslos nur
lui révèle que sa vérité. deren Wahrheit offenbart.
SSSC, 12 Janvier 2014, 16:58 hrs, Billy SSSC, 12. Januar 2014, 16.58 h, Billy
Que la vérité vraie qui émane de la réalité Möge die wahrheitliche Wahrheit, die aus
soit pour chaque être humain un joyau épanouissant der Wirklichkeit hervorgeht, jedem Menschen
et un réceptacle rayonnant qui ne se vide jamais, ein erfüllendes Juwel sein und ein strahlendes
ainsi qu'un moyen comme une formule magique Gefäss, das niemals leer wird, sowie ein Mittel
qui agit constamment et wie eine Zauberformel, das stetig wirkt und
n'admet ni fausseté ni mensonge. weder Falschheiten noch Lügen zulässt
SSSC, 29 Decembre 2011, 00:20 hrs, Billy SSSC, 29. Dezember 2011, 00.20 h, Billy
L'homme doit toujours faire le choix de la réalité Der Mensch muss sich stets für die Wirklichkeit
et de la vérité qui en découle, und die daraus hervorgehende Wahrheit entscheiden,
et donc s'opposer au déni et à la contre-vérité. und damit also gegen das Leugnen und die Unwahrheit.
En optant pour la réalité et la vérité, Mit dem Entscheiden für die Wirklichkeit und Wahrheit
une décision est prise contre la peur, la crainte et la mauvaise conscience, wird eine Entscheidung gegen Angst, Furcht und gegen ein schlechtes Gewissen getroffen,
mais aussi une décision en faveur de l'honnêteté, wie aber auch eine Bestimmung zugunsten der Ehrlichkeit, Ehre und Würde
ainsi que de la clarté, de la droiture et de la justesse. sowie für die Klarheit, Rechtschaffenheit und Richtigkeit.
SSSC, 30 Spetembre 2013, 15:08 hrs, Billy SSSC, 30. September 2013, 15.08 h, Billy
Symbole de l'énergie de la Création ‹Vérité›
Schöpfungsenergielehre-Symbol ‹Wahrheit›
PRÉFACE ET OBJECTIF DU TEXTE SUIVANT VORWORT UND ZWECK DES FOLGENDEN TEXTES
Le texte qui suit est le résultat d'un travail précis de recherche d'informations qui s'offre comme un outil pour connaître la seule vérité possible concernant les faits passés et présents de cette planète, et notamment le risque d'une guerre mondiale imminente et destructrice qui conditionnerait la destruction de l'hémisphère nord et la fin de cette société occidentale, ainsi que des années de détresse et de souffrance pour les humains qui pourraient y survivre à l'avenir. Der folgende Text ist das Ergebnis einer genauen Arbeit der Informationssuche, die sich als Hilfsmittel dafür bietet, die einzig mögliche Wahrheit in Bezug auf die vergangenen und gegenwärtigen Tatsachen dieses Planeten zu erkennen, und insbesondere auf die Gefahr eines drohenden und alles zerstörenden weltweiten Kriegs, der die Vernichtung der nördlichen Hemisphäre und das Ende dieser westlichen Gesellschaft bedingen würde, sowie Jahre der Not und Leiden für die Menschen, die da zukünftig überleben könnten.
Les informations contenues dans ce texte ne remplacent donc pas la Vérité. Cependant, elles ouvrent absolument la voie à la reconnaissance libre, individuelle et indépendante de la Vérité elle-même, et précisément de la seule Vérité possible, celle qui naît des faits de la réalité. Die Informationen, die in diesem Text enthalten sind, bieten also keinen Ersatz für die Wahrheit. Jedoch öffnen sie unbedingt den Weg zur freien, individuellen und unabhängigen Erkennung der Wahrheit selbst, und eben die einzig mögliche Wahrheit, die aus den Tatsachen der Realität entsteht.
Les personnes qui connaissent les travaux de 'Billy' Eduard Albert Meier et de la FIGU trouveront ici une correspondance avec ce qu'elles connaissent déjà. En revanche, les personnes qui ne sont pas familières ou qui s'en moquent pourront remettre en question ce qu'elles connaissent ou croient connaître. Dans les deux cas cependant, l'homme peut d'abord reconnaître sa propre responsabilité, puis se parler honnêtement à lui-même et décider en profondeur s'il va se laisser aller à ses faiblesses, à son égoïsme et à son je-sais-tout, comme il l'a toujours fait, ou s'il va au contraire tout faire, grâce aux informations dont il dispose, pour éviter maintenant cette catastrophe. Menschen, die mit den Werken von ‹Billy› Eduard Albert Meier und der FIGU vertraut sind, werden hier eine Übereinstimmung mit dem finden, was sie bereits kennen. Menschen, die dagegen nicht damit vertraut sind oder die gar darüber spotten, werden das hinterfragen können, was sie bisher kennen, oder zu kennen glauben. In beiden Fällen jedoch, kann der Mensch die eigene Verantwortung zuerst erkennen, und dann ehrlich mit sich selbst reden und in seiner Tiefe entscheiden, ob er sich seinen Schwächen, seiner Selbstsucht und seiner Besserwisserei wie eh und je stur noch einmal hingibt, oder ob er stattdessen durch die ihm zur Verfügung stehenden Informationen alles tut, um diese Katastrophe nun zu vermeiden.
L'ORGANISATION MERCENAIRE ET MEURTRIÈRE QU'EST L'OTAN DIE SÖLDNER- UND MÖRDERORGANISATION NATO
ET LA POLITIQUE BELLICISTE ET CRIMINELLE DES ÉTATS-UNIS UND DIE KRIEGSLÜSTERNE UND VERBRECHERISCHE POLITIK DER USA
L'OTAN, c'est-à-dire l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, a été créée le 4 avril 1949 à Washington, soit 6 ans avant la création du Pacte de Varsovie, sous l'impulsion d'Henry Truman, président des Etats-Unis d'Amérique, et du gouvernement fantôme américain, qui existe depuis 1787 et qui oriente secrètement les principales décisions des présidents américains, en leur dictant notamment les lignes directrices de la politique étrangère américaine. Dans les intentions du président américain et du gouvernement obscur qui l'influence, l'alliance militaire de l'OTAN, qui n'est qu'en apparence une alliance défensive mais en réalité une organisation de mercenaires et d'assassins belliqueux, doit servir à renforcer la domination mondiale des États-Unis en tant que puissance militaire et à assurer leur supériorité stratégique et militaire sur l'URSS. En d'autres termes, l'OTAN était considérée par les forces obscures de la politique américaine et le chef d'État de l'époque comme le moyen approprié pour atteindre l'objectif de domination mondiale totale des États-Unis d'Amérique au fil du temps. La défense militaire de l'Europe occidentale contre une éventuelle invasion de l'Union soviétique, redoutée par les pays occidentaux, n'était qu'un objectif secondaire. Le fait que l'OTAN ne soit qu'un outil de pouvoir entre les mains du gouvernement américain et du gouvernement de l'ombre qui le dirige secrètement, afin de garantir ses propres revendications partiellement secrètes en matière de pouvoir et de géopolitique, en influençant et en exploitant sans scrupules les États alliés au profit de la poursuite des intérêts fondamentaux et de l'accomplissement des objectifs stratégiques des États-Unis, est confirmé par le fait que le commandant en chef de l'OTAN en Europe a toujours été et est toujours, sans exception, un général américain depuis son existence. Die NATO, d.h. die North Atlantic Treaty Organization, wurde am 4. April 1949 in Washington gegründet, also 6 Jahre vor der Gründung des Warschauer Paktes und zwar auf einen Impuls von Henry Truman, Präsident der Vereinigten Staaten von Amerika, und der US-Schattenregierung, die seit 1787 besteht und die wichtigsten Entscheidungen der US-Präsidenten in geheimer Weise lenkt, wobei sie ihnen insbesondere die Richtlinien der US-Aussenpolitik aufdiktiert. Das NATO-Militärbündnis, das nur dem Schein nach ein Verteidigungsbündnis, sondern in der Tat eine kriegstreibende Söldner- und Mörderorganisation ist, soll in den Absichten des US-Präsidenten und der ihn beeinflussenden dunklen Regierung dazu dienen, die Weltdominanz der USA als Militärmacht zu verstärken und ihre strategische und militärische Überlegenheit gegenüber der UdSSR zu sichern. Das heisst, dass die NATO von den dunklen Kräften der US-Politik und dem damaligen Staatsoberhaupt als das angebrachte Mittel angesehen wurde, um das Ziel der totalen Weltherrschaft der Vereinigten Staaten von Amerika im Lauf der Zeit zu erlangen. Die militärische Verteidigung Westeuropas vor einer eventuellen und von den Weststaaten gefürchteten Invasion der Sowjetunion war nur ein Nebenziel. Die Tatsache, dass die NATO lediglich ein Machtwerkzeug in den Händen der US-Regierung und der sie insgeheim lenkenden Schattenregierung ist, um die eigenen teilweise geheimen macht- und geopolitischen Ansprüche zu sichern, wobei die verbündeten Staaten zugunsten der Verfolgung der grundlegenden Interessen und der Erfüllung der strategischen Ziele der USA beeinflusst und skrupellos ausgenutzt werden sollen, wird dadurch bestätigt, dass der Oberbefehlshaber der NATO in Europa seit ihrem Bestehen immer und ausnahmslos ein amerikanischer General war und ist.
Pour mieux comprendre de qui Truman était l'enfant spirituel, il faut entre autres se rappeler qu'à l'époque, son gouvernement avait élaboré un plan secret - comme l'ont révélé des documents déclassifiés des National Security Archive - selon lequel, en cas de prétendue et redoutable attaque de l'Union soviétique dans le Golfe persique, les champs pétrolifères du Proche et du Moyen-Orient seraient sabotés afin de laisser aux Soviétiques une sorte de "terre brûlée" par une action de nuit et de brouillard. Le plan des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne prévoyait de sceller les puits de pétrole de la région à l'aide de ciment, puis de faire sauter les raffineries et les réservoirs de pétrole. Mais comme l'exécution de ce plan aurait pris trop de temps, il a même été envisagé, comme option plus rapide, de contaminer les champs pétrolifères de manière radioactive en dispersant des boulettes radioactives par avion dans la zone désertique environnante. Um besser zu verstehen, wessen Geistes Kind Truman war, sollte man sich unter anderem vergegenwärtigen, dass damals von seiner Regierung ein geheimer Plan geschmiedet wurde – wie sich aus entklassifizierten Dokumenten des National Security Archive ergeben hat –, wonach im Falle eines vermeintlichen, gefürchteten Überfalls der Sowjetunion auf den Persischen Golf durch die Ölfelder im Nahen bzw. Mittleren Osten sabotiert würden, um sozusagen durch eine Art von Nachtund-Nebel-Aktion den Sowjets ‹verbrannte Erde› zu hinterlassen. Der Plan der USA und Grossbritanniens sah vor, Ölquellen in der Region durch Zement dichtzumachen und dann Raffinerien und Öltanks in die Luft zu sprengen. Da jedoch die Ausführung dieses Planes zu viel Zeit in Anspruch genommen hätte, wurde als schnellere Option sogar in Erwägung gezogen, die Ölfelder radioaktiv zu verseuchen, indem man radioaktive Kügelchen per Flugzeug durch das umliegende Wüstengebiet verstreute.
(Source: National Security Council, [NSC 26/2] report, "Removal and Demolition of Oil Facilities, Equipment and Supplies in the Middle East" December 30, 1948, Top Secret, with cover note for the President, January 6, 1949). (Quelle: National Security Council, [NSC 26/2] report, „Removal and Demolition of Oil Facilities, Equipment and Supplies in the Middle East“ December 30, 1948, Top Secret, with cover note for the President, January 6, 1949)
Il faut également mentionner que c'est Harry Truman qui a ordonné le largage de deux bombes atomiques sur les villes japonaises d'Hiroshima et de Nagasaki, ce qui a non seulement détruit complètement les deux villes et tué respectivement 250 000 et 70 000 personnes, mais a également causé des dommages dévastateurs et durables à l'atmosphère terrestre ainsi qu'à la santé de nombreux Terriens sur l'ensemble du globe. Il s'agissait d'un grand et terrible crime. Depuis, de nombreux historiens et autres écrivains se sont demandés pourquoi le gouvernement américain avait ordonné cet énorme acte de destruction jamais vu auparavant et quel était l'objectif poursuivi. Es muss auch erwähnt werden, dass Harry Truman derjenige war, der den Abwurf zweier Atombomben auf die japanischen Städte Hiroshima und Nagasaki befahl, wobei dadurch nicht nur beide Städte völlig zerstört und jeweils 250’000 und 70’000 Menschen getötet wurden, sondern auch verheerende und anhaltende Schäden an der Erdatmosphäre sowie an der Gesundheit vieler Erdenmenschen auf dem ganzen Globus zugefügt wurden. Das war ein grosses und schreckliches Verbrechen. Seither haben sich viele Historiker und sonstige Schreiberlinge gefragt, wozu dieser enorme und nie zuvor gesehene Zerstörungsakt seitens der US-Regierung angeordnet wurde und was für ein Ziel dadurch verfolgt werden sollte.
L'opinion répandue et dominante à ce sujet était et reste que c'était le moyen le plus rapide de mettre fin victorieusement à la guerre des États-Unis contre le Japon et d'éviter une invasion sanglante du Japon par les troupes américaines au sol, qui aurait entraîné de lourdes pertes. Mais ce n'était pas le seul objectif, ni même l'objectif principal de cette action terroriste criante, car comme c'est souvent le cas, les apparences sont trompeuses et la vérité réelle et effective est différente de ce qu'elle semble être. Celle-ci a toujours été communiquée aux Terriens par les Plejaren et BEAM depuis les années quarante, et la très grande quantité d'informations, d'avertissements et de connaissances transmises, parfois liées à l'avenir, se sont toujours révélées précises, pertinentes et vraies lorsqu'elles ont été examinées avec précision et honnêteté, et ont souvent trouvé une confirmation à court, moyen ou long terme dans des recherches, des découvertes ou des faits et événements terrestres. Mais malgré cela, la grande majorité de la population terrestre, qui compte plus de 9 milliards de personnes, s'accroche obstinément à ses croyances et convictions enracinées, illogiques et éloignées de la réalité, et est et reste totalement immunisée contre l'enseignement de la vérité, de la vie et de l'énergie de la Création, ce qui a des conséquences extrêmement négatives sur le chemin d'évolution de chaque être humain en termes de conscience et d'apprentissage, et ne fait que favoriser la stagnation de la conscience et les dégénérescences de toutes sortes. Die verbreitete und überwiegende Meinung diesbezüglich war und ist die, dass dadurch der Krieg der USA gegen Japan am schnellsten siegreich beendet und eine blutige US-Bodentruppeninvasion Japans, die hohe Verluste mit sich gebracht hätte, vermieden werden konnte. Doch das war nicht das einzige Ziel, und zwar auch nicht das Hauptziel dieser zum Himmel schreienden Terroraktion, denn wie es oft der Fall ist, trügt der Schein und die tatsächliche, effektive Wahrheit sieht anders aus, als es den Anschein macht. Diese wurde den Erdlingen von den Plejaren und BEAM seit den vierziger Jahren immer wieder mitgeteilt, wobei die sehr grosse Menge der übermittelten Informationen, Warnungen und Erkenntnisse, die manchmal auch zukunftsbezogen waren, sich bei genauer und ehrlicher Prüfung immer als präzise, zutreffend und wahrhaftig herausgestellt haben und kurz-, mittel- oder langfristig oft eine Bestätigung durch irdische Forschungen, Entdeckungen oder Fakten und Geschehnisse gefunden haben. Aber trotzdem hält die überwiegende Mehrheit der Erdbevölkerung, die aus mehr als 9 Milliarden Menschen besteht, an ihren verwurzelten, unlogischen und wirklichkeitsfernen Überzeugungen und Glaubensinhalten stur fest und ist und bleibt völlig immun gegen die Lehre der Wahrheit, des Lebens und der Schöpfungsenergie, was äusserst negative Folgen für den bewusstseinsmässigen und lernbedingten Evolutionsweg jedes einzelnen Menschen hat und nur noch bewusstseinsmässige Stagnation und Ausartungen aller Art fördert.
Or, le but effectif du largage de la bombe atomique par Truman et le gouvernement de l'ombre américain était en fait d'envoyer un signal fort, terrible et menaçant concernant la force militaire américaine à l'URSS, qui s'apprêtait à déclarer la guerre au Japon en été 1945, et de lui démontrer ainsi de manière intimidante, qu'elle ferait mieux de se tenir à l'écart du Japon et des autres territoires occupés par les troupes américaines en Europe et qu'elle serait prête à faire quelques concessions concernant sa future sphère d'influence en Europe de l'Est, en Allemagne et dans l'Alliance occidentale dominée par les États-Unis. Les Etats-Unis voulaient apparaître comme le seul vainqueur dans la région du Pacifique. Et la construction et l'utilisation de la bombe atomique en tant qu'instrument de la domination mondiale des États-Unis ont été planifiées par les élites gouvernementales américaines immédiatement après le début de la Seconde Guerre mondiale, et des travaux étaient déjà en cours au début des années quarante, les connaissances décisives à cet égard ayant été apportées par des scientifiques allemands. Nun, der effektive Zweck des Atombombenabwurfes seitens von Truman und der US-Schattenregierung lag in der Tat darin, der UdSSR, die sich anschickte, im Sommer 1945 Japan den Krieg zu erklären, ein starkes, schreckliches und bedrohliches Signal bezüglich der US-Militärstärke zu senden und ihr dadurch einschüchternd zu demonstrieren, dass sie sich besser von Japan und sonstigen von den US-Truppen besetzten Gebieten in Europa fernhalten und bereit sein sollte, einige Zugeständnisse in Bezug auf ihre zukünftige Einflusssphäre in Osteuropa, Deutschland und der von den USA dominierten Westallianz zu machen. Die USA wollten als der einzige Sieger im Pazifikraum dastehen. Und der Bau und Einsatz der Atombombe als Instrument der US-Weltherrschaft wurde unmittelbar nach dem Ausbruch des Zweiten Weltkrieges von US-Regierungseliten geplant und es wurde bereits am Anfang der vierziger Jahre daran gearbeitet, wobei die entscheidenden Erkenntnisse dazu von deutschen Wissenschaftlern kamen.
Après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement américain avait besoin d'un 'casus belli', c'est-à-dire d'un prétexte de guerre pour réaliser les plans secrets du gouvernement de l'ombre et justifier la participation à la guerre devant une opinion publique le plus souvent réticente à la guerre, et ainsi parvenir plus tard à l'utilisation des bombes atomiques, dont le développement était en cours dès le début des années 1940. A cette fin, des sanctions économiques sévères ont été imposées sur les matières premières nécessaires à la conduite de la guerre japonaise, afin d'inciter le Japon à attaquer des bases américaines dans le Pacifique et de faire ainsi retomber la responsabilité de l'entrée en guerre des Etats-Unis sur les épaules des Japonais et de faire apparaître ses propres forces armées devant son opinion publique et le monde comme les victimes d'une attaque brutale et non provoquée (qui s'est effectivement produite à Pearl Harbor, comme l'avaient voulu et appris les chefs d'état-major américains et le gouvernement). Nach dem Ausbruch des Zweiten Weltkrieges brauchte die US-Regierung einen ‹Casus Belli›, d.h. einen Kriegsvorwand, um die geheimen Pläne der Schattenregierung zu verwirklichen und die Kriegsbeteiligung vor der meistens kriegsunwilligen Öffentlichkeit zu rechtfertigen und somit später zum Einsatz der Atombomben zu kommen, an deren Entwicklung ab Anfang der 1940er Jahren gearbeitet wurde. Zu diesem Zweck wurden harte Wirtschaftssanktionen gegen für die japanische Kriegsführung notwendige Rohstoffe verhängt, um Japan dazu zu veranlassen, US-Stützpunkte im Pazifik anzugreifen und somit die Verantwortung des US-Kriegseintritts auf die Schultern der Japaner abzuwälzen und die eigenen Streitkräfte vor der eigenen Öffentlichkeit und der Welt als Opfer einer brutalen und unprovozierten Attacke (die sich dann tatsächlich in Pearl Harbor ereignete, wie es von den amerikanischen Stabschefs und der Regierung gewollt und in Erfahrung gebracht worden war) erscheinen zu lassen.
Comme l'historien américain Robert B. Dans son livre bien documenté intitulé 'Le jour de la tromperie', Stinnet a démontré, sur la base de documents déclassifiés, que les chefs militaires et les dirigeants du gouvernement américain étaient parfaitement au courant à l'avance de l'attaque japonaise imminente contre la base navale de Pearl Harbor, à Hawaï, Le code de la marine japonaise avait été décrypté, mais ils n'ont rien fait pour l'éviter, se contentant cyniquement de mettre en sécurité les plus grands et les plus importants navires de guerre - c'est-à-dire les porte-avions - et d'abandonner tous les autres navires de guerre à la destruction et tous leurs marins ainsi que les soldats de l'infanterie de marine qui y étaient stationnés à leur tragique destin mortel. Environ 2400 personnes ont trouvé la mort à Pearl Harbor le 7 décembre 1941 et une vague d'indignation s'est répandue dans l'opinion publique, ouvrant la voie à l'entrée en guerre, qui a eu lieu le lendemain. Wie der amerikanische Historiker Robert B. Stinnet in seinem gut recherchierten Buch mit dem Titel ‹Der Tag der Täuschung› aufgrund von entklassifizierten Dokumenten bewiesen hat und wie die Plejaren zur Kenntnis genommen und den Erdenmenschen mitgeteilt haben, wussten die Militärführungskräfte und die Regierungsspitze der USA im voraus ganz genau über den bevorstehenden japanischen Angriff auf den Marinestützpunkt in Pearl Harbor auf Hawaii Bescheid, weil der japanische Marine-Code geknackt worden war, doch taten sie gar nichts, um ihn abzuwenden, sondern sie beschränkten sich auf zynische Art und Weise darauf die grössten und wichtigsten Kriegsschiffe – also die Flugzeugträger – in Sicherheit zu bringen und überliessen alle übrigen Kriegsschiffe der Zerstörung und ihre ganzen Matrosen sowie die dort stationierten Soldaten der Marine-Infanterie ihrem tragischen Todesschicksal. Ungefähr 2400 Menschen fanden am 7. Dezember 1941 in Pearl Harbor den Tod und eine Welle der Empörung breitete sich in der Öffentlichkeit aus, so dass der Weg zum Kriegseinzug, der am darauffolgenden Tag erfolgte, geebnet war.
Billy: Billy:
(…) Roosevelt a contraint les Japonais à prendre des mesures de coercition par le biais d'un embargo commercial, mesures qui ont été appliquées lors d'une contre-attaque contre l'embargo - c'est ainsi que l'attaque de Pearl Harbor a fait 2403 morts et 1178 blessés, mais aussi la destruction de 14 navires de guerre et de 320 avions détruits ou gravement endommagés. 90% des Américains étaient contre l'entrée dans la Seconde Guerre mondiale (ou la Troisième Guerre mondiale), mais après Pearl Harbor, le peuple a également réclamé la guerre. Roosevelt a d'ailleurs appris l'imminence de l'attaque par les services secrets, mais il n'a pas réagi pour empêcher quoi que ce soit, pas plus que George W. Bush lorsqu'il s'est agi d'empêcher la catastrophe terroriste du 11 septembre 2001 (…). (…) Roosevelt zwang die Japaner mit einem Handelsembargo zu Zwangsmassnahmen, die in einem Gegenschlag gegen das Embargo zur Geltung kamen – so also zum Angriff auf Pearl Harbor, bei dem 2403 Tote und 1178 Verletzte zu beklagen waren, wie aber auch die Zerstörung von 14 Kriegsschiffen und 320 zerstörten oder schwer beschädigten Flugzeugen. 90 Prozent aller US-Amerikaner waren erstlich gegen einen Eintritt in den Zweiten Weltkrieg (resp. Dritten Weltkrieg), nach Pearl Harbor jedoch schrie das Volk auch nach Krieg. Durch die Geheimdienste erfuhr Roosevelt übrigens vom drohenden Angriff, doch er reagierte ebenso nicht, um etwas zu verhindern, wie auch George W. Bush nicht, als es galt, die Terrorkatastrophe vom 11. September 2001 zu verhindern (…)
Des manœuvres de tromperie insidieuses similaires, qu'il s'agisse de provocations ciblées, de sanctions économiques ou d'opérations dites 'false flag', c'est-à-dire sous faux drapeau, ainsi que d'autres ruses et machinations des services secrets visant à fournir un prétexte pour justifier une entrée en guerre souhaitée, qui permettent de se laver les mains devant le public et donc de tromper et d'induire en erreur l'opinion publique, ont été mis en œuvre et utilisés à plusieurs reprises par le gouvernement américain et le gouvernement de l'ombre pour atteindre les objectifs de politique étrangère des élites américaines de nature obscure et officielle. Il suffit de rappeler toute une série d'incidents que l'on peut avoir à l'esprit et qui confirment ce qui a été dit plus haut, comme par exemple le torpillage du navire de guerre 'USS-Maine' à cause d'une explosion qui a tué 266 hommes d'équipage et qui a servi au gouvernement pour déclarer la guerre à l'Espagne en 1898 ; puis l'incident du Lusitania en 1915, au cours duquel un paquebot anglais transportant 127 citoyens américains - sur lequel des armes avaient été cachées et transportées à l'insu du capitaine - a été coulé dans l'Atlantique par un sous-marin allemand, ce qui, selon deux historiens et journalistes britanniques, était, il s'agissait d'une manœuvre de tromperie planifiée par Winston Churchill afin de fournir au gouvernement américain un prétexte pour justifier l'entrée en guerre des États-Unis, comme l'a rapporté en 1972 un article publié dans l'hebdomadaire allemand 'Der Spiegel' sous le titre 'Sale affaire' (édition no. , 45/1972) ; et aussi l'accident du Golfe du Tonkin de 1964, qui a été mis en scène pour entrer dans la guerre du Vietnam. Ähnliche heimtückische Täuschungsmanöver, sei es durch gezielte Provokationen, Wirtschaftssanktionen als auch durch sogenannte ‹False Flag›-Operationen, also Operationen unter falscher Flagge, sowie sonstige geheimdienstliche Tricks und Machenschaften, die bezwecken, einen Vorwand zur Rechtfertigung eines angestrebten Kriegseintrittes zu liefern, wodurch man die eigenen schmutzigen Hände vor dem Publikum in Unschuld wäscht und somit die Öffentlichkeit perfide getäuscht und irregeführt werden kann, wurden wie vorher und nachher mehrmals von der US-Regierung und der Schattenregierung in die Tat umgesetzt und benutzt, um die aussenpolitischen Ziele der US-Eliten dunkler und offizieller Art zu erreichen. Es sei nur an eine ganze Reihe von Zwischenfällen erinnert, die man sich vor Augen führen kann und die das oben Gesagte bestätigen, wie z.B. die Versenkung des Kriegsschiffes ‹USS-Maine› wegen einer Explosion, die 266 Mann der Besatzung tötete, und der Regierung dazu diente, 1898 den Krieg gegen Spanien zu erklären; dann den Lusitania-Vorfall von 1915, bei dem ein englisches Passagierschiff mit 127 amerikanischen Bürgern an Bord – auf dem ohne Wissen des Kapitäns Waffen versteckt und transportiert wurden – von einem deutschen U-Boot im Atlantik versenkt wurde, wobei es sich laut zwei britischen Historikern und Journalisten, um ein Täuschungsmanöver handelte, das von Winston Churchill geplant worden war, um der US-Regierung einen Vorwand zur Rechtfertigung des US-Kriegseintrittes zu liefern, wie im Jahr 1972 ein im deutschen Wochenmagazin ‹Der Spiegel› veröffentlichter Artikel mit dem Titel ‹Schmutziges Geschäft› berichtete (Ausgabe Nr., 45/1972); und auch noch den Unfall beim Tonkin-Golf von 1964, der inszeniert wurde, um in den Vietnamkrieg einzuziehen.
Billy: Billy:
(…) En effet, à l'époque, c'était le 4 août 1964 - comme je le sais par ta fille Semjase, ainsi que par toi et Quetzal, et sur lequel j'ai aussi lu quelques choses -, l'agence de renseignement américaine NSA (National Security Agency) a cherché un moyen criminel de provoquer une guerre contre le nord du Vietnam communiste, bien que le nord du Vietnam n'ait en aucune façon fourni une raison pour des actes de guerre. La NSA a donc fabriqué un écho sonar erroné ou faux en mer de Chine méridionale sur le destroyer 'USS Maddox', afin de permettre aux agents de la NSA d'agir officiellement, et ce de manière à ce qu'ils interprètent consciemment, faussement et de manière mensongère l'écho sonar inoffensif et faux qu'ils avaient eux-mêmes créé comme une attaque à la torpille du Viêt-Cong. Toutes les informations, les rapports et les coordonnées falsifiés et créés par le mensonge et la tromperie passèrent dès lors à travers les filtres des services secrets de la NSA, qui manipulèrent et falsifièrent également tous les messages radio, les photos et les cartes maritimes, et ce, en plus de déclencher sur le destroyer 'USS Maddox' une alarme générale, une alarme de combat et une alarme de torpille volontairement fausses et donc prétendument et effectivement inventées. En conséquence, le navire de guerre a naturellement changé de cap, ouvrant le feu pendant plusieurs heures sur des ennemis imaginaires et inexistants avec les lourdes tourelles jumelles du destroyer et tirant frénétiquement sur la mer. De plus, le même jour, des avions de combat du porte-avions américain 'USS Ticonderoga' ont mené des 'attaques de représailles' sur la ville de Hanoï. Bien entendu, aucun navire vietcong, sous-marin ou torpilleur n'a été touché en mer, car ils ne se trouvaient pas dans la zone du destroyer et le Nord-Vietnam n'était pas impliqué.

Le fait est que la NSA a mis en scène un scénario parfait pour permettre aux États-Unis d'impliquer le Viêt-Cong dans une guerre, dans l'espoir que la Corée du Nord puisse être intégrée par les forces américaines dans le territoire américain. être annexée par la Corée du Nord. Le Nord-Vietnam ne s'est pas laissé faire, il a humilié les Etats-Unis - l'armée la plus puissante du monde à l'époque - et a infligé à ses forces armées une défaite sans précédent pendant les dix années de guerre. Il a ainsi subi une défaite morale et militaire totale et a perdu la guerre. Malheureusement, selon tes déclarations antérieures, cette guerre du Vietnam a coûté la vie à plus de six millions et demi de personnes, même si l'on prétend aujourd'hui qu'il n'y en a eu 'que' cinq millions (…)

(…) Damals nämlich, es war am 4. August 1964 – wie ich von deiner Tochter Semjase, wie auch von dir und Quetzal weiss, und worüber ich auch einiges gelesen habe –, suchte der US-amerikanische Geheimdienst NSA (National Security Agency) einen verbrecherischen Weg, um gegen den kommunistischen Norden Vietnams einen Krieg zu provozieren, obwohl Nordvietnam in keiner Art und Weise einen Grund für Kriegshandlungen geliefert hat. Also fabrizierte die NSA im südchinesischen Meer auf dem Zerstörer ‹USS Maddox› ein fehlerhaftes resp. falsches Sonar-Echo, um die NSA-Agenten offiziell handeln zu lassen, und zwar in der Weise, dass sie bewusst-fälschlich und lügnerisch das selbst erzeugte harmlose und falsche SonarEcho als einen Torpedoangriff des Vietcong auslegten. Alle daraus bewusst fabrizierten und durch Lug und Trug entstandenen gefälschten Informationen, Berichte und Koordinaten liefen ab sofort durch die Nachrichtenfilter des Geheimdienstes NSA, der auch alle Funksprüche, Photos und Seekarten manipulierte und fälschte, und zwar nebst dem, dass sie auf dem Zerstörer ‹USS Maddox› einen bewusst falschen und also angeblichen und effektiv erfundenen Gross-, Gefechts- und Torpedoalarm auslösten. Als Folge änderte das Kriegsschiff natürlich seinen Kurs, wobei mit den schweren Zwillingstürmen des Zerstörers für mehrere Stunden das Feuer auf imaginäre und nichtvorhandene Feinde eröffnet und wild über das Meer herumgeballert wurde. Dies nebst dem, dass gleichentags vom US-Flugzeugträger ‹USS Ticonderoga› aus mit Kampfflugzeugen ‹Vergeltungsangriffe› auf die Stadt Hanoi ausgeführt wurden. Natürlich wurden auf See keine Vietcong-Schiffe, Unterseeboote oder Torpedos getroffen, denn solche waren weder im Bereich des Zerstörers, noch war Nordvietnam am Ganzen überhaupt beteiligt. Tatsache ist, dass durch die NSA ein perfektes Schauspiel vom Stapel gelassen wurde, das dazu diente, dass die USA den Vietcong in einen Krieg verwickeln konnte, in der Hoffnung, Nordkorea könne von den USA-Streitkräften in den USA-Weltherrschaftsbereich annektiert werden. Das ging aber gründlich in die Hosen, denn Nordvietnam liess sich nicht kleinkriegen, sondern demütigte die USA– die damals stärkste Armee der Welt – und erteilte deren Streitkräften während des zehnjährigen Krieges eine Schlappe nach der andern und letztendlich eine völlige moralische, militärische Niederlage und einen verlorenen Krieg. Leider kostete deinen früheren Erklärungen gemäss dieser Vietnamkrieg mehr als sechseinhalb Millionen Menschenleben, wobei jedoch heute behauptet wird, dass es ‹nur› deren fünf Millionen gewesen seien. (…)
Il s'agissait également d'une vaste opération de tromperie dans le cadre de la compétition pour la suprématie dans la conquête de l'espace avec l'URSS, qui était sur le point de devancer les Etats-Unis, lors du prétendu premier alunissage en 1969, comme l'a avoué personnellement aux Plejaren un scientifique allemand du nom d'Ernst Stuhlinger, qui a participé au projet Apollo et qui faisait partie d'un petit groupe de 37 personnes au total, parfaitement informées de la grande supercherie et qui ont été soumises plus tard à un lavage de cerveau post-hypnotique, à la suite duquel des souvenirs artificiels d'expériences non vécues leur ont été dictés, la mise en scène de l'alunissage dans le désert américain ayant également été observée par des Plejaren. Um eine grossangelegte Täuschungsaktion im Rahmen des Wettstreits um die Vormachtstellung bei der Weltraum-Eroberung mit der UdSSR, die kurz davor stand den USA zuvorzukommen, handelte es sich auch bei der angeblich ersten Mondlandung im Jahre 1969, wie den Plejaren persönlich von einem deutschen Wissenschaftler namens Ernst Stuhlinger zugegeben wurde, der am Apollo-Projekt beteiligt war und einer kleinen Gruppe von insgesamt 37 Personen angehörte, die über den grossen Schwindel bestens informiert waren und später einer posthypnotischen Gehirnwäsche unterzogen wurden, in deren Folge ihnen künstliche Erinnerungen an nicht gemachte Erfahrungen diktiert wurden, wobei auch die Mondlandungsinszenierung in der amerikanischen Wüste von plejarischen Menschen beobachtet wurde.
Le 12 mars 1947, le président Truman a annoncé dans un discours devant le Congrès les grandes lignes de la stratégie de politique étrangère connue sous le nom de "doctrine Truman", qui a pratiquement marqué le début de la "guerre froide" contre l'URSS, bien qu'elle ait été justifiée sur le plan rhétorique par la nécessité pour les États-Unis d'arrêter la prétendue expansion de l'Union soviétique. Ce faisant, le président américain a délibérément exagéré la menace que représentait l'Union soviétique afin de mobiliser l'opinion publique. Selon plusieurs témoins et historiens, il aurait dit à ses proches conseillers que pour obtenir un consensus en faveur d'une politique étrangère aussi ambitieuse que la sienne, il faudrait "la plus grande campagne de publicité qu'un président ait jamais eue". Am 12 März 1947 verkündigte Präsident Truman in einer Rede vor dem Kongress die wegweisenden Ansätze jener aussenpolitischen Strategie, die unter der Bezeichnung ‹Truman-Doktrin› bekannt ist und praktisch den Beginn des ‹Kalten Krieges› gegen die UdSSR einleitete, obwohl sie rhetorisch dadurch gerechtfertigt wurde, dass die USA die vermeintliche Expansion der Sowjetunion aufhalten müsse. Dabei wurde vom US-Präsidenten die Bedrohung durch die Sowjetunion absichtlich übertrieben, um die öffentliche Meinung zu mobilisieren. Nach verschiedenen Zeitzeugen und Historikern soll er seinen engen Beratern gesagt haben, dass, um den Konsens für eine derart anspruchsvolle Aussenpolitik wie seine zu erzielen, «die grösste Werbekampagne, die jemals einem Präsidenten zugefallen ist» notwendig sein würde.
Selon le professeur américain de droit international Michael J. Lennon, ce qu'il appelle un 'système de double gouvernement' s'est établi sous l'ère Truman. Cela signifie qu'à côté des organes constitutionnels traditionnels (Congrès, gouvernement, justice), un appareil de pouvoir composé de services secrets, d'agences de sécurité, de hauts gradés de l'armée, de diplomates de haut rang et de conseillers présidentiels a été développé sous l'impulsion de Truman, appareil que les organes constitutionnels ne pouvaient de fait plus contrôler. Dans son livre 'National Security and Double Government' (2014), il écrit que Truman, plus que tout autre président américain, est responsable de la création de ce que l'on appelle 'l'appareil de sécurité de l'État' et de l'énorme augmentation du pouvoir de l'exécutif. Selon son analyse, cela s'est produit à la suite du National Security Act (loi sur la sécurité nationale) adopté en 1947, sur la base duquel la CIA, le National Security Council (conseil de sécurité nationale) et l'état-major unifié ont été créés. Plus tard, la NSA (National Security Agency) a également été créée. Selon l'auteur, un appareil de pouvoir aussi imposant et opaque est sous-tendu par la peur du communisme, la méfiance envers sa propre population et une politique hégémonique. Il remarque également que les présidents américains ont une faible capacité à limiter l'influence de tels appareils de pouvoir et de dirigeants non élus, car leur prétendue expertise et leur détention permanente de la fonction donnent un poids remarquable à leurs propres positions et opinions. Nach dem amerikanischen Professor für Völkerrecht Michael J. Lennon etablierte sich in der Truman-Ära das, was er ein ‹Doppelregierungssystem› nennt. Das heisst, dass neben den traditionellen Verfassungsorganen (Kongress, Regierung, Justiz), auf Anregung von Truman ein aus Geheimdiensten, Sicherheitsbehörden, Militärspitzen, hohen Diplomaten und Präsidentenberatern bestehender Machtapparat entwickelt wurde, den die Verfassungsorgane faktisch nicht mehr kontrollieren konnten. In seinem Buch ‹National Security and Double Government› (2014) schreibt er, dass Truman mehr als jeder andere US-Präsident für die Schaffung des sogenannten ‹Staatssicherheits-Apparates› und die enorme Machtzunahme der Exekutive verantwortlich war. Laut seiner Analyse kam das in Folge des 1947 verabschiedeten ‹National Security Act› (d.h. des Gesetzes für die nationale Sicherheit) zustande, aufgrund dessen die CIA, der National Security Council (der Rat für die nationale Sicherheit bzw. Nationale Sicherheitsrat) und der Vereinigte Generalstab gegründet wurden. Später wurde auch die NSA (National Security Agency) eingerichtet. Der Autor meint, einem solchen imposanten und undurchsichtigen Machtapparat liege die Furcht vor dem Kommunismus, das Misstrauen gegen die eigene Bevölkerung sowie eine Hegemonialpolitik zugrunde. Er bemerkt auch, dass US-Präsidenten eine geringe Fähigkeit haben, den Einfluss solcher Machtapparate und nicht gewählter Führungsbeamter zu beschränken, da ihr angeblicher Sachverstand und ihre dauerhafte Amts-Innehabung den eigenen Positionen und Meinungen ein bemerkenswertes Gewicht verleihen.
On peut trouver des indications sur l'existence d'un gouvernement de l'ombre ou d'un gouvernement obscur aux États-Unis dans plusieurs articles et livres, comme par exemple dans le livre 'Amerika Game Over ? Le grand pays des héros et des libérateurs après la démocratie' (de Norman Spreng, Books on Demand, 2017), où l'on peut lire ce qui suit aux pages 271-272 : Hinweise auf die Existenz einer Schattenregierung bzw. Dunkelregierung in den USA kann man in mehreren Artikeln und Büchern finden, wie etwa im Buch ‹Amerika Game Over? Das grosse Land der Helden und Befreier nach der Demokratie› (von Norman Spreng, Books on Demand, 2017), wo auf Seiten 271–272 folgendes zu lesen ist:
En fait, cela ne fait aucune différence de savoir qui est à la tête des Etats-Unis, car seules les nuances politiques changent, mais l'orientation fondamentale reste la même, on peut en être sûr. (...) Le journaliste français Thierry Meyssan explique : "Malgré les apparences, la fonction de président ne dispose que d'un pouvoir limité. Par exemple, il était évident pour tout le monde que le président G.W. Bush n'avait pas les capacités de gouverner et que d'autres le faisaient à sa place. De même, il est aujourd'hui évident que le président Barack Obama n'a pas réussi à se faire obéir par l'ensemble de son administration. En réalité, la tâche principale de la Maison Blanche n'est pas de commander les forces armées, mais de nommer ou de confirmer 14.000 hauts fonctionnaires. En outre, le président est le garant du maintien au pouvoir de la classe dirigeante ; c'est la raison pour laquelle c'est elle, et non le peuple, qui élit le président". Eigentlich macht es gar keinen Unterschied, wer an der Spitze der USA steht, denn es ändern sich lediglich politische Nuancen, die grundlegende Ausrichtung bleibt aber erhalten, da darf man sicher sein. (…) Der französische Journalist Thierry Meyssan erklärt: «Trotz des Anscheins verfügt das Amt des Präsidenten nur über begrenzte Macht. Zum Beispiel war es für jeden offensichtlich, dass Präsident G.W. Bush nicht die Fähigkeiten zum Regieren hatte und andere dies für ihn taten. Ebenso wird heute offenbar, dass es Präsident Barack Obama nicht gelang, sich bei seiner gesamten Verwaltung Gehorsam zu verschaffen. Die Hauptaufgabe des Weissen Hauses ist in Wahrheit nicht, die Streitkräfte zu befehligen, sondern 14.000 höhere Beamte zu ernennen oder zu bestätigen. Darüber hinaus ist der Präsident der Garant für den Machterhalt der herrschenden Klasse; das ist der Grund dafür, dass diese und nicht das Volk den Präsidenten wählt.»
Et il poursuit : Und er setzt fort:
"Selon Paul Craig Roberts, les puissants oligarques sont Wall Street, les méga-banques, la Réserve fédérale (FED) en tant qu'agence fédérale ainsi que le complexe militaro-industriel (MIK), les néo-conservateurs au Congrès américain et les multinationales américaines (…). Ce gouvernement de l'ombre est une pieuvre, ses tentacules s'étendent désormais dans tous les domaines de la politique, de l'armée, de l'économie et de la culture". «Nach Auffassung von Paul Craig Roberts handelt es sich bei den mächtigen Oligarchen um die Wall Street, die MegaBanken, die Federal Reserve (FED) als Bundesbehörde sowie den Militärisch-industriellen Komplex (MIK), die Neo-Konservativen im US-Kongress und die US-Multis (…). Diese Schattenregierung ist ein Krake, seine Tentakel erstrecken sich mittlerweile in alle Bereiche von Politik, Militär, Wirtschaft und Kultur.»
"De nombreux Américains s'accrochent à la conviction rassurante que l'Etat profond est une fiction, du moins dans une 'démocratie' comme les Etats-Unis. Les indications sur le pouvoir persistant des agences de sécurité et d'autres appareils officiels importants sont à peine mentionnées dans les médias grand public, que beaucoup d'autres Américains suspicieux considèrent comme une autre composante de l'Etat profond". «Viele Amerikaner klammern sich an die beruhigende Überzeugung, dass der Tiefe Staat eine Fiktion sei, zumindest in einer ‹Demokratie› wie den USA. Hinweise auf die anhaltende Macht der Sicherheitsbehörden und anderer wichtiger Beamtenapparate finden kaum Erwähnung in den Mainstreammedien, die viele andere argwöhnische Amerikaner als eine weitere Komponente des Tiefen Staates sehen.»
a déclaré l'ex-analyste de la CIA Ray McGovern. Et il a également constaté que 'Trump semblait être aussi intimidé par l'Etat profond que son prédécesseur Obama'. sagte der Ex CIA-Analyst Ray McGovern. Und er stellte auch fest, dass ‹Trump durch den Tiefen Staat ebenso eingeschüchtert worden zu sein schien wie sein Vorgänger Obama.›
(Source: www.rubikon.news/artikel/der-jfk-triumph-des-tiefen-staates-uber-trump) (Quelle: www.rubikon.news/artikel/der-jfk-triumph-des-tiefen-staates-uber-trump)
L'expression 'État profond' (deep state) a été rendue célèbre par la publication en 2016 aux États-Unis du livre de Mike Lofgren - qui a travaillé pendant 28 ans comme assistant au Congrès américain - intitulé 'The Deep State : The Fall of the Constitution and the Rise of a Shadow Government' (L'État profond : la descente de la Constitution et la montée d'un gouvernement fantôme), a été mis en circulation et popularisé. Dans ce livre, il parle d'un groupement de pouvoir dont il fait remonter l'origine aux débuts de la guerre froide, né de l'imbrication de la bureaucratie, de l'armée, de la finance et de l'industrie high-tech et qui, en tant que classe dirigeante, s'est de plus en plus rapproché de la nomenclature soviétique. Cette forme de gouvernement aurait été conçue pour la première fois par le projet Manhattan et aurait trouvé là une incarnation exemplaire, lorsque des quantités d'argent inouïes ont été investies dans le plus grand secret et que des villes entières, des laboratoires et des installations ont été construits en très peu de temps à partir de rien. Après la fin de la guerre, ce modèle d'organisation a été étendu à l'ensemble de l'État et a atteint un tournant à l'époque de Truman, avec l'exploitation rhétorique de la prétendue menace permanente des régimes totalitaires sur la sécurité nationale pour légitimer la croissance anormale de l'appareil militaire, dont les activités sont dissimulées sous le manteau du secret. Cette militarisation de l'État se serait développée sous une forme si profonde et si étendue qu'elle ne pourrait être limitée ni dans le temps ni à des domaines spécifiques, mais serait devenue un état d'exception permanent, que l'on peut qualifier d'élément fondamental de l'ordre étatique effectif, et qui vide de toute fonction les organes constitutionnels. Der Ausdruck ‹Tiefer Staat› (deep state) wurde durch das 2016 in den USA erschienene Buch von Mike Lofgren – der 28 Jahre lang als Assistent im US-Kongress gearbeitet hat – mit dem Titel ‹The Deep State: The Fall of the Constitution and the Rise of a Shadow Government› (Der Tiefe Staat: Der Abstieg der Verfassung und der Aufstieg einer Schattenregierung) in Umlauf gebracht und populär. Er spricht im Buch von einer Machtgruppierung, deren Herkunft er auf die Frühzeit des Kalten Krieges zurückführt, die aus einer Verflechtung von Bürokratie, Militär, Finanz- und High-Tech-Industrie entstand und als herrschende Klasse der sowjetischen Nomenklatur immer ähnlicher wurde. Diese Regierungsform sei zum ersten Mal durch das Manhattan-Projekt konzipiert worden und habe dabei eine vorbildliche Verkörperung gefunden, als unter strenger Geheimhaltung unerhörte Geldmengen investiert und in kürzester Zeit aus dem Nichts ganze Städte, Labore und Anlagen aufgebaut wurden. Nach dem Kriegsende sei dieses Organisationsmodell auf den ganzen Staat ausgedehnt worden und habe zur Zeit Trumans einen Wendepunkt erreicht, und zwar durch die rhetorische Ausnutzung der angeblich ständigen Bedrohung der nationalen Sicherheit durch totalitäre Regimes zur Legitimation des abnormen Wachstums des Militärapparats, dessen Tätigkeiten unter dem Mantel der Geheimhaltung verdeckt werden. Diese Militarisierung des Staates habe sich in einer derart tiefen und umfassenden Form entwickelt, dass sie weder zeitlich noch auf spezifische Bereiche beschränkbar sei, sondern zu einem als Grundelement der effektiven Staatordnung zu bezeichnenden permanenten Ausnahmezustand geworden ist, der jegliche Funktion der Verfassungsorgane entleert.
Il convient de mentionner à cet égard que, selon les indications plejarischen, les États-Unis sont, du point de vue de la forme de l'État, une polyarchie de type oligarchique, c'est-à-dire une structure étatique structurée par différents centres de pouvoir opérant indépendamment les uns des autres et parfois même en concurrence les uns avec les autres (comme le Congrès, la Maison Blanche, la Cour suprême, la CIA et d'autres services secrets, le Pentagone et le complexe militaro-industriel ainsi que, justement, le gouvernement fantôme). Le 17 janvier 1961, le 34e président des États-Unis d'Amérique, Dwight D. Eisenhower, a prononcé les paroles suivantes lors de son dernier discours télévisé, peu avant de quitter ses fonctions : Es muss diesbezüglich erwähnt werden, dass die USA nach plejarischen Angaben staatsformmässig eine Polyarchie oligarchischer Art sind, d.h. ein durch verschiedene unabhängig voneinander operierende und manchmal auch miteinander konkurrierende Machtzentren strukturiertes Staatsgebilde (wie etwa der Kongress, das Weisse Haus, der Oberste Gerichtshof, die CIA und sonstige Geheimdienste, das Pentagon und der militärisch-industrielle Komplex sowie eben die Schattenregierung). Dazu sprach am 17. Januar 1961 der 34. Präsident der Vereinigten Staaten von Amerika, Dwight D. Eisenhower, in der letzten Fernsehansprache kurz vor seinem Amtsabschied, folgende Worte aus:
Cette association d'un énorme appareil militaire et d'une grande industrie de l'armement est une expérience nouvelle aux États-Unis. L'influence totale - économique, politique et même spirituelle - est perçue dans chaque ville, dans chaque parlement de nos États et dans chaque agence du gouvernement fédéral. Nous reconnaissons la nécessité de cette évolution. Mais nous ne devons pas non plus fermer les yeux sur ses graves conséquences. Tous nos efforts, nos ressources et nos moyens d'existence sont concernés ; cela vaut également pour la structure de notre société. (...) Au sein des instances gouvernementales, nous devons nous opposer à la prise de possession par le complexe militaro-industriel d'une ingérence non autorisée, qu'elle soit sollicitée ou non. Le potentiel d'augmentation catastrophique d'un pouvoir déplacé existe et continuera d'exister. Diese Verbindung eines gewaltigen Militärapparates mit einer grossen Rüstungsindustrie stellt eine neue Erfahrung in den USA dar. Der gesamte Einfluss – wirtschaftlich, politisch, ja sogar spirituell – wird wahrgenommen in jeder Stadt, in jedem Parlament unserer Bundesstaaten und jeder Behörde der Bundesregierung. Wir erkennen die Notwendigkeit dieser Entwicklung an. Wir dürfen aber auch nicht die Augen verschliessen gegenüber ihren schwerwiegenden Folgen. All unsere Bemühungen, Mittel und Existenzgrundlagen sind betroffen; das gilt auch für die Struktur unserer Gesellschaft. (…) In den Gremien der Regierung müssen wir uns verwahren gegen die Inbesitznahme einer unbefugten Einmischung, ob angefragt oder nicht, durch den militärisch-industriellen Komplex. Das Potential für die katastrophale Zunahme deplatzierter Macht existiert und wird weiter bestehen bleiben.
Et le journaliste et écrivain Chris Hedges, lauréat du prix Pulitzer, écrit ce qui suit à propos du gouvernement fantôme américain : Und der mit dem Pulitzer-Preis gekrönte Journalist und Schriftsteller Chris Hedges schreibt über die amerikanische Schattenregierung folgendes:
Aux Etats-Unis, il existe, en plus du gouvernement visible, un gouvernement invisible composé de technocrates anonymes, d'agents de renseignement, de généraux, de banquiers, d'entrepreneurs et de lobbyistes. Les États-Unis d'Amérique sont fermement sous l'emprise d'un gouvernement invisible, dirigé par les services secrets du pays. In den USA gibt es neben der sichtbaren noch eine unsichtbare Regierung, die aus anonymen Technokraten, Geheimdienstlern, Generälen, Bankern, Unternehmern und Lobbyisten besteht. Die Vereinigten Staaten von Amerika befinden sich fest im Griff einer unsichtbaren Regierung, angeführt von den Geheimdiensten des Landes.
Chris Hedges retrace, à l'aide d'extraits du nouveau livre du journaliste Stephen Kinzer, les crimes historiques et actuels commis par la CIA et leur impact sur les Etats-Unis et le monde entier : Chris Hedges zeichnet anhand von Ausschnitten aus dem neuen Buch des Journalisten Stephen Kinzer nach, welche historischen und aktuellen Verbrechen die CIA begangen hat und welche Auswirkungen diese auf die USA und die ganze Welt haben:
Aux Etats-Unis, il existe deux types de gouvernement : d'une part, le gouvernement visible - la 'Maison Blanche', le Congrès, les tribunaux, les parlements d'Etat et les gouverneurs - et d'autre part, le gouvernement invisible ou l'Etat profond, dans lequel des technocrates anonymes, des agents des services secrets, des généraux, des banquiers, des entrepreneurs et des lobbyistes dirigent la politique intérieure et extérieure, quel que soit le parti politique au pouvoir. In den Vereinigten Staaten gibt es zwei Arten von Regierung: Da ist einerseits die sichtbare Regierung – das ‹Weisse Haus›, der Kongress, die Gerichte, die Staatsparlamente und die Gouverneure –, und andererseits die unsichtbare Regierung beziehungsweise der tiefe Staat, in dem anonyme Technokraten, Geheimdienstler, Generäle, Banker, Unternehmer und Lobbyisten die Innen- und Aussenpolitik steuern, unabhängig davon, welche politische Partei an der Macht ist.
Les organes les plus puissants et les plus importants du gouvernement invisible sont les services secrets de la nation, qui sont hypertrophiés et n'ont pas à rendre de comptes. Ils sont son avant-garde ; surveillent un vaste monde de l'ombre et ont pour mission de maintenir la position de force du gouvernement invisible ; espionnent les critiques locaux et étrangers et salissent leurs noms, manipulent les élections, corrompent, font du chantage, torturent, assassinent et inondent les médias de 'propagande noire' ; sont immunisés contre le chaos et la souffrance humaine qu'ils laissent derrière eux. Le gouvernement invisible a renversé des gouvernements démocratiquement élus en Iran, au Guatemala et au Chili, et a fait avancer les guerres au Vietnam, en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie. Die mächtigsten und wichtigsten Organe der unsichtbaren Regierung sind die aufgeblähten und nicht rechenschaftspflichtigen Geheimdienste der Nation. Sie sind ihre Vorhut; überwachen eine riesige Schattenwelt und haben die Aufgabe, die Machtposition der unsichtbaren Regierung aufrechtzuerhalten; spionieren einheimische und ausländische Kritiker aus und beschmutzen ihre Namen, manipulieren Wahlen, bestechen, erpressen, foltern, ermorden und überfluten die Medien mit ‹schwarzer Propaganda›; sind immun gegen das Chaos und das menschliche Leid, das sie hinterlassen. Die unsichtbare Regierung hat demokratisch gewählte Regierungen im Iran, in Guatemala und Chile gestürzt sowie die Kriege in Vietnam, Afghanistan, im Irak, in Libyen und Syrien vorangetrieben.
Il en a résulté des catastrophes, des troubles sociaux, des effondrements économiques, une misère massive, des morts et une résistance anti-américaine fanatique. Les États-Unis et le reste du monde seraient bien plus en sécurité si nos guerriers de l'ombre autoproclamés, qui n'avaient pas prévu la révolution iranienne, l'effondrement de l'Union soviétique et les attentats du 11 septembre 2001, qui semblaient ignorer l'inexistence d'armes de destruction massive irakiennes et dont l'usage généralisé de la torture en fait les recruteurs les plus efficaces pour le djihadisme radical, étaient tenus responsables devant l'opinion publique et l'État de droit. De temps en temps, on aperçoit le délabrement moral et l'inefficacité qui caractérisent le monde de l'ombre des Etats-Unis. Daraus entstanden Katastrophen, soziale Unruhen, wirtschaftliche Zusammenbrüche, massives Elend, Tod und ein fanatischer anti-amerikanischer Widerstand. Die Vereinigten Staaten und der Rest der Welt wären weitaus sicherer, wenn unsere selbsternannten Schattenkrieger, die die Iranische Revolution, den Zusammenbruch der Sowjetunion und die Anschläge vom 11. September 2001 nicht vorausgesehen haben, von dem Nichtvorhandensein irakischer Massenvernichtungswaffen scheinbar nichts wussten und deren umfassender Einsatz von Folter sie zu den effizientesten Anwerbern für radikalen Dschihadismus macht, gegenüber der Öffentlichkeit und der Rechtsstaatlichkeit verantwortlich gemacht werden würden. Ab und zu erhascht man einen Blick auf die moralische Verwahrlosung und Untauglichkeit, von der die Schattenwelt der USA geprägt ist.
(Source: https://www.rubikon.news/artikel/die-schattenregierung) (Quelle: https://www.rubikon.news/artikel/die-schattenregierung)
Le fait que les Etats-Unis ne sont en fait pas une démocratie mais une oligarchie est argumenté entre autres par l'historien suisse et chercheur sur la paix Daniele Ganser. Dans une conférence tenue à Berlin sous le titre 'L'empire américain est une oligarchie', que l'on peut également voir sur YouTube, il cite les paroles suivantes de l'ancien président américain Jimmy Carter (tirées d'une interview donnée en 2015 à la présentatrice américaine de talk-show Oprah Winfrey) : Dass die USA eigentlich keine Demokratie, sondern eine Oligarchie sind, wird unter anderem vom Schweizer Historiker und Friedensforscher Daniele Ganser argumentiert. In einem in Berlin gehaltenen Vortrag unter dem Titel ‹Das US-Imperium ist eine Oligarchie›, der auch auf YouTube zu sehen ist, zitiert er folgende Worte des früheren US-Präsidenten Jimmy Carter (aus einem der amerikanischen Talkshow-Moderatorin Oprah Winfrey gegebenen Interview von 2015):
Tous les candidats à la présidence américaine doivent disposer d'au moins 200 ou 300 millions de dollars. (...) Nous sommes devenus une oligarchie plutôt qu'une démocratie. Et je pense que c'est le plus grand dommage aux normes éthiques et morales fondamentales du système politique américain que j'ai jamais vu de ma vie. Alle US-Präsidentschaftskandidaten müssen mindestens über 200 oder 300 Millionen Dollar verfügen. (…) Wir sind eine Oligarchie geworden, statt eine Demokratie. Und ich glaube, dass das der grösste Schaden an den fundamentalen ethischen und moralischen Standards des amerikanischen politischen Systems ist, den ich je in meinem Leben gesehen habe.
(ource de la citation : livre de Daniele Ganser 'Illegale Kriege' p.33) (Quelle des Zitats: Daniele Gansers Buch ‹Illegale Kriege› S.33)
"Selon une enquête récente, les cent sénateurs américains possèdent en moyenne une fortune personnelle de trois millions de dollars. Cela signifie que le Sénat américain n'est pas le conseil des vieux et des sages, mais des riches", ajoute-t-il.

Il faut donc en conclure, selon Ganser, que les Etats-Unis sont une oligarchie (le mot vient du grec et signifie 'domination de quelques-uns') parce qu'ils sont "dominés par une élite riche et puissante, alors que l'Américain moyen n'a que peu de pouvoir pour influencer la politique". Il en résulte que "la politique étrangère américaine sert exclusivement les intérêts des oligarques".

«Die Hundert US-Senatoren besitzen einer aktuellen Erhebung zufolge im Durchschnitt ein Privatvermögen von drei Millionen Dollar. Das bedeutet, dass der US-Senat nicht der Rat der Alten und Weisen, sondern der Reichen ist», fügte er hinzu. Daraus ist zu schliessen, meint Ganser, dass die USA deshalb eine Oligarchie (das Wort kommt aus dem griechischen und heisst ‹Herrschaft von Wenigen›) sind, weil sie «durch eine reiche und mächtige Elite dominiert werden, während der durchschnittliche Amerikaner nur wenig Macht hat, die Politik zu beeinflussen». Das bringt mit sich, dass «die amerikanische Aussenpolitik ausschliesslich den Interessen der Oligarchen dient».
La relation entre le soi-disant 'Etat profond' et le président américain peut être illustrée de la manière la plus évidente par la parabole d'Obama, car celui-ci a été élu à la Maison Blanche sur la base d'une vague d'enthousiasme largement répandue, mais aussi à une époque caractérisée par une crise générale du système social et économique américain. Das Verhältnis zwischen sogenanntem ‹Tiefem Staat› und US-Präsidenten kann beispielhaft am offensichtlichsten an der Parabel von Obama abgelesen werden, denn dieser wurde aufgrund einer weit verbreiteten Begeisterungswelle ins Weisse Haus gewählt, aber andererseits auch in einer Zeit, die von einer allgemeinen Krise des amerikanischen Gesellschafts- und Wirtschaftssystems gekennzeichnet war.
Lors de sa campagne électorale, il avait promis de remettre en question et de réformer certains piliers du système de pouvoir américain (comme la surpuissance des appareils de sécurité et du monde de la finance, les dépenses militaires excessives, le manque de démocratie effective et de justice sociale, la politique étrangère agressive et belliqueuse), suscitant ainsi de grands espoirs de changement radical de la gouvernance. Mais le bilan final de ses huit années de présidence - pendant lesquelles il a disposé de la majorité dans les deux chambres du Congrès - a été très décevant et a témoigné en fin de compte de son manque de pertinence politique et de sa soumission à l'ordre effectif du pouvoir et à certaines figures dictant les règles du jeu, ainsi que de son échec lamentable en ce qui concerne la promesse de réformer le système en profondeur. En revanche, ce qui est rapidement apparu, ce sont ses efforts pour préserver le statu quo et ne pas être considéré comme un corps étranger par les principaux centres de pouvoir, officiels et officieux, mais être accueilli favorablement. Cet objectif est clairement apparu dans le choix de ses ministres, hauts fonctionnaires et conseillers, dont une partie non négligeable appartenait au personnel de l'administration Bush. Pour résumer brièvement l'expérience gouvernementale d'Obama, Lofgren raconte un épisode significatif qui, selon lui, illustre le plus clairement la relation de subordination du président à l'État profond. Dans une interview publiée en mars 2015, l'ancien directeur de la CIA John Brennan, souvent critiqué et auquel Obama avait toujours fait preuve d'une grande loyauté, a déclaré que "le président n'avait pas un grand respect pour la sécurité nationale lors de son entrée en fonction, mais qu'il avait été formé et qu'il avait compris la complexité de l'ensemble grâce à la tutelle exercée par lui-même et par d'autres experts". Il en ressort que Brennan n'a pas exprimé de gratitude pour la loyauté dont il a bénéficié de la part du président et qui est en contradiction avec les valeurs morales de ce dernier, comme s'il s'agissait de toute façon d'un devoir de la part du président envers la CIA. De son côté, le destin d'Obama, qui avait incarné le changement avant son entrée en fonction, a tragiquement révélé comment un président qui s'était présenté avec des intentions de changement fortes et sincères est rapidement devenu la victime d'influences étrangères et subtiles de la part de puissants personnages clés et de manipulateurs, ainsi que du gouvernement fantôme et de l'appareil officiel du pouvoir, comme s'il s'agissait d'un processus de coopération automatique et qu'il était quasiment téléguidé. Par ailleurs, il a été révélé par les Plejaren qu'Obama avait également été menacé de mort par des forces obscures. In seinem Wahlkampf hatte er in Aussicht gestellt, einige Eckpfeiler der amerikanischen Machtordnung in Frage zu stellen und reformieren zu wollen (wie die Übermacht der Sicherheitsapparate und der Finanzwelt, die überbordenden Militärausgaben, den Mangel an effektiver Demokratie und an sozialer Gerechtigkeit, die aggressive und kriegslustige Aussenpolitik) und dadurch grosse Hoffnungen auf einen radikalen Veränderungskurs bezüglich der Staatsführung geweckt. Doch die Endbilanz seiner acht Jahre dauernden Präsidentschaft – wobei er für die meiste Amtszeit über die Mehrheit in beiden Kongresskammern verfügte –, war sehr enttäuschend und zeugte im Endeffekt von seiner politischen Irrelevanz und Unterstellung unter die effektive Machtordnung und bestimmte die Spielregeln diktierenden Figuren sowie von seinem kläglichen Scheitern in Bezug auf das Versprechen, das System grundlegend zu reformieren. Was dagegen bald zum Vorschein kam, waren seine Bemühungen, den Satus quo zu bewahren und von den wichtigsten Machtzentren, den offiziellen und den inoffiziellen, nicht als Fremdkörper angesehen, sondern günstig aufgenommen zu werden. Dieses Ziel wurde bei der Auswahl seiner Minister, hoher Beamter und Berater klar erkennbar, wobei ein nicht geringer Teil davon dem Personal der Bush-Administration angehörte. Um die Regierungserfahrung Obamas beispielhaft auf einen kurzen Nenner zu bringen erzählt Lofgren eine bedeutsame Episode, die aus seiner Sicht am deutlichsten das Unterordnungsverhältnis des Präsidenten zum Tiefen Staat darstellt. In einem im März 2015 veröffentlichten Interview sagte der oft kritisierte ehemalige CIA-Direktor John Brennan, dem gegenüber Obama stets grosse Loyalität gezeigt hatte, «der Präsident habe bei seinem Amtsantritt keine grosse Achtung vor der nationalen Sicherheit gehabt, doch durch die Bevormundung seinerseits und seitens anderer Experten er sei geschult worden und habe die Komplexität des ganzen mitbekommen». Daraus wird ersichtlich, dass Brennan für die ihm vom Präsidenten gezollte und mit dessen moralischen Werten im Widerspruch stehende Loyalität keine Dankbarkeit geäussert hat, so, als sei das ohnehin eine Pflicht seitens des Präsidenten gegenüber der CIA. Seinerseits hat das Schicksal von Obama, der vor seinem Amtsantritt das Sinnbild der Veränderung verkörpert hatte, auf tragischer Weise enthüllt, wie ein mit starken und ehrlichen Veränderungsabsichten aufgetretener Präsident bald Opfer fremder und subtiler Beeinflussungen durch mächtige Schlüsselfiguren und Drahtzieher sowie durch die Schattenregierung und den offiziellen Machtapparat wie durch einen automatischen Kooperationsprozess vereinnahmt und quasi ferngesteuert wurde. Im übrigen wurde durch die Plejaren bekannt gemacht, dass Obama von dunklen Kräften auch mit dem Tod bedroht wurde.
Dans la préface de son livre 'Die geheime Geschichte der amerikanischen Kriege' (L'histoire secrète des guerres américaines) paru en 1998. Complot et guerre dans la politique étrangère américaine', écrit Mansur Khan : Im Vorwort zu seinem 1998 erschienenen Buch ‹Die geheime Geschichte der amerikanischen Kriege. Verschwörung und Krieg in der US-Aussenpolitik› schreibt Mansur Khan folgendes:
Depuis la guerre américano-mexicaine (1846-1848), les provocations et les intrigues ont été un moyen de déclencher des guerres dans la politique étrangère américaine. Un fil rouge traverse l'histoire des guerres américaines et indique des provocations et des mises en scène d'"incidents" que les dirigeants utilisent pour faire croire à leur propre peuple qu'une guerre est désormais justifiée. Il ne faut pas oublier que la guerre est toujours une affaire lucrative pour le monde des affaires et de l'armement. Dans le contexte des guerres américaines, j'ai toujours remarqué que la vraie politique n'était pas faite par les hommes politiques, mais par une élite au pouvoir qui tirait les ficelles dans l'ombre. (...) En outre, cette même élite dirige nos médias, elle décide quelles 'nouvelles' sont diffusées et lesquelles ne le sont pas. La plupart des présidents américains n'étaient que des instruments de cette élite au pouvoir, et ils faisaient ce qu'elle leur ordonnait indirectement ou directement. Seit dem amerikanisch-mexikanischen Krieg (1846–1848) waren Provokationen und Intrigen in der amerikanischen Aussenpolitik ein Mittel, Kriege auszulösen. Ein roter Faden zieht sich durch die Geschichte der amerikanischen Kriege und deutet auf Provokationen und Inszenierungen von ‹Vorfällen› hin, die die Machthaber dazu benutzen, dem eigenen Volk weiszumachen, dass ein Krieg nun gerechtfertigt ist. Man darf hierbei nicht vergessen, dass Krieg auch immer ein einträgliches Geschäft für die Geschäfts- und Rüstungswelt ist. Im Zusammenhang mit den amerikanischen Kriegen fiel mir immer wieder auf, dass die wirkliche Politik nicht von den Politikern gemacht wurde, sondern von einer Machtelite, die die Fäden im Hintergrund in der Hand hielt. (…) Ausserdem steuert dieselbe Machtelite unsere Medien, sie entscheidet darüber, welche ‹Nachrichten› gesendet werden und welche nicht. Die meisten US-Präsidenten waren nur Instrumente dieser Machtelite, und sie taten, was Ihnen indirekt oder direkt von ihr befohlen wurde.
Si l'on veut connaître et approfondir en détail toute l'histoire de la politique étrangère truquée des Etats-Unis et des opérations de guerre américaines, on peut lire, outre le livre cité ci-dessus, entre autres les ouvrages suivants : 'Der Moloch. Eine kritische Geschichte der USA', de Karlheinz Deschner, et 'Destruction de l'espoir (Killing Hope) : Les interventions armées des Etats-Unis et de la CIA depuis la Seconde Guerre mondiale', de William Blum. Ce dernier a travaillé pendant un certain temps comme fonctionnaire au US State Department, le ministère américain des Affaires étrangères. En ce qui concerne Blum, il convient de mentionner ce qu'il a déclaré lors d'une interview télévisée de 2015 avec 'Russia Today', à savoir : "Je ne pense pas que la politique étrangère américaine changera du tout, quel que soit le candidat à la Maison Blanche ; quel que soit le candidat à la présidence et quel que soit le parti, cela n'a aucune importance". Lorsque la présentatrice lui a demandé pourquoi il pensait qu'il n'y avait pas de différence, il a répondu : Wenn man die ganze Geschichte der trickreichen US-Aussenpolitik und der amerikanischen Kriegseinsätze im Detail zur Kenntnis nehmen und vertiefen will, kann man neben dem oben zitierten Buch unter anderem folgende Bücher lesen: ‹Der Moloch. Eine kritische Geschichte der USA›, von Karlheinz Deschner, und ‹Zerstörung der Hoffnung (Killing Hope): Bewaffnete Interventionen der USA und der CIA seit dem 2. Weltkrieg› von William Blum. Letzterer arbeitete eine Zeitlang als Beamter beim US-State Department, dem amerikanischen Aussenministerium. Was Blum anbelangt, ist es erwähnenswert, was er in einem Fernsehinterview von 2015 mit ‹Russia Today› sagte, nämlich: «Ich glaube nicht, dass die US-Aussenpolitik sich überhaupt ändern wird, unabhängig davon, wer im Weissen Haus sitzt; welcher Präsidentschaftskandidat und von welcher Partei spielt keine Rolle». Auf die Frage der Moderatorin, warum er denke, es gäbe keinen Unterschied, antwortete er:
Parce que l'Amérique américaine poursuit un objectif fondamental depuis deux siècles, et c'est la domination du monde. (…) La suprématie américaine, c'est le rêve des républicains comme des démocrates (…). L'idée est que nous sommes la nation élue et que nous avons quelque chose d'important à donner au reste du monde, à savoir nos valeurs d'élection américaine. (…) L'OTAN partage le désir des Etats-Unis de dominer le monde. L'OTAN n'est qu'un outil pour les Etats-Unis. Cela n'a aucun sens de faire une différence entre la politique étrangère des Etats-Unis et la politique de l'OTAN. (…) Weil US-Amerika seit zwei Jahrhunderten ein grundlegendes Ziel verfolgt und das ist die Weltherrschaft. (…) Von der US-Vorherrschaft träumen sowohl die Republikaner als auch die Demokraten (…). Die Idee ist, dass wir die auserwählte Nation sind und der restlichen Welt etwas Wichtiges zu erteilen haben, nämlich unsere Werte der US-amerikanischen Auserwähltheit. (…) Die NATO teilt den Wunsch der USA, in der Welt herrschen zu wollen. Die NATO ist für die USA lediglich ein Werkzeug. Es hat keinen Sinn, einen Unterschied zwischen der US-Aussenpolitik und der Politik der NATO zu machen. (…)
La présentatrice lui a ensuite demandé : "Les forces d'intervention de l'OTAN en Europe de l'Est doivent être portées à 30.000 soldats. Pourquoi fait-on cela et contre qui ces troupes sont-elles dirigées ?" Ce à quoi il répondit : Dann fragte ihn die Moderatorin: «Die Eingreiftruppen der NATO in Osteuropa sollen auf 30.000 Soldaten aufgestockt werden. Warum tut man das und gegen wen sind diese Truppen gerichtet?» Darauf antwortete er:
Les activités de l'OTAN sont dirigées contre la Russie. Les Etats-Unis ne toléreront personne qui s'oppose à l'expansion mondiale de l'empire américain. La Russie et la Chine sont les seules nations capables de se mettre en travers du chemin de l'empire américain. Die NATO-Aktivitäten sind gegen Russland gerichtet. Die USA werden niemanden dulden, der im Wege der globalen Expansion des US-Imperiums steht. Russland und China sind die einzigen Nationen, die in der Lage sind, dem US-Imperium im Wege zu stehen.
Dans l'histoire des Etats-Unis, il y a toujours eu, depuis le début, une relation étroite entre la foi chrétienne et la politique, de sorte que presque tous les présidents ont volontiers invoqué Dieu lors de discours importants, de décisions et d'entrées en guerre, comme le décrit l'écrivain allemand et critique de l'Eglise Karlheinz Deschner dans l'extrait de livre suivant : In der Geschichte der USA hat es seit ihrem Anfang immer eine enge Beziehung zwischen christlichem Glauben und Politik gegeben, so dass fast alle Präsidenten bei wichtigen Reden, Entscheidungen und Kriegseintritten sich gerne auf Gott berufen haben, wie der deutsche Schriftsteller und Kirchenkritiker Karlheinz Deschner in folgenden Buchauszug schildert:
Les présidents américains accompagnent leurs actions, leurs actes ou leurs méfaits (ici généralement identiques) des pensées les plus nobles, avec une référence explicite à Dieu, à la Bible, au christianisme - de Benjamin Franklin, qui implore l'assistance divine pour la réussite d'une révolution d'épiciers, McKinley, qui part à la conquête des Philippines pour les 'christianiser', Truman, l'artificier qui voit dans la Bible 'les fondements' de la constitution américaine, Lyndon B. Johnson, qui ne veut 'jamais laisser de ligne de démarcation' entre le pouvoir que nous possédons et Dieu qui repose au plus profond de nos cœurs ; et le voyou Nixon, qui appelle sa nation la 'nation sous Dieu' ; jusqu'au mime hollywoodien Reagan, qui célèbre les Etats-Unis comme 'l'espoir doré pour toute l'humanité', comme 'le dernier grand espoir de l'homme terrestre' ; qui affirme que 'Dieu, qui déverse sa grâce sur cette terre, nous a toujours regardés et nous a conduits dans le pays qui est la terre de la promesse', 'le pays qui n'a jamais été destiné à être le deuxième meilleur pays'. Et pourquoi ? L'acteur le savait également : "Parce que les Américains sont bien plus religieux que les gens des autres pays". Mit hehrsten Gedanken begleiten US-Präsidenten ihr Tun, ihre Taten oder Untaten (hier meist identisch), mit ausdrücklichem Bezug auf Gott, die Bibel, das Christentum – von Benjamin Franklin, der göttlichen Beistand erfleht für das Gelingen einer Krämer-Revolution, über McKinley, der zur Eroberung der Philippinen auszieht, um sie ‹zu christianisieren›, bis zum Atombomben-Schmeisser Truman, der in der Bibel ‹die Grundlagen› der amerikanischen Verfassung erblickt, dem Vietnamkämpfer und ‹Jünger Christi›-Mitglied Lyndon B. Johnson, der ‹nie einen Trennstrich› ziehen lassen will ‹zwischen der Macht, die wir besitzen, und Gott, der tief in unseren Herzen ruht›; und zum Ganoven Nixon, der seine Nation die ‹Nation unter Gott› nennt; bis hin zum Hollywood-Mimen Reagan, der die USA als ‹goldene Hoffnung für die ganze Menschheit› feiert, als ‹die letzte grosse Hoffnung des Erdenmenschen›; der behauptet, dass ‹Gott, der seine Gnade auf dieses Land giesst, immer auf uns blickte und uns in das Land führte, das das Land der Verheissung ist›, ‹das Land, das nie dafür bestimmt war, das zweitbeste Land zu sein›. Und warum? Auch das wusste der Schauspieler: «Weil die Amerikaner weitaus religiöser sind als die Menschen in anderen Ländern.»
(Source: Karlheinz Deschner, 'The Moloch. A Critical History of the USA' page 35, 2002, Wilhelm Heyne Verlag, Munich). (Quelle: Karlheinz Deschner, ‹Der Moloch. Eine kritische Geschichte der USA› Seite 35, 2002, Wilhelm Heyne Verlag, München)
La technique décrite précédemment de la tromperie et de la guerre de propagande dans le but de construire l'image parfaite de l'ennemi est utilisée systématiquement depuis des années par les services secrets américains et l'OTAN en ce qui concerne la Russie, afin de faire apparaître le président russe aux yeux de l'opinion publique comme le méchant numéro 1 et une grande menace pour l'Occident. Die früher beschriebene Technik der Täuschung und der Irreführung sowie des Propagandakrieges zum Zweck der Konstruktion des perfekten Feindbildes wird durch die amerikanischen Geheimdienste und die NATO in Bezug auf Russland seit Jahren systematisch angewendet, um den russischen Präsidenten vor den Augen der Öffentlichkeit als den Bösewicht Nummer 1 und eine grosse Bedrohung für den Westen erscheinen zu lassen.
La liste des incidents et des intrigues dans lesquels le chef du Kremlin aurait, selon la propagande occidentale, joué un rôle de cerveau maléfique, est très longue. Il s'agit notamment du Brexit, de l'affaire Skripal, de l'élection de Trump, de la manipulation de l'opinion publique à des fins politiques via les médias sociaux avec l'utilisation de 'trolls', des attaques de hackers contre différentes institutions, entreprises et autorités dans l'UE et aux Etats-Unis, du financement de partis d'extrême droite en Europe, l'assassinat d'un grand nombre de journalistes critiques et d'opposants politiques en Russie et, plus récemment, l'empoisonnement du dissident Alexeï Navalny qui, d'ailleurs, d'après ce que les pléiaires ont découvert, a été conçu et perpétré par quelqu'un de son propre cercle, probablement en accord avec des agents des services secrets de l'Ouest. Voici un extrait des rapports de contact Plejaren à ce sujet : Die Liste von Zwischenfällen und Intrigen, bei denen der Kremlchef laut der westlichen Propaganda als böser Drahtzieher die Hände im Spiel gehabt haben soll, ist sehr lang. Darin eingeschlossen sind unter andrem der Brexit, die Skripal-Affäre, die Trump-Wahl, die entsprechende Manipulation der öffentlichen Meinung zu politischen Zwecken durch die sozialen Medien mit dem Einsatz von ‹Trolls› sowie Hacker-Attacken gegen verschiedene Einrichtungen, Firmen und Behörden in der EU und den USA, die Finanzierung rechtsextremer Parteien in Europa, die Ermordung einer ganzen Zahl von kritischen Journalisten und politischen Gegnern in Russland und zuletzt auch die Vergiftung des Dissidenten Alexej Nawalny, die übrigens, aufgrund dessen, was von den Plejaren entdeckt wurde, von jemandem aus seinem eigenen Kreis erdacht und verübt wurde, vermutlich im Einvernehmen mit irgendwelchen Geheimdienstleuten aus dem Westen. Dazu ein Auszug aus den plejarischen Kontaktberichten:
Bermunda: Bermunda:
Je veux d'abord aborder ce que tu as déjà demandé à Ptaah il y a longtemps, à savoir quelle est la vérité concernant l'empoisonnement du Russe Navalny. Nous avons pu l'établir il y a deux jours seulement. Il faut donc dire que l'administration du poison a été faite par des membres internes de l'homme, à savoir … Erst will ich das ansprechen, was du schon vor längerer Zeit Ptaah ersucht hast herauszufinden, was tatsächlich die Wahrheit bezüglich des Giftanschlages auf den Russen Nawalny ist. Das haben wir nun erst vor 2 Tagen ergründen können. Dazu ist folglich zu sagen, dass die Giftdarreichung aus den internen Reihen des Mannes erfolgte, und zwar …
Billy: Billy:
Aha, sinon je pense qu'il aurait été tout simplement abattu si … Aha, anderseitig wäre er meines Erachtens nämlich einfach erschossen worden, wenn …
Bermunda: Bermunda:
On peut le supposer, car cela aurait été plus efficace et en plus … Das ist anzunehmen, denn dies wäre effizienter gewesen und zudem …
Il est indéniable que Poutine est accusé de manière contradictoire de fomenter tous les complots imaginables et obscurs contre l'UE, les États-Unis et l'OTAN, et ce précisément par ceux qui s'efforcent tout le temps, par le biais de médias et de journalistes à leur botte, ou d'une manière plus générale, de faire croire aux citoyens européens qu'il s'agit de complots. s'efforcent de faire comprendre aux citoyens qu'il n'y a pas de complots, d'accords secrets et d'intrigues de la part des dirigeants des pays occidentaux et qu'il est totalement exclu qu'il y en ait un jour, car dans les pays occidentaux, qu'ils font passer pour des démocraties, à la différence de tous les autres pays du monde, tout ce qui concerne la politique et le gouvernement est transparent, c'est-à-dire qu'il se déroule sous les yeux des citoyens et sous leur contrôle, comme s'il s'agissait de maisons de verre totalement transparentes. Ce récit naïf et trompeur est ensuite cru par de nombreux auditeurs, spectateurs et lecteurs qui n'ont pas la moindre idée de ce que signifie réellement la démocratie, de la manière dont elle peut être effectivement mise en œuvre et dont elle est concrètement pratiquée depuis des milliers d'années sur d'autres planètes et par des civilisations étrangères dans l'univers. Il existe bien différents systèmes politiques sur Terre, mais tous n'ont rien à voir avec la démocratie, à la seule exception de la Suisse, qui n'est qu'une démocratie partielle. Les États occidentaux sont des systèmes constitutionnels représentatifs de type oligarchique, que l'on peut également qualifier de dictatures multipartites corrompues, où tous les 4 ou 5 ans, une partie de plus en plus réduite de la population élit des parlementaires qui, une fois élus, ne servent généralement que leurs propres intérêts ou ceux de leur parti ou groupement interne, ainsi que ceux de certains lobbies nationaux ou internationaux, centres financiers et de pouvoir (comme l'OTAN, le groupe Bilderberg, etc.). ), officiels ou secrets, de telle sorte qu'ils ne représentent pas du tout la volonté du peuple, ou du moins de sa majorité, mais la trahissent et la foulent constamment aux pieds. Le peuple n'a même pas le pouvoir de démettre de leurs fonctions les gouvernants traîtres au peuple, corrompus, incapables et belliqueux. Lorsque des guerres éclatent, les politiciens et les puissants de l'État envoient sans hésiter leurs concitoyens au front comme soldats, c'est-à-dire comme chair à canon, tandis qu'ils restent chez eux, en sécurité dans leurs somptueux palais gouvernementaux et leurs belles demeures, et qu'ils s'adonnent au luxe dans leur zone de confort, lançant depuis leur position confortable des diatribes vides de sens et des slogans mensongers qui débordent de rhétorique, de primitivité et de stupidité, mais auxquels ils ne croient souvent même pas eux-mêmes. Et lorsque les bombes commencent à tomber dans leur propre pays, ils se retranchent craintivement dans leurs bunkers et continuent, devant les caméras, à inciter le peuple à se battre durement contre l'ennemi, quel que soit le nombre de vies humaines que cela coûte, car ils sont trop lâches pour se rendre sur le champ de bataille, se battre sur le front de guerre aux côtés de leurs concitoyens et risquer leur vie. Es ist nicht von der Hand zu weisen, dass Putin auf widersprüchliche Art und Weise vorgeworfen wird, alle erdenklichen und obskuren Verschwörungen gegen die EU, die USA und die NATO zu schmieden und zwar gerade von denen, die sich die ganze Zeit durch ihnen hörige Medien und Journalisten, bzw. propagandistische Lakaien bemühen, den Bürgerinnen und Bürgern immer wieder klarzustellen und einzutrichtern, es gebe überhaupt keine Verschwörungen, geheime Absprachen und Intrigen seitens der Regierenden der westlichen Staaten und es sei völlig auszuschliessen, dass es solche jemals geben werde, da in den westlichen Staaten, die sie als Demokratien verkaufen, im Unterschied zu allen anderen Staaten der Erde, alles Politische und Regierungsmässige transparent sei, d.h. vor den Augen der Bürger verlaufe sowie unter deren Kontrolle stehe als wären diese total durchsichtige Glashäuser. Dieses naive und täuschende Narrativ wird dann von vielen Zuhörern, Zuschauern und Lesern geglaubt, die keine blasse Ahnung davon haben, was Demokratie wahrheitlich heisst, wie sie effektiv zu verwirklichen ist und wie sie auf anderen Planeten und bei fremden Zivilisationen im Universum seit tausenden von Jahren konkret praktiziert wird. Auf der Erde existieren wohl verschiedene politische Systeme, doch diese haben allesamt mit Demokratie gar nichts zu tun, mit der einzigen Ausnahme der Schweiz, die aber auch nur eine Teildemokratie ist. Bei den westlichen Staaten handelt es sich um repräsentative Verfassungssysteme oligarchischer Art, die man auch als korrupte Mehrparteiendiktaturen bezeichnen kann, wobei alle 4 oder 5 Jahre ein immer geringer werdender Teil der Bevölkerung Parlamentarier wählt, welche einmal gewählt, in der Regel nur noch ihre eigenen Interessen oder die der eigenen Partei oder innerparteilichen Gruppierung sowie jene bestimmter nationaler oder internationaler Lobbys, Finanz- und Machtzentren (wie etwa die NATO, die Bilderberg-Gruppe, usw.) offizieller oder geheimer Art, verfolgen, so, dass sie den Willen des Volkes oder zumindest dessen Mehrheit überhaupt nicht vertreten, sondern ihn ständig verraten und mit Füssen treten. Das Volk hat nicht einmal die Macht, volksverräterische, korrupte, unfähige und kriegstreibende Regierende ihres Amtes zu entheben. Wenn dann Kriege ausbrechen, ist es in der Regel so, dass Politiker und Staatsmächtige ihre Mitbürger ohne Bedenken als Soldaten, d.h. als Kanonenfutter, an die Front schicken, während sie zuhause in ihren prächtigen Regierungspalästen und schönen Wohnungen in Sicherheit bleiben sowie in ihrer Komfortzone dem Luxus frönen und von ihrer bequemen Position aus inhaltsleere Hetzparolen und verlogene Slogans von sich geben, die vor Rhetorik, Primitivität und Dummheit strotzen, an die aber oft nicht einmal sie selbst glauben. Und wenn die Bomben im eigenen Land zu fallen beginnen, verschanzen sie sich ängstlich in ihren Bunkern und hetzen vor laufenden Kameras das Volk auf Teufel komm raus weiter zum harten Kampf gegen den Feind auf, egal wie viele Menschenleben es kostet, denn sie sind zu feige, um auf das Schlachtfeld zu ziehen, an der Kriegsfront neben ihren Mitbürgern zu kämpfen und ihr Leben zu riskieren.
En ce qui concerne le terme de combat 'théorie du complot', qui sert à stigmatiser, discréditer et diaboliser les dissidents, ainsi que son utilisation obsessionnelle et systématique par les vérificateurs de faits autoproclamés et les gourous des médias en général, il est intéressant de reconstituer brièvement l'histoire de la naissance de cette formule rhétorique et disqualifiante si volontiers utilisée. Tout est parti de l'assassinat de Kennedy et des machinations des services secrets qui s'en sont suivies dans le domaine de la guerre psychologique. Le but était de dissimuler ceux qui avaient tiré les ficelles afin de discréditer ceux qui voulaient découvrir la vérité et remettaient donc en question la version officielle du gouvernement sur l'auteur unique de l'assassinat, et de détourner ainsi l'attention du public des soi-disant explications alternatives, constituées d'indices, de matériaux et de faits qui avaient été ignorés par la commission d'enquête officielle Warren du Congrès américain. Après que le courageux procureur Jim Garrison eut ouvert une enquête sur les liens de la CIA avec certains contacts de l'assassin dans le cadre de la première procédure pénale sur l'assassinat de Kennedy, il s'est avéré qu'en avril 1967, un mémorandum avait été envoyé par le département de guerre psychologique de la CIA (PW/CS, c'est-à-dire 'Psychological Warfare/Clandestine Services') à toutes les stations de la CIA du pays. (Il s'agit du document n° 1035-960). Ce document leur indiquait comment traiter ceux qui mettaient en doute et critiquaient la version officielle de l'attentat et, pour ce faire, remplaçait l'expression 'Assassination Theories' (théories de l'assassinat) utilisée jusqu'alors par le terme 'Conspiracy Theories' (théories du complot) en lui donnant une connotation explicitement négative, ce qui en faisait un terme de combat, à savoir un terme qui a été mis en circulation pour stigmatiser ceux qui ne se sont pas conformés à des explications et versions officielles propagées par le gouvernement et les médias mainstream et qui ont été critiques à leur égard, avec un label qui signale qu'il s'agit de fous, de penseurs transversaux et d'imbéciles, c'est-à-dire de personnes irrationnelles, confuses, paranoïaques, extravagantes, peu sérieuses et peu crédibles, dont les affirmations et les thèses doivent donc être ignorées et exclues du discours public, c'est-à-dire tabou. Il faut toutefois préciser que de telles personnes et les "histoires" qu'elles racontent, souvent pour des raisons de profit et de renommée, existent bien entendu.

des théories totalement absurdes, basées sur des conspirations imaginaires. Mais cela ne signifie pas pour autant qu'il n'y a pas eu, qu'il n'y a pas et qu'il n'y aura pas de véritables conspirations ayant réellement eu lieu. L'un n'exclut pas l'autre, car le secret et les intrigues ont toujours été et sont toujours à l'ordre du jour dans l'histoire de l'humanité, en particulier en politique intérieure et extérieure. En prendre acte, le révéler, le dénoncer et le faire savoir aux gens pour qu'ils en prennent conscience, comme le font les pléiaires et les BEAM, ne signifie absolument pas avoir une attitude et une mentalité paranoïaques et ne pas être sérieux. Le fait que ceux qui fomentent des complots et des intrigues soient souvent des paranoïaques et des psychopathes exclut que ceux qui, en raison de leur amour de la vérité, s'occupent d'éclaircir tout cela et de le révéler au public, en fassent également partie, c'est-à-dire qu'ils ne soient pas malades dans le même hôpital. Le proverbe "Quand un homme sage montre la lune, seul l'imbécile regarde l'index" s'y prête bien.

Was den zur Stigmatisierung, Diskreditierung und Verteufelung Andersdenkender dienlichen Kampfbegriff ‹Verschwörungstheorie› sowie dessen obsessive und systematische Benutzung durch selbsternannte Faktenüberprüfer und Mediengurus überhaupt betrifft, ist es interessant, die Entstehungsgeschichte dieser so gerne benutzen rhetorischen und disqualifizierenden Formulierung in Kürze zu rekonstruieren. Das Ganze ist auf die Kennedy-Ermordung und die darauffolgenden geheimdienstlichen Machenschaften im Bereich der psychologischen Kriegsführung zurückzuführen. Der Zweck war, die Drahtzieher zu vertuschen, um die diejenigen, die die Wahrheit aufdecken wollten und deshalb die offizielle Regierungsversion des Einzeltäters in Frage stellten, zu diskreditieren und somit die Aufmerksamkeit der Öffentlichkeit von den sogenannten alternativen Erklärungen abzulenken, die aus Indizien, Materialien und Fakten bestanden, welche durch die offizielle Warren-Untersuchungskommission des US-Kongresses ignoriert worden waren. Nachdem der mutige Staatsanwalt Jim Garrison im Rahmen des ersten Strafverfahrens zum Kennedy-Mord Ermittlungen über die CIA-Verbindungen einiger Kontaktpersonen des Attentäters eingeleitet hatte, hat sich herausgestellt, dass im April 1967 von der Abteilung für psychologische Kriegsführung der CIA (PW/CS, also ‹Psychological Warfare/Clandestine Services›) ein Memorandum an alle CIA-Stationen des Landes gesendet wurde. (Es handelt dabei sich um das Dokument Nr. 1035–960). Darin wurden sie angewiesen wie mit denjenigen, die die offizielle Version des Attentats anzweifelten und kritisierten, umzugehen sei und dazu wurde die bis anhin geläufige Bezeichnung ‹Assassination Theories› (Mordtheorien) durch den Begriff ‹Conspiracy-Theories› (Verschwörungstheorien) ersetzt und diesem eine ausdrücklich negative Konnotation verliehen, so dass daraus ein Kampfbegriff gemacht, d.h. ein Begriff in Umlauf gebracht wurde, der dazu diente, diejenigen, die sich irgendwelchen offiziellen, von der Regierung und den Mainstream-Medien propagierten Erklärungen und Versionen nicht anpassten und ihnen gegenüber kritisch waren, mit einem Label zu stigmatisieren, das signalisiert, dass es sich dabei um Spinner, Querdenker und Narren, nämlich irrationale, wirre, paranoide, extravagante, unseriöse und unglaubwürdige Menschen handelt, deren Behauptungen und Thesen deswegen ignoriert und aus dem öffentlichen Diskurs ausgeschlossen, d.h. tabuisiert werden sollen. Dazu muss jedoch gesagt werden, dass es selbstverständlich solche Menschen und die von ihnen nicht selten aus Profitgründen und Renommiersucht erfundenen, auf imaginären Verschwörungen beruhenden, völlig absurden Theorien gibt. Das soll aber nicht heissen, dass es deswegen keine echten, wirklich stattgefundenen Verschwörungen gegeben hat, gibt und geben wird. Das eine schliesst das andere nicht aus, denn Geheimhaltung und Intrigen waren seit alters her und sind immer noch an der Tagesordnung in der Menschheitsgeschichte, insbesondere in der Innen- und Aussenpolitik. Das zur Kenntnis zu nehmen, aufzudecken sowie an den Pranger zu stellen und es den Menschen mitzuteilen, damit sie sich dessen bewusst werden, wie die Plejaren und BEAM es tun, heisst doch überhaupt nicht, eine paranoide Haltung und Mentalität zu haben und unseriös zu sein. Die Tatsache, dass diejenigen, welche Verschwörungen und Intrigen schmieden oft paranoide und psychopathische Menschen sind, schliesst aus, dass auch jene, welche sich aufgrund ihrer Liebe zur Wahrheit damit beschäftigen, das Ganze aufzuklären und der Öffentlichkeit zu enthüllen, ebenfalls dazu gehören, d.h. dass sie nicht im gleichen Spital krank sind. Dazu passt das Sprichwort: «Wenn ein weiser Mann auf den Mond zeigt, dann schaut nur der Dummkopf auf den Zeigefinger.»
Depuis plusieurs décennies, les Plejaren en contact avec Billy Meier sont parvenus à la conclusion, sur la base d'analyses objectives et non de préjugés et de prises de parti déraisonnables - comme c'est le cas pour la plupart des Terriens lorsqu'ils jugent quelque chose ou quelqu'un -, que les dirigeants des États occidentaux prennent des décisions totalement erronées concernant la guerre actuellement en cours en Ukraine, décisions qui pourraient avoir des conséquences dévastatrices et inédites, qu'ils ne peuvent même pas imaginer en raison de leur grave incapacité à penser et à prévoir les conséquences de leurs propres actions et décisions, parce qu'ils ne reconnaissent pas la loi universelle de cause à effet, que l'on peut en quelque sorte comparer à un mouvement de balancier d'actions et de réactions, et qu'ils se comportent comme de petits enfants, comme s'il était possible de déjouer cette loi de la nature, valable partout dans l'univers et éternellement, c'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas se rendre compte de ce qui se passe. c'est-à-dire qu'ils sont gravement affectés par un manque de capacité à reconnaître la réalité et qu'ils ne sont donc pas du tout à la hauteur de leur fonction lourde de responsabilités. Die mit Billy Meier seit mehreren Jahrzehnten in Kontakt stehenden Menschen von den Plejaren sind aufgrund objektiver Analysen und nicht von Vorurteilen und unvernünftiger Parteiergreifung – so wie es bei den meisten Erdenmenschen geschieht, wenn sie etwas oder jemanden einschätzen – zur Einsicht gekommen, dass die Staatsmächtigen der Weststaaten in Bezug auf den aktuell laufenden Krieg in der Ukraine völlig falsche Entscheidungen treffen, die verheerende und noch nie gesehene Folgen haben könnten, die sie sich aufgrund ihrer gravierenden Unfähigkeit zu denken, und die Konsequenzen der eigenen Handlungen und Entscheidungen vorauszuberechnen nicht einmal ahnungsmässig vorstellen können, weil sie das universelle Gesetz von Ursache und Wirkung, das man irgendwie mit einer Pendelbewegung von Aktionen und Reaktionen vergleichen kann, nicht erkennen und sich wie kleine Kinder so verhalten, als könne man dieses überall im Universum und ewig geltende Naturgesetz austricksen, d.h. dass sie in schwerer Form von einem Mangel an Wirklichkeitserkenntnisfähigkeit betroffen sind und deshalb überhaupt nicht auf der Höhe ihres verantwortungsschweren Amtes sind.
L'analyse suivante du Plejaren Quinto - qui est, entre autres, expert en politique terrestre, c'est-à-dire qu'il s'occupe, selon ses propres termes, de "l'observation et de l'évaluation des mouvements et des manœuvres politiques de tous les domaines de tous les États" - est particulièrement intéressante : elle porte sur la structure de l'État et de la société américains, sur leur formation et sur les relations d'exploitation, d'hégémonie, de trouble et de discorde que les gouvernements américains entretiennent avec les autres États et pays. et des pays du monde. Besonders interessant ist folgende Analyse des Plejaren Quinto – der unter anderem Experte für irdische Politik ist d.h., dass er sich in seinen eigenen Worten mit der «Beobachtung und Beurteilung politischer Bewegungen und Machenschaften sämtlicher Domänen aller Staaten» beschäftigt –, der amerikanischen Staatsmachts- und Gesellschaftsstruktur, deren Entstehung und das ausbeuterische, hegemoniale sowie Unruhe und Unfrieden stiftende Verhältnis der US-Regierungen zu anderen Staaten und Ländern der Erde.
Quinto: Quinto:
Les États-Unis d'Amérique et l'Union européenne se proclament des démocraties, mais cette affirmation ne peut pas être considérée comme vraie, car elle est fondée sur un mensonge qui endort le peuple, l'abrutit et masque la vérité. Le fait et la vérité sont que les deux entités étatiques, tant les États-Unis d'Amérique que l'Union européenne, correspondent chacune à une dictature sournoise. Tous les fonctionnaires de chaque département agissent de manière autocratique et en dehors de la volonté de cette partie de la population qui prend des décisions claires et raisonnables et qui agit de manière réfléchie, qui aspire à la paix, à l'égalité pour tous, mais aussi à la justice et à la vraie liberté, à une direction juste de l'État, à la responsabilité de l'État et à son exercice, ainsi qu'à une vraie démocratie et à ce que ce ne soient pas les seuls dirigeants de l'État, leurs conseillers, leurs suiveurs, les chefs militaires, les services secrets, ainsi que les magnats de l'économie, qui décident et décident, mais uniquement le peuple. (...) Si je dois expliquer ce qui doit être dit à propos des États-Unis d'Amérique, de leur politique étrangère et de leurs véritables aspirations multiples, cela donne une image très désagréable qui pourrait donner l'impression que l'on veut calomnier, stigmatiser et trahir l'ensemble du peuple américain, ou en d'autres termes, le noircir, le dénigrer, le malmener, le mettre à nu et le déshonorer. Mais cela ne correspond pas non plus à l'esprit et à la vérité de mes explications, pas plus qu'à l'incitation à la haine contre le peuple américain. La vérité de mes explications réside uniquement, et vraiment uniquement, dans le fait qu'elles portent sur l'évaluation désagréable et négative de l'attitude de l'ensemble du système gouvernemental américain, dans lequel les dirigeants de l'État, leurs conseillers, les lobbyistes et l'ensemble de la politique, les services secrets et l'économie sont impliqués, le comportement religieux et le pouvoir militaire, mais aussi la partie du peuple américain dont l'attitude est également conforme à l'ensemble des aspirations, de la direction, des finances et du pouvoir de la direction de l'État américain et des pouvoirs qui lui sont liés dans tous les domaines. Mes explications, mes présentations et mes déclarations n'attaquent donc pas la population ou les personnes américaines, mais elles ne font que mentionner les dispositions, les explications et la commission d'actes, d'actions et de comportements erronés, fondés sur des intrigues, des tromperies, des fourberies et des manipulations et conspirations criminelles, qui conduisent jusqu'à la torture, au meurtre et à la guerre. Ceci parce que, du côté du gouvernement, avec tout l'appareil de tous les départements du pouvoir, on planifie et on agit de manière criminelle, délictueuse, criminelle, illégale et infâme, en violation de la paix, de la liberté, de la justice et de l'ordre, du droit international ainsi que des droits de l'homme et de la loi. (…) Die Vereinigten Staaten von Amerika und die Europäische Union verkünden sich als Demokratien, wobei diese behauptende Eigendarstellung jedoch nicht wahrheitsgemäss bewertet werden darf, weil diese auf einer volksbetörenden, volksverdummenden und die Wahrheit verschleiernden Lüge aufgebaut ist. Tatsache und Wahrheit sind, dass beide Staatsgebilde, sowohl die Vereinigten Staaten von Amerika als auch die Europäische Union, je einer hinterhältigen Diktatur entsprechen. Alle Staatsbeamten jedes Ressorts handeln selbstherrlich und ausserhalb des Willens jenes Teils der verstandesklar und vernünftig entscheidenden und bedacht handelnden Bevölkerungen, der nach Frieden, Gleichheit für alle, wie aber auch nach Gerechtigkeit und wirklicher Freiheit, nach einer gerechten Staatsführung, Staatsverantwortung und deren Wahrnehmung sowie nach wirklicher Demokratie und danach strebt, dass nicht die Staatsgewaltigen allein, deren Berater, Mitläufer, die Militärführenden, Geheimdienste, wie auch die Wirtschaftsmagnaten, sondern einzig das Volk entscheidet und bestimmt. (…) Wenn ich nun aber das zu erklären habe, was hinsichtlich der Vereinigten Staaten von Amerika, deren Aussenpolitik und deren wirklichem vielseitigen Bestreben gesagt werden muss, dann ergibt das ein sehr unerfreuliches Bild, das den Eindruck erwecken könnte, dass damit das gesamte US-amerikanische Volk verleumdet, gebrandmarkt und verraten werden, oder mit anderen Worten angeschwärzt, verunglimpft, schlechtgemacht, blossgestellt und entehrt werden soll. Das aber entspricht ebenso nicht dem Sinn und der Wahrheit meiner Darlegungen, wie auch nicht, dass damit Hass gegen das US-amerikanische Volk entstehen soll. Die Wahrheit meiner Erklärungen bezieht sich einzig, und wirklich einzig nur darauf, dass die ganze unerfreuliche und negative Bewertung der Gesinnung des gesamten US-amerikanischen Regierungssystems angesprochen wird, in das die Staatsführenden, deren Beratende, die Lobbyisten und die gesamte Politik, die Geheimdienste und Wirtschaft, das Religionsgebaren und die Militärmacht einbezogen sind, wie aber auch jener Teil des US-Volkes, dessen Gesinnung gleichermassen mit dem konform läuft, was dem ganzen Strebens-, Führungs-, Finanz- und Machtgebaren der US-amerikanischen Staatsführung und den damit verbundenen Mächten aller Ressorts entspricht. Die US-amerikanische Bevölkerung resp. die Menschen werden mit meinen Ausführungen, Darlegungen und Erklärungen also nicht angegriffen, sondern es werden nur die Gesinnungen und die Ausführungen und das Begehen falscher Handlungen, Taten und Verhaltensweisen genannt, die in Intrigen, Täuschungen, Hinterlistigkeiten und verbrecherischen Manipulationen und Verschwörungen fundieren, die bis hin zu Folter, Mord und Krieg führen. Dies, weil regierungsseits mit dem ganzen Apparat aller Machtressorts friedens-, freiheits-, gerechtigkeits- und ordnungs-, völkerrechts- sowie menschenrechts- und gesetzwidrig kriminell, freventlich, sträflich, widerrechtlich und niederträchtig geplant und gehandelt wird. (…)
Les États-Unis d'Amérique et l'Union européenne se proclament des démocraties, mais cette affirmation ne peut pas être considérée comme vraie, car elle est fondée sur un mensonge qui endort le peuple, l'abrutit et masque la vérité. Le fait et la vérité sont que les deux entités étatiques, tant les États-Unis d'Amérique que l'Union européenne, correspondent chacune à une dictature sournoise. Tous les fonctionnaires de chaque département agissent de manière autocratique et en dehors de la volonté de cette partie de la population qui prend des décisions claires et raisonnables et qui agit de manière réfléchie, qui aspire à la paix, à l'égalité pour tous, mais aussi à la justice et à la vraie liberté, à une direction juste de l'État, à la responsabilité de l'État et à son exercice, ainsi qu'à une vraie démocratie et à ce que ce ne soient pas les seuls dirigeants de l'État, leurs conseillers, leurs suiveurs, les chefs militaires, les services secrets, ainsi que les magnats de l'économie, qui décident et décident, mais uniquement le peuple. (...) Si je dois expliquer ce qui doit être dit à propos des États-Unis d'Amérique, de leur politique étrangère et de leurs véritables aspirations multiples, cela donne une image très désagréable qui pourrait donner l'impression que l'on veut calomnier, stigmatiser et trahir l'ensemble du peuple américain, ou en d'autres termes, le noircir, le dénigrer, le malmener, le mettre à nu et le déshonorer. Mais cela ne correspond pas non plus à l'esprit et à la vérité de mes explications, pas plus qu'à l'incitation à la haine contre le peuple américain. La vérité de mes explications réside uniquement, et vraiment uniquement, dans le fait qu'elles portent sur l'évaluation désagréable et négative de l'attitude de l'ensemble du système gouvernemental américain, dans lequel les dirigeants de l'État, leurs conseillers, les lobbyistes et l'ensemble de la politique, les services secrets et l'économie sont impliqués, le comportement religieux et le pouvoir militaire, mais aussi la partie du peuple américain dont l'attitude est également conforme à l'ensemble des aspirations, de la direction, des finances et du pouvoir de la direction de l'État américain et des pouvoirs qui lui sont liés dans tous les domaines. Mes explications, mes présentations et mes déclarations n'attaquent donc pas la population ou les personnes américaines, mais elles ne font que mentionner les dispositions, les explications et la commission d'actes, d'actions et de comportements erronés, fondés sur des intrigues, des tromperies, des fourberies et des manipulations et conspirations criminelles, qui conduisent jusqu'à la torture, au meurtre et à la guerre. Ceci parce que, du côté du gouvernement, avec tout l'appareil de tous les départements du pouvoir, on planifie et on agit de manière criminelle, délictueuse, criminelle, illégale et infâme, en violation de la paix, de la liberté, de la justice et de l'ordre, du droit international ainsi que des droits de l'homme et de la loi. (…)

Les États-Unis maintiennent tous les États régionaux de la planète sous leur contrôle dominant, ce qui les empêche de se développer, de s'élever et de s'autodéterminer, mais les rend quasiment dépendants et vassaux des États-Unis, qui s'imaginent être la seule puissance mondiale et veulent ainsi exister avec toutes leurs subversions déloyales. C'est la raison pour laquelle les États-Unis ne veulent pas la paix, mais la détestent et font tout pour écraser tous les États qu'ils dominent avec les mêmes moyens d'oppression et pour les réduire à l'impuissance. Les Etats-Unis interviennent activement dans les affaires des autres Etats sous leur contrôle, que ce soit sur le plan politique, financier, militaire, des services secrets, économique et même religieux, lorsque cela leur semble nécessaire et utile, tout comme ils s'immiscent partout dans des problématiques et des conditions étrangères qui ne les concernent pas. Ils sont toutefois tourmentés par la peur constante que d'autres États, et plus particulièrement la Russie et la Chine, ne leur fassent de la concurrence politique, militaire, diplomatique et économique, et que certains dirigeants d'autres États - comme la Russie en particulier - n'entreprennent des efforts en vue de la paix mondiale et n'incitent d'autres États à le faire. Cette peur, cette crainte et cette angoisse des gouvernants, des militaires et des services secrets américains existent depuis la création des États-Unis d'Amérique - en plus de diverses autres motivations profondément basses, ineptes et vides - et poussent depuis toujours tous les responsables à entraver les efforts de paix qui ont été entrepris dans de nombreux États de la planète depuis les temps anciens et qui se renouvellent régulièrement jusqu'à aujourd'hui, au troisième millénaire. Depuis que les États-Unis d'Amérique existent, ils ne permettent pas que la paix s'installe entre les peuples de la Terre, car ils ne veulent pas la paix, mais la détestent, d'une part parce qu'ils ont peur de perdre le pouvoir qu'ils ont acquis sur Terre, et d'autre part parce qu'ils devraient renoncer à leur ambition de domination mondiale. Du côté américain, on fait et on entreprend à tout prix tout ce qui est violent contre la paix sur Terre et contre leur volonté de domination mondiale. Et cela se fait en premier lieu selon la volonté des responsables gouvernementaux, des militaires, des services secrets et des puissances économiques, mais aussi selon la volonté de la partie de la population qui est à la botte du gouvernement, des militaires, des services secrets et des puissances économiques, et ce absolument contre la volonté de la minorité de la population qui aspire à la paix et à la liberté avec intelligence et raison et qui s'y efforce par des appels et des manifestations pacifiques, etc. Le fait est que - parce que les États-Unis ne veulent pas et n'aspirent pas à une paix étendue ou globale, ni à une véritable liberté, mais veulent s'emparer du monde - il n'y a absolument aucune volonté d'aboutir à un véritable abandon de la physique nucléaire, pas plus qu'il n'y a de responsabilité ou d'intérêt à mettre un terme au développement d'armes nucléaires encore plus dangereuses et destructrices, qui finiront par tout détruire. Il n'y a donc aucun effort de désarmement nucléaire pour libérer la Terre, en collaboration honnête et raisonnable avec toutes les autres puissances nucléaires, de ce fléau de peur et de destruction menaçant l'existence même de la planète, créé par les États-Unis et utilisé de manière impitoyable et criminelle à Hiroshima et Nagasaki, et qui n'a cessé de se développer depuis, jusqu'à devenir aujourd'hui un danger de destruction de la planète et d'extinction de l'humanité.

Et ce, tout en commettant des crimes sacrilèges et répréhensibles à l'encontre de la population ignorante de son propre pays, en envoyant des militaires, des acteurs, des internés et des personnes privées dans des régions, en les laissant entrer et en les contaminant délibérément par des radiations, en les exposant à des expériences nucléaires avec des essais de bombes atomiques et en les contaminant par des radiations. Bien entendu, l'espionnage et les scientifiques ne pouvaient pas empêcher d'autres États de s'emparer de la recherche nucléaire et de développer des armes nucléaires de différents types, ce qui a donné naissance à d'autres puissances nucléaires et donc au danger d'une guerre nucléaire qui détruirait et anéantirait tout. Ce danger a perduré jusqu'à aujourd'hui, et il a même été ravivé par les nouvelles hostilités entre les États-Unis d'Amérique et la dictature de l'Union européenne, ainsi que par divers partisans de ces deux dictatures, et ce en raison des machinations haineuses et hostiles contre la Russie. La menace et le danger actuels d'une utilisation d'armes nucléaires et donc d'une guerre nucléaire, déclenchée par les puissances nucléaires lors de conflits armés, mais aussi par des organisations terroristes extrêmes en possession d'armes nucléaires, sont très grands malgré le désarmement partiel des armes nucléaires. De plus, toutes les puissances nucléaires possèdent encore plus d'armes nucléaires qu'elles ne l'admettent officiellement, alors que même ce nombre important d'armes nucléaires ne serait pas nécessaire pour détruire et même anéantir la Terre à tel point que toute vie sur la planète serait détruite et qu'aucune ne pourrait plus exister. Rien qu'une petite partie de l'arsenal nucléaire officiellement connu et existant des plus grandes puissances nucléaires suffirait amplement. Mais pour en rester aux États-Unis d'Amérique, dont je parle à propos de tes questions, il faut dire que rien qu'au vu de tous les faits mentionnés jusqu'à présent, on peut constater que l'hostilité à la paix et la haine de la paix ne cessent de croître. haine contre la paix ainsi que la volonté durable de domination mondiale des dirigeants des États-Unis et de leurs soutiens de la population se prolongeront encore longtemps dans le futur. La partie irresponsable des dirigeants de l'État, ainsi que leurs conseillers incompétents, les services secrets et les puissances économiques, etc., mais aussi la partie des éléments obsédés par le pouvoir et belliqueux des responsables militaires et des obsédés militaires de la population des États-Unis d'Amérique, persistent dans la même illusion que celle qui prévalait déjà au début de la création de cet ensemble d'États. Déjà à l'époque, de nombreux hors-la-loi commettaient des crimes graves, tout comme de nombreux responsables d'État agissaient de manière criminelle, parce qu'ils étaient tout aussi honteux, inconscients et criminels que nombre de leurs successeurs jusqu'à aujourd'hui. Dès les premiers temps, les dirigeants des États-Unis ont exercé leur pouvoir et abusé de la confiance de cette partie de la population qui était droite, efficace et intègre, comme c'est encore le cas aujourd'hui, mais comme cela se produira encore dans un avenir lointain - même dans d'autres États non démocratiques de la planète. (...)

Die USA halten alle unter ihrer dominierenden Aufsicht stehenden regionalen Staaten der Erde unter strenger Kontrolle, wodurch diese sich nicht weiterentwickeln, nicht höherstreben und nicht über sich selbst bestimmen können, sondern so gut wie Abhängige und Vasallen der USA sind, die sich als einzige Weltmacht wähnen und dieserart mit allen ihren unlauteren Unterwanderungen bestehen wollen. Aus diesem Grund wollen die USA keinen Frieden, sondern hassen ihn und tun alles, um alle von ihnen beherrschten Staaten immer mit den gleichen Unterdrückungsmitteln niederzudrücken und selbst-handlungsfähig klein zu halten. Die USA greifen intervenierend und aktiv in die Angelegenheiten der unter ihrer Kontrolle stehenden anderen Staaten ein, und zwar sowohl politisch, finanziell wie auch militärisch, geheimdienstlich, wirtschaftlich und gar religiös, wenn dies notwendig und nutzbringend erscheint, wie sie sich aber auch allerorts in fremde Problematiken und Verhältnisse einmischen, die sie nichts angehen. Dabei werden sie jedoch von steter Angst gequält, dass ihnen durch andere Staaten, und zwar speziell durch Russland und China, politisch, militärisch, geheimdienstlich, diplomatisch und wirtschaftlich schädliche Konkurrenz erwachse, wie aber auch, dass gewisse Regierungsmächtige anderer Staaten – wie besonders Russland – Bemühungen hinsichtlich eines Weltfriedens unternehmen und auch andere Staaten dafür animieren könnten. Diese kümmerliche Angst, Bangnis und Bedrohungsfurcht der US-amerikanischen Regierenden, Militärs und Geheimdienste existieren – nebst diversen anderen tiefgreifend niedrigen, niveaulosen und inhaltsleeren Beweggründen – ab der Gründung der Vereinigten Staaten von Amerika und veranlassen seit jeher alle Verantwortlichen dazu, jegliche Friedensbemühungen zu hintertreiben, die in zahlreichen Staaten auf der Erde seit alten Zeiten unternommen wurden und bis heute im 3. Jahrtausend immer wieder einmal neu aufkommen. Seit die Vereinigten Staaten von Amerika bestehen, lassen sie also nicht zu, dass Frieden unter den Erdenvölkern werden kann, denn sie wollen keinen Frieden, sondern hassen ihn, weil sie einerseits Angst davor haben, auf der Erde ihre weitreichend aufgebaute Macht zu verlieren, anderseits aber auch darum, weil sie ihr Weltherrschaftsstreben aufgeben müssten. Von US-amerikanischer Seite aus wird um jeden Preis alles Gewalttätige gegen einen Frieden auf der Erde und hinsichtlich ihrer Weltherrschaftserlangungssucht getan und unternommen. Und dies geschieht in erster Linie nach dem machtgeprägten Willen der Regierungsverantwortlichen, Militärs, Geheimdienste sowie der Wirtschaftsmächtigen, wie aber auch nach dem Willen jenes Bevölkerungsteils, der regierungs-, militär-, geheimdienst- und wirtschaftshörig ist, und zwar absolut gegen den Willen jener Minderheit der Bevölkerung, die mit Verstand und Vernunft nach Frieden und Freiheit strebt und sich auch mit Aufrufen und friedlichen Demonstrationen usw. darum bemüht. Unumstössliche Tatsache ist – weil die USA weder einen weitreichenden noch einen weltumfassenden Frieden und auch keine wahre Freiheit wollen und auch nicht anstreben, sondern die Weltherrschaft an sich reissen wollen –, dass absolut kein Wille dafür besteht, eine tatsächlich wahrheitliche Aufgabe der Kernphysik herbeizuführen, wie auch keine Verantwortung und kein Interesse aufkommen kann bezüglich einer Beendigung hinsichtlich der Weiterentwicklungen noch gefährlicherer und zerstörenderer sowie letztendlich alles total vernichtender Kernwaffen. Also erfolgen auch keine Bemühungen für eine atomare Abrüstung, um die Erde in ehrlicher und vernünftiger Zusammenarbeit mit allen anderen Atommächten von dieser weltexistenzbedrohenden Angst- und Vernichtungsgeissel zu befreien, die durch die USA erschaffen und ruchlos sowie verbrecherisch in Hiroshima und Nagasaki zur Anwendung gebracht und seither stetig weiterentwickelt und bis zur heutigen Zeit zur Planetenzerstörungs- und Menschheitsausrottunsgefahr wurde. Dies, während auch im eigenen Land frevlerisch und verwerflich Verbrechen an der unwissenden eigenen Bevölkerung begangen wurden, indem eigene Militärs, Schauspieler, Internierte und Privatpersonen usw. in Gebiete beordert, eingelassen und bewusst strahlenverseucht wurden, indem sie atomaren Experimenten mit Atombombenversuchen ausgesetzt und strahlenverseucht wurden. Natürlich konnte es nicht ausbleiben, dass durch Spionage und Wissenschaftler auch andere Staaten die Atomforschung aufgriffen und Nuklearwaffen diverser Arten entwickelten, wodurch weitere Atommächte entstanden und damit auch die Gefahr eines alleszerstörenden und allesvernichtenden Atomkrieges. Und diese Gefahr hat sich erhalten bis auf den heutigen Tag, und sie ist gar durch die neuen Feindlichkeiten der Vereinigten Staaten von Amerika und der Diktatur der Europäischen Union sowie diversen Anhängern dieser beiden Diktaturen wieder neu aufgeflammt, und zwar infolge der hassvollen und feindlichen Machenschaften gegen Russland. Die heutige Drohung und Gefahr eines Kernwaffeneinsatzes und damit eines Atomkrieges, ausgelöst durch die Atommächte bei kriegerischen Auseinandersetzungen, wie aber auch durch extreme Terror-organisationen, die im Besitz von Kernwaffen sind, ist trotz der teilweisen Atomwaffenabrüstung sehr gross. Bei allen Atommächten existieren zudem immer noch mehr Kernwaffen als offiziell zugegeben wird, wobei nicht einmal diese grössere Anzahl nuklearer Waffen erforderlich wäre, um die Erde derart zu zerstören und gar zu vernichten, dass auf dem Planeten alles Leben vernichtet würde und keines mehr existieren könnte. Allein schon ein geringer Teil des offiziell bekannten und bestehenden Kernwaffenarsenals der grössten Atommächte würde dafür vollkommen genügen. Doch um weiter bei den Vereinigten Staaten von Amerika zu bleiben, von denen ich bezüglich deiner Fragen spreche, ist zu sagen, dass allein angesichts aller bisher genannten Tatsachen festzustellen ist, dass sich die Friedensfeindlichkeit und der Hass gegen den Frieden sowie die dauerhafte Weltherrschaftssucht der Herrschenden der USA und deren Befürwortenden aus der Bevölkerung noch weit in die Zukunft hineintragen werden. Der verantwortungslos machtausübende Teil der Staatsführenden, wie auch deren unfähige Berater, Geheimdienste und Wirtschaftsgewaltigen usw., wie aber auch jener Teil der machtbesessenen und kriegslüsternen Elemente der Militärverantwortlichen und Militärbesessenen aus der Bevölkerung der Vereinigten Staaten von Amerika, verharren im gleichen Wahn, wie das schon zu frühen Zeiten der Entstehung dieses Vielstaatengebildes der Fall war. Schon damals begingen viele Gesetzlose schwere Verbrechen, wie ebenso viele Staatsverantwortliche verbrecherisch handelten, weil sie ebenso bescholten, gewissenlos und verbrecherischen Sinnes waren, wie viele ihrer Nachfolger bis in die heutige Zeit. Schon zur frühen Zeit übten die Herrschenden in den USA ihre Macht aus und missbrauchten das Vertrauen gegenüber jenem Teil der Bevölkerung, der geradlinig, tüchtig und unbescholten war, wie das auch zur heutigen Zeit immer noch der Fall ist, wie es sich aber darüber hinaus auch noch weit in die Zukunft ergeben wird – auch in undemokratischen anderen Staaten der Erde. (…)
CE QUI S'EST PASSÉ DANS LES SEMAINES PRÉCÉDANT LE DÉBUT DE LA GUERRE WAS IN DEN WOCHEN VOR DEM KRIEGSAUSBRUCH GESCHEHEN IST
Contrairement à la 'version des faits' propagée par les médias et les politiciens occidentaux, qui insistent sur le fait que la partie russe avait planifié la guerre depuis longtemps et n'était pas prête à faire des compromis, si l'on examine de près, objectivement et sans préjugés, le déroulement des événements qui ont conduit à la guerre ainsi que le comportement des protagonistes de ce processus, on arrive à la conclusion suivante, on en conclut qu'il était tout à fait possible d'éviter le déclenchement de la guerre actuelle en Ukraine, et ce grâce à un accord équitable entre la Russie et le bloc de l'OTAN, ainsi qu'entre la Russie et l'Ukraine, qui aurait permis de renoncer aux exigences de la Russie en matière de sécurité et de garantie concernant le déploiement d'installations de missiles de l'OTAN dans les pays d'Europe orientale. L'objectif revendiqué par le chef du gouvernement ukrainien - et même inscrit dans la constitution ukrainienne - de demander l'adhésion à l'OTAN n'a jamais été discuté ni mis sur la table des négociations en raison du refus arrogant de l'Amérique et des dirigeants de l'OTAN de ne serait-ce qu'en parler avec la partie russe, alors qu'il s'agissait justement du point le plus important à discuter et de la question centrale à résoudre pour la paix, comme l'a signalé le gouvernement chinois. Ces dernières années, rien de sérieux n'a été entrepris du côté européen, en particulier par l'Allemagne et la France, qui étaient les garants des accords signés à Minsk entre la Russie et l'Ukraine, pour exiger durablement par la voie diplomatique que les deux parties au conflit s'engagent de manière contraignante à respecter réellement et effectivement les accords de Minsk, à les maintenir et surtout à les mettre en œuvre, ce qui était la seule voie praticable pour éviter la guerre. Toute personne qui s'est penchée sérieusement, impartialement et objectivement sur le conflit du Donbass ou sur la guerre civile en Ukraine sait que les accords de paix de Minsk, qui devaient garantir un statut d'autonomie à la région du Donbass, n'ont en fait jamais été mis en œuvre. L'opposition à ces accords a été motivée, du côté ukrainien, par des raisons de politique intérieure, des intérêts, des calculs politiques et des craintes de rébellion de la part des groupes nationalistes et d'extrême droite, ainsi que par une forte pression extérieure (probablement de la part du gouvernement américain et de pays d'Europe de l'Est comme la Pologne et les États baltes, qui étaient intéressés, s'opposer à une solution pacifique de la guerre civile ukrainienne afin de pouvoir accuser la Russie, l'affaiblir sur le plan diplomatique et la sanctionner pour son soutien militaire aux séparatistes du Donbass et à l'annexion de la Crimée), qui a été particulièrement importante, comme l'ont reconnu publiquement et lors d'entretiens intergouvernementaux internes d'anciens présidents et responsables ukrainiens. Il suffit de rappeler que l'actuel président ukrainien avait promis, lors de sa campagne électorale en 2019, qu'il s'efforcerait sérieusement, s'il était élu, de mettre enfin en œuvre les accords de Minsk, même si cela nécessitait une courageuse volonté de compromis, car certaines concessions seraient nécessaires vis-à-vis de la Russie et des séparatistes du Donbass. Il n'est pas nécessaire de s'attarder sur la question de savoir si cette promesse a été tenue, car la réponse est sous les yeux de tous. Entgegen der durch westliche Medien und Politiker propagierten ‹Faktenversion›, die darauf besteht, dass die russische Seite den Krieg schon lange geplant habe und zu keinen Kompromissen bereit gewesen sei, kommt man, wenn der Verlauf der Ereignisse, die zum Krieg geführt haben sowie das Verhalten der Protagonisten dieses Prozesses objektiv und ohne Vorurteile genau unter die Lupe genommen werden, zum Schluss, dass es durchaus möglich war, den Ausbruch des aktuellen UkraineKrieges zu vermeiden, und zwar durch eine faire Vereinbarung zwischen Russland und dem NATO-Block sowie zwischen Russland und der Ukraine, die den Sicherheits- und Garantieforderungen Russlands in Bezug auf die Stationierung von NATORaketeneinrichtungen in den Ländern Osteuropas zu verzichten. Das vom Regierungschef der Ukraine beanspruchte Ziel – das sogar in der ukrainischen Verfassung festgelegt wurde –, die Mitgliedschaft in der NATO zu beantragen, stand wegen der arroganten Weigerung US- Amerikas und der NATO-Führung mit der russischen Seite auch nur darüber zu sprechen, niemals zur Diskussion und auf dem Verhandlungstisch, obwohl gerade das der wichtigste zu besprechende Punkt und die zu lösende Kernfrage zum Frieden gewesen wäre, wie die chinesische Regierung signalisiert hat. In den vergangenen Jahren wurde von europäischer Seite, insbesondere von Deutschland und Frankreich, die bei den in Minsk unterzeichneten Abkommen zwischen Russland und Ukraine als Garanten fungierten, auch nichts Ernstes unternommen, um beide Streitparteien auf diplomatischen Wegen nachhaltig aufzufordern, sich verbindlich einzusetzen, um die Minsker-Abkommen wirklich und effektiv zu respektieren, beizubehalten und vor allen Dingen in die Tat umzusetzen, was der einzig gangbare Weg war um den Krieg abzuwenden. Es ist jedem, der sich ernsthaft, unparteiisch und objektiv mit dem Donbass-Konflikt, bzw. dem Bürgerkrieg in der Ukraine beschäftigt hat, bekannt, dass die Minsker-Friedensabkommen, die für die Donbass-Region einen Autonomiestatus garantieren sollten, tatsächlich niemals umgesetzt wurden. Der Widerstand dagegen erfolgte auf ukrainischer Seite aus innenpolitischen Gründen, Interessen, politischem Kalkül und Befürchtungen in Bezug auf Rebellionen seitens der Nationalisten und Rechtsextremistengruppierungen sowie auch durch einen starken Druck von aussen (vermutlich durch die USRegierung und osteuropäische Länder wie Polen und den baltischen Staaten, die daran interessiert waren, einer friedlichen Lösung des ukrainischen Bürgerkrieges entgegenzuwirken, um Russland beschuldigen zu können und es auf diplomatischer Ebene zu schwächen und es wegen seiner militärischen Unterstützung der Donbass-Separatisten und der Krimannexion zu sanktionieren), der besonders gross war, wie sowohl öffentlich als auch bei internen zwischenstaatlichen Gesprächen von ehemaligen ukrainischen Präsidenten und Regierungsverantwortlichen zugegeben worden ist. Dazu genügt es, daran zu erinnern, dass der aktuelle Präsident der Ukraine bei seinem Wahlkampf im Jahre 2019 versprach, dass er, falls er gewählt werde, sich ernsthaft bemühen würde, die Minsker-Abkommen endlich zu implementieren, auch wenn das eine mutige Kompromissbereitschaft erfordern würde, weil gegenüber Russland und den Donbass-Separatisten einige Zugeständnisse notwendig sein würden. Ob dieses Versprechen eingehalten wurde, darauf braucht man nicht einzugehen, da die Antwort vor aller Augen ist.
En outre, des propositions de solutions pacifiques ont également été faites juste avant le déclenchement de la guerre, c'est-à-dire dans la première moitié du mois de février de cette année, à la fois par le chancelier allemand indécis et facilement influençable dans le cadre de la conférence annuelle sur la sécurité de Munich - mais elles n'ont pas été acceptées par le président ukrainien - et par le président français lors de sa visite à Kiev, suggérant à la partie ukrainienne un plan de paix qui a d'abord été accepté, du moins en partie, mais qui a été rejeté de manière contradictoire et apparemment inexplicable par le président ukrainien le jour suivant. Ausserdem wurden auch unmittelbar vor dem Kriegsausbruch friedliche Lösungsvorschläge gemacht, d.h. in der ersten Hälfte des Monats Februar dieses Jahres, sowohl vom unentschlossenen und leicht beeinflussbaren deutschen Bundeskanzler im Rahmen der jährlichen Münchner Sicherheitskonferenz – die jedoch vom ukrainischen Präsidenten nicht akzeptiert wurden –, als auch vom französischen Präsidenten bei seinem Besuch in Kiew, wobei der ukrainischen Seite ein Friedensplan nahegelegt wurde, der zuerst zumindest teilweise angenommen, aber am darauffolgenden Tag vom ukrainischen Präsidenten widersprüchlich und auf scheinbar unerklärliche Art und Weise verworfen wurde.
Un fait indéniable est que tous les efforts et propositions de paix de la part de l'Allemagne et de la France, ainsi que le plan de paix proposé par la Russie, qui auraient pu éviter cette guerre - ce qui était un obstacle aux plans secrets du gouvernement fantôme américain - ont été rejetés par la partie ukrainienne. Il est certain que des représentants du gouvernement officiel américain ou d'autres émissaires ont influencé le président ukrainien en raison de leur connaissance approfondie de sa personnalité et de ses préoccupations, de sorte qu'il se plie à leurs exigences de pouvoir, à leurs ambitions et à leurs intérêts personnels, contribuant ainsi de manière importante à la réalisation du plan secret du gouvernement fantôme américain, qui vise à vaincre définitivement la Russie à la suite de l'invasion cyniquement provoquée et acceptée de l'Ukraine par les troupes russes, c'est-à-dire en provoquant le déclenchement de la guerre en Ukraine. Eine nicht zu leugnende Tatsache ist, dass alle Friedensbemühungen und -vorschläge von deutscher und französischer Seite sowie der von russischer Seite vorgeschlagene Friedensplan, welche diesen Krieg hätten vermeiden können – was den geheimen Plänen der amerikanischen Schattenregierung im Wege stand – durch die ukrainische Seite verworfen wurden. Mit Sicherheit haben irgendwelche Vertreter der offiziellen US-Regierung oder andere Emissäre den ukrainischen Präsidenten aufgrund ihrer genauen Kenntnisse seiner Persönlichkeit und Anliegen beeinflusst, so dass er aus ihnen bekannten Machtansprüche, Ambitionen und persönlichen Interessen nach ihrer Pfeife tanzt und somit einen wichtigen Beitrag zur Verwirklichung des geheimen Planes der US-Schattenregierung leistet, wonach infolge des zynisch provozierten und in Kauf genommenen Einmarsches russischer Truppe in die Ukraine, d.h. durch den herbeizuführen Ausbruch des Ukraine-Krieges, versucht wird Russland endgültig zu besiegen.
Selon le Wall Street Journal du 1er avril 2022, le chancelier allemand en exercice avait proposé au président ukrainien, lors de la conférence sur la sécurité de Munich, cinq jours avant l'invasion russe, à savoir le 19 février, de déclarer publiquement, c'est-à-dire officiellement, qu'il renonçait à demander l'adhésion à l'OTAN et qu'il était prêt à soutenir la neutralité de son pays dans le cadre d'un accord global sur la sécurité de l'Europe et de l'Ukraine, afin d'éviter la guerre imminente, mais le président aurait refusé la proposition. L'accord proposé aurait dû être signé par les présidents des États-Unis et de la Russie.

Le président ukrainien aurait justifié son refus par le fait qu'"il n'est pas crédible que Poutine s'en tienne à un tel accord" et que "la majorité de la population ukrainienne est favorable à une adhésion à l'OTAN". Le journal américain a commenté que "de telles réponses faisaient craindre aux fonctionnaires du gouvernement allemand que les chances de paix s'amenuisaient". Le même article de journal reconstituait également le rôle de la CIA dans la préparation du gouvernement ukrainien à l'invasion russe. Il s'est avéré que le chef de la CIA s'était rendu à Kiev en janvier 2022 pour soi-disant informer le président ukrainien des plans de guerre du Kremlin et lui permettre ainsi de préparer une contre-offensive. Il aurait également mené deux missions secrètes dans les mois précédant le déclenchement de la guerre : La première en novembre 2021 à Moscou pour faire passer le message à Poutine que l'Occident réagirait par des sanctions sévères s'il attaquait le pays voisin et la seconde à Kiev pour transmettre au président ukrainien des informations importantes concernant les premiers jours de la guerre, visant à éviter une éventuelle attaque éclair sur l'aéroport de la capitale. Il aurait déclaré à cette occasion que Poutine avait planifié une attaque éclair lancée depuis la Biélorussie et dirigée sur Kiev, afin de s'emparer de l'aéroport et de prendre le contrôle de la capitale grâce à l'intervention de parachutistes, dans le but de renverser le gouvernement.

Aufgrund dessen, was die Zeitung ‹Wall Street Journal› am 1.4.2022 berichtete, hatte der amtierende deutsche Bundeskanzler während der Münchner Sicherheitskonferenz dem ukrainischen Präsidenten fünf Tage vor dem russischen Überfall, nämlich am 19. Februar, vorgeschlagen, öffentlich, d.h. offiziell zu erklären, dass er darauf verzichte, eine NATO-Mitgliedschaft zu beantragen und bereit sei, die Neutralität seines Landes im Rahmen einer umfassenden Vereinbarung zur Sicherheit Europas und der Ukraine zu befürworteten, um den drohenden Krieg abzuwenden, doch soll dieser den Vorschlag abgelehnt haben. Die vorgeschlagene Vereinbarung hätte von den Präsidenten der USA und Russlands unterzeichnet werden sollen. Der ukrainische Staatspräsident soll seine Ablehnung damit begründet haben, «es sei nicht glaubwürdig, dass Putin sich an eine solche Vereinbarung halten würde» und «die Mehrheit der ukrainischen Bevölkerung befürworte einen NATO-Betritt». Die amerikanische Zeitung kommentierte, dass «solche Antworten die deutschen Regierungsbeamten befürchten liess, dass die Friedenschancen im Schwinden begriffen waren». Im gleichen Zeitungsartikel wurde auch die Rolle der CIA bei der Vorbereitung der ukrainischen Regierung auf den russischen Überfall rekonstruiert. Es stellte sich heraus, dass der CIA-Chef im Januar 2022 nach Kiew gereist war, um den ukrainischen Präsidenten angeblich über die Kriegspläne des Kremls zu benachrichtigen und ihm dadurch zu ermöglichen, eine Gegenoffensive vorzubereiten. Und er soll in den Monaten vor dem Kriegsausbruch zwei Geheimmissionen durchgeführt haben: Die erste im November 2021 in Moskau, um Putin die Botschaft zu übermitteln, der Westen würde mit harten Sanktionen reagieren, wenn er das Nachbarland angreifen würde und die zweite in Kiew, um dem ukrainischen Präsidenten wichtige Informationen bezüglich der ersten Kriegstage zu überbringen, die darauf abzielten, einen möglichen Blitzangriff auf den Flughafen der Hauptstadt abzuwenden. Dabei soll er erklärt haben, Putin habe einen von Weissrussland aus startenden und auf Kiew gerichteten blitzkriegartigen Angriff geplant, um den Flughafen zu erobern und durch den Einsatz von Fallschirmjägern die Kontrolle über die Hauptstadt zu gewinnen, mit dem Ziel die Regierung zu stürzen.
Dans sa réponse au message qui lui a été transmis par le directeur de la CIA via une connexion cryptée, le chef du Kremlin aurait rejeté tout soupçon d'invasion planifiée et critiqué les Etats-Unis pour avoir ignoré pendant des années les exigences russes en matière de sécurité - a rapporté le journal précité. In seiner Antwort auf die ihm vom CIA-Direktor durch eine verschlüsselte Verbindung übermittelte Botschaft, soll der Kremlchef jeglichen Verdacht auf eine geplante Invasion zurückgewiesen und die USA dafür kritisiert haben, dass sie die russischen Sicherheitsforderungen jahrelang ignoriert haben – berichtete die erwähnte Zeitung.
Au cours des dernières années et des derniers mois, le président russe avait signalé à plusieurs reprises que l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN et l'installation systématique d'installations militaires de l'OTAN et des Etats-Unis, y compris de systèmes de lancement de missiles, à proximité des frontières occidentales de la Russie constituaient une 'ligne rouge' à ne pas franchir. Der russische Präsident hatte in den vergangenen Jahren und Monaten mehrfach signalisiert, dass die NATO-Mitgliedschaft der Ukraine und die konsequente Installation von NATO- und US-Militäreinrichtungen inklusive Raketenabschusssystemen nahe den russischen Westgrenzen eine nicht zu überschreitende ‹Rote Linie› darstelle.
Malgré tout, cette 'ligne rouge' a été franchie, car la voie de la décentralisation de l'État ukrainien dans le sens d'une constitution fédérale et de l'autonomie qui en découle pour la région du Donbass selon le modèle du Tyrol du Sud, ainsi que la protection des minorités en ce qui concerne la population ethnique et linguistique russe de l'Ukraine et surtout la neutralité de l'Ukraine en matière de politique d'alliance dans le cadre d'un accord de sécurité global entre l'OTAN, l'UE et la Russie n'ont pas été suivies. Trotzdem wurde diese ‹Rote Linie› dann aber doch überschritten, denn der friedensfördernde Weg der Dezentralisierung des ukrainischen Staates im Sinne einer föderalen Staatsverfassung und der damit einhergehenden Autonomie für die Donbass-Region nach dem Modell Südtirols sowie dem Minderheitenschutz bezüglich der russisch ethnischen und sprachlichen Bevölkerung der Ukraine und vor allem der bündnispolitischen Neutralität der Ukraine im Rahmen eines umfassenden Sicherheitsabkommens zwischen NATO, EU und Russland wurde nicht eingeschlagen.
Poutine a été invité au sommet de l'OTAN à Bucarest en avril 2008, lorsqu'il a été annoncé que l'Ukraine et la Géorgie rejoindraient l'OTAN. Ses avertissements répétés sur les conséquences dangereuses de ce projet irréfléchi sont tombés dans l'oreille d'un sourd à Washington, les États-Unis et leurs alliés estimant probablement que la Russie ne serait pas en mesure de mettre un terme à un nouvel élargissement de l'OTAN, comme ce fut le cas lors du précédent processus d'élargissement de l'OTAN entre 1999 et 2004. Cette thèse est également défendue par le célèbre politologue américain John J. Mearsheimer. Il a fait remarquer à juste titre dans un article de 2014 (intitulé 'Why the Ukraine Crisis Is the West's Fault', à savoir 'Pourquoi l'Occident est responsable de la crise ukrainienne') que les grandes puissances sont particulièrement irritées lorsqu'elles perçoivent une menace potentielle à proximité de leurs frontières. Par exemple, si un pays non allié des Etats-Unis et non membre de l'OTAN déployait des installations militaires et des soldats près des frontières américaines, par exemple au Canada, au Mexique ou dans les Caraïbes, ou si un pays voisin des Etats-Unis rejoignait une alliance militaire hostile ou étrangère, comment les Etats-Unis réagiraient-ils ? Certainement pas de manière pacifique, comme le stipule la doctrine Monroe en vigueur depuis 1823, à savoir que les États-Unis ne tolèrent aucune présence militaire d'États européens ou étrangers (dans le sens d'appartenant à un autre continent) sur l'ensemble du continent américain (c'est-à-dire de l'Alaska à la Terre de Feu). Putin war im April 2008 auf dem NATO-Gipfel in Bukarest als Gast eingeladen worden, als ankündigt wurde, dass die Ukraine und Georgien der NATO beitreten sollten. Seine wiederholten Warnungen vor den gefährlichen Konsequenzen dieses rücksichtslosen Vorhabens stiessen in Washington auf taube Ohren, da die USA und ihre Verbündeten wahrscheinlich der Meinung waren, dass Russland nicht in der Lage sein würde, einer weiteren NATO-Erweiterung Einhalt zu gebieten, wie es auch beim früheren NATO-Erweiterungsprozess von 1999 bis 2004 der Fall war. Diese These vertritt auch der renommierte USPolitologe John J. Mearsheimer. Er bemerkte zu Recht in einem Artikel aus dem Jahre 2014 (mit dem Titel ‹Why the Ukraine Crisis Is the West's Fault›, nämlich ‹Warum der Westen an der Ukraine-Krise schuld ist›), dass Grossmächte besonders dann irritiert werden, wenn sie eine potentielle Bedrohung in der Nähe ihrer Grenzen wahrnehmen. Wenn z.B. irgendein Staat, der kein Verbündeter der USA und nicht Mitglied der NATO ist, Militäreinrichtungen und Soldaten nahe den Grenzen der Vereinigten Staaten, etwa in Kanada, Mexiko oder in der Karibik, stationieren würde, oder ein Nachbarstaat der USA einem feindlichen oder fremden Militärbündnis beitreten würde, wie würden die USA reagieren? Ganz bestimmt nicht friedlich, wie die seit 1823 bestehende Monroe-Doktrin besagt, dass nämlich die USA keine militärische Präsenz europäischer bzw. fremder (im Sinne von einem anderen Kontinent angehörender) Staaten auf dem gesamten amerikanischen Kontinent (also von Alaska bis Feuerland) dulden.
Worse still, when thousands of Russian tanks and hundreds of thousands of soldiers were stationed near the Ukrainian border in the months and weeks leading up to the war, the US government was committed to launching and continuing a gruelling war of information and nerves, the purpose of which was to bring the Russian president to the point where he finally lost patience and saw no other way out of the crisis than to go to war, which as such is and will always be the wrong way. Schlimmer noch, als in den Monaten und Wochen vor dem Krieg tausende russische Panzer und hunderttausende Soldaten nahe der ukrainischen Grenze stationiert wurden, hat sich die US-Regierung dafür eingesetzt, einen zermürbenden Informations- und Nervenkrieg vom Stapel zu lassen und immer weiterzuführen, der bezweckte, den russischen Staatspräsidenten so weit zu bringen, dass er endlich die Geduld verlor und somit keinen anderen Weg aus der Krise mehr saht als eben den Kriegsgang, der als solcher immer der falsche Weg ist und sein wird.
Même après le déclenchement de la guerre, cette guerre des nerfs s'est poursuivie de manière perfide, les officiels de l'OTAN et des États-Unis affirmant que la Russie était prête à utiliser des armes chimiques et même nucléaires, afin que cela puisse effectivement se produire tôt ou tard, comme dans le cas d'une prophétie auto-réalisatrice, de sorte que le plan souhaité du gouvernement des ténèbres se réalise, à savoir avoir dans le conflit ukrainien un prétexte pour l'entrée en guerre directe de l'OTAN contre la Russie, ce qui fera inévitablement éclater la troisième/quatrième guerre mondiale. Malheureusement, les dirigeants européens américanophiles, dépourvus d'intelligence et de bon sens, n'ont pas compris où tout cela les mènera, et s'ils le comprennent un jour, il sera trop tard. Le prix exorbitant à payer pour leur stupidité sans limite sera la destruction sans précédent d'une grande partie du continent européen. Albert Einstein aurait dit un jour : "Deux choses sont infinies, l'univers et la bêtise humaine, mais je ne suis pas encore tout à fait sûr de l'univers". Auch nach dem Kriegsausbruch wurde und wird dieser Nervenkrieg immer noch perfide fortgeführt, indem von offizieller NATO- und US-Seite behauptet wurde und wird, Russland sei bereit, chemische und sogar Atomwaffen einzusetzen, damit das früher oder später, wie es bei einer selbsterfüllenden Prophetie der Fall ist, tatsächlich geschehen kann, so dass der angestrebte Plan der Dunkelregierung in Erfüllung geht, im ukrainischen Konflikt einen Vorwand zum direkten Kriegseinzug der NATO gegen Russland zu haben, was unweigerlich den Dritten/Vierten Weltkrieg ausbrechen lassen wird. Leider haben die verstandes- und vernunftsmässig unterbemittelten, amerikafreundlichen EU-Staatsmächtigen nicht verstanden, wohin das Ganze führen soll, und falls sie es jemals kapieren sollten wird es zu spät sein. Der zu zahlende horrend hohe Preis für ihre haarsträubende, grenzlose Dummheit wird die noch nie dagewesene Zerstörung weiter Teile des europäischen Kontinents sein. Albert Einstein soll einmal folgenden Spruch gesagt haben: «Zwei Dinge sind unendlich, das Universum und die menschliche Dummheit, aber beim Universum bin ich mir noch nicht ganz sicher.»
En ce qui concerne les contacts et les discussions entre les chefs de gouvernement européens et le président russe qui ont eu lieu juste avant le début de la guerre, il convient de mentionner ce que le quotidien français 'Le Figaro' a rapporté sur les visites du président Emmanuel Macron à Moscou et à Kiev. Le 9.2.2022, on pouvait lire dans ledit journal que, selon des informations émanant du palais de l'Elysée (siège de la présidence française), "le président ukrainien a réaffirmé lors de son entretien avec Macron son engagement à mettre en œuvre les accords de Minsk". Pourtant, dans les jours qui ont suivi, de nombreux journaux de différents pays ont rapporté que la mise en œuvre des accords de Minsk préconisée par Macron et l'appel lancé en ce sens par ce dernier au président ukrainien avaient suscité un malaise dans les milieux gouvernementaux de Kiev et que le président ukrainien avait refusé de manière frappante, lors de sa rencontre avec Macron, de s'engager à nouveau à mettre pleinement en œuvre les accords de Minsk. En revanche, lors de la conférence de presse tenue conjointement avec son homologue ukrainien le 8 février 2022 à Kiev, le président français avait annoncé que les chefs d'État russe et ukrainien s'étaient engagés à respecter les accords de Minsk et il avait affirmé avec satisfaction : "Il y a maintenant la possibilité de poursuivre les négociations". Dans son discours lors de la conférence de presse commune, le président ukrainien n'a pas du tout cité les accords de Minsk. Certains pensent que cela s'explique par le fait que ces accords sont extrêmement impopulaires dans le pays (sauf dans les régions habitées par la minorité russe). Il a simplement dit qu'il espérait que la réunion prévue à Berlin entre les représentants ukrainiens, russes, allemands et français serait un guide pour relancer le processus de paix. Et il a ajouté : "En fait, je ne me fie pas aux mots, mais je pense que chaque homme politique peut être transparent en prenant des mesures concrètes". Was die Kontakte und Gespräche zwischen den europäischen Regierungschefs und dem russischen Staatspräsidenten angeht, die unmittelbar vor Kriegsbeginn stattgefunden haben, ist erwähnenswert, was die französische Tageszeitung ‹Le Figaro› über die Besuche des Präsidenten Emmanuel Macron in Moskau und Kiew berichtet hat. Am 9.2.2022 war in der genannten Zeitung zu lesen, dass laut Angaben aus dem Elysee-Palast (dem Sitz der französischen Staatspräsidentschaft) «der ukrainische Präsident bei seinem Gespräch mit Macron sein Engagement bekräftigt habe, die Minsker-Abkommen umzusetzen». Trotzdem berichteten in den darauffolgenden Tagen viele Zeitungen in verschiedenen Ländern, dass die von Macron befürwortete Implementierung der Minsker-Abkommen und die dementsprechende Aufforderung seinerseits gegenüber dem ukrainischen Präsidenten Unbehagen in Kiewer Regierungskreisen ausgelöst und der ukrainische Staatspräsident bei seinem Treffen mit Macron in auffallender Weise ein erneutes Engagement zur vollen Umsetzung des Minsker- Abkommen abgelehnt habe. Dagegen hatte der französische Präsident bei der gemeinsam mit seinem ukrainischen Amtskollegen gehaltenen Pressekonferenz am 8.2.2022 in Kiew angekündigt, die Staatsoberhäupter von Russland und der Ukraine hätten sich dafür eingesetzt, die Minsker-Abkommen einzuhalten und er behauptete mit Genugtuung: «Es gibt jetzt die Möglichkeit, die Verhandlungen weiterzuführen.» In seiner Rede bei der gemeinsamen Pressekonferenz zitierte der ukrainische Präsident die Minsker-Abkommen überhaupt nicht. Manche meinen, das sei dadurch zu erklären, dass diese Abkommen im Land äusserst unpopulär sind (ausser in den von der russischen Minderheit bewohnten Regionen). Er sagte nur, er hoffe, dass das geplante Treffen der ukrainischen, russischen, deutschen und französischen Vertreter in Berlin ein Wegweiser sei, um den Friedensprozess wieder zu beleben. Und er fügte hinzu: «Eigentlich traue ich den Worten nicht, sondern ich glaube, dass jeder Politiker transparent sein kann, indem er konkrete Schritte unternimmt.»
Le lendemain, le ministre ukrainien des Affaires étrangères a déclaré, sur la base d'un rapport de l'agence de presse RIA Novosti, que le gouvernement de Kiev ne refusait pas de respecter les accords de Minsk comme solution au conflit dans le Donbass, mais à aucune condition de la part de la Fédération de Russie. Il a également déclaré à ce sujet : "La phrase selon laquelle les accords de Minsk doivent être appliqués est comme la prière 'Notre Père' - tout le monde la répète. La question est différente, à savoir si les accords de Minsk doivent être mis en œuvre dans les conditions russes et sur la base de l'interprétation russe ou tels qu'ils sont, c'est-à-dire d'une manière qui n'est pas déformée par les Russes". Et d'ajouter que lors de sa visite de la veille, Macron "n'avait pas convaincu les dirigeants ukrainiens de mettre en œuvre les accords de Minsk selon les conditions de Moscou". Am nächsten Tag erklärte der ukrainische Aussenminister aufgrund eines Berichts der Nachrichtenagentur RIA Novosti, die Kiewer Regierung weigere sich zwar nicht, die Minsker-Abkommen als Lösung für den Konflikt im Donbass einzuhalten, aber unter keinen Bedingungen von Seiten der Russischen Föderation. Dazu sagte er auch: «Der Satz, dass die Minsker-Abkommen umzusetzen sind, ist wie das Gebet ‹Vater Unser› – alle wiederholen das. Die Frage ist eine andere, nämlich ob die MinskerAbkommen unter den russischen Bedingungen und aufgrund der russischen Interpretation umgesetzt werden sollen oder so wie sie sind, d.h. in einer Art und Weise, die nicht von den Russen verzerrt ist.» Und er fügte hinzu, dass Macron während seines Besuchs am vorigen Tag «die ukrainische Führung nicht davon überzeugt hatte, die Minsker-Abkommen unter den Moskauer Bedingungen umzusetzen».
La prise de position du ministre ukrainien des Affaires étrangères semble étrange, étant donné que le gouvernement ukrainien avait approuvé la résolution n° 2202 du Conseil de sécurité des Nations unies du 17 février 2015, dont le préambule stipule ce qui suit : Die Stellungnahme des ukrainischen Aussenministers klingt merkwürdig, da die ukrainische Regierung der UN- SicherheitsratResolution Nr. 2202 vom 17. Februar 2015 zugestimmt hatte, die in der Präambel folgendes besagt:
Rappelant les buts et principes énoncés dans la Charte des Nations unies et réaffirmant son plein respect de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine, le Conseil de sécurité, exprimant sa vive préoccupation face aux événements tragiques et à la violence dans les régions orientales de l'Ukraine, réaffirme sa résolution 2166 (2014) du 21 juillet 2014, est fermement convaincu que la situation dans les régions orientales de l'Ukraine ne peut être résolue que par un règlement pacifique de la crise actuelle, Der Sicherheitsrat ist, unter Hinweis auf die in der Charta der Vereinten Nationen verankerten Ziele und Grundsätze und in Bekräftigung seiner uneingeschränkten Achtung der Souveränität, der Unabhängigkeit und der territorialen Unversehrtheit der Ukraine, mit dem Ausdruck seiner ernsten Besorgnis über die tragischen Ereignisse und die Gewalt in den östlichen Regionen der Ukraine, in Bekräftigung seiner Resolution 2166 (2014) vom 21. Juli 2014, fest überzeugt, dass die Situation in den östlichen Regionen der Ukraine nur durch eine friedliche Regelung der derzeitigen Krise beigelegt werden kann,
1. approuve le paquet de mesures pour la mise en œuvre des accords de Minsk, adopté et signé à Minsk le 12 février 2015 (annexe I) ; 1. billigt das Massnahmenpaket für die Umsetzung der Minsker Vereinbarungen, das am 12. Februar 2015 in Minsk angenommen und unterzeichnet wurde (Anlage I);
2. se félicite de la déclaration du Président de la Fédération de Russie, du Président de l'Ukraine, du Président de la République française et de la Chancelière de la République fédérale d'Allemagne soutenant le train de mesures pour la mise en œuvre des accords de Minsk, adoptée à Minsk le 12 février 2015 (annexe II), et de l'engagement continu qu'ils y ont pris en faveur de la mise en œuvre des accords de Minsk ; 2. begrüsst die Erklärung des Präsidenten der Russischen Föderation, des Präsidenten der Ukraine, des Präsidenten der Französischen Republik und der Bundeskanzlerin der Bundesrepublik Deutschland zur Unterstützung des Massnahmenpakets für die Umsetzung der Minsker Vereinbarungen, angenommen am 12. Februar 2015 in Minsk (Anlage II), und die darin von ihnen bekundete anhaltende Verpflichtung auf die Umsetzung der Minsker Vereinbarungen;
3. invite toutes les parties à mettre pleinement en œuvre le train de mesures, y compris le cessez-le-feu global qu'il prévoit ; 3. fordert alle Parteien auf, das Massnahmenpaket, einschliesslich der darin vorgesehenen umfassenden Waffenruhe, vollständig umzusetzen;
4. décide de rester saisi de l'affaire. 4. beschliesst, mit der Angelegenheit befasst zu bleiben.
Adopté à l'unanimité lors de la 7384e réunion. Auf der 7384. Sitzung einstimmig verabschiedet.
Il y a manifestement quelque chose qui cloche dans toute cette affaire. En effet, soit le chancelier allemand et le président français n'ont pas bien compris que leur homologue n'était pas prêt à répondre à l'engagement qu'ils préconisaient et recherchaient concernant la mise en œuvre complète des accords de Minsk, soit ils ont été induits en erreur par le fait que leur homologue leur a fait part d'une apparente volonté de mise en œuvre alors qu'il n'avait absolument pas l'intention d'y donner suite, ce qui est apparu ouvertement peu après et a été rapporté par certains journaux. Bei der ganzen Angelegenheit stimmt offensichtlich etwas nicht. Denn entweder haben der deutsche Bundeskanzler und der französische Präsident nicht ganz verstanden, dass ihr Counterpart nicht bereit war, auf das von ihnen befürwortete und angestrebte Engagement in Bezug auf die vollständige Umsetzung der Minsker-Abkommen einzugehen, oder sie sind in die Irre geführt worden, indem ihnen von ihrem Amtskollegen eine scheinbare Umsetzungsbereitschaft signalisiert wurde, obwohl dieser überhaupt nicht beabsichtigte, dem Folge zu leisten, was kurz danach offen zum Vorschein kam und von einigen Zeitungen berichtet wurde.
Suite à l'entretien de cinq heures avec Macron le 7 février 2022 au Kremlin, la veille de la visite du chef d'État français à Kiev, Poutine a déclaré lors de la conférence de presse commune qu'il pensait possible de "prendre en considération une série de propositions et d'idées [de Macron] afin de réduire l'escalade concernant la situation en Ukraine, ce qui pourrait jeter les bases de nouvelles mesures". In Folge des fünf Stunden dauernden Gespräches mit Macron am 7.2.2022 im Kreml, das ein Tag vor der Visite des französischen Staatschefs in Kiew erfolgte, sagte Putin bei der gemeinsamen Pressekonferenz, er halte es für möglich «eine Reihe von Vorschlägen und Ideen [von Macron] in Betracht zu ziehen, um die Eskalation bezüglich der Situation in der Ukraine zu reduzieren, was die Grundlagen für weitere Schritte schaffen könnte.»
Ce qui est également remarquable, ce sont quelques extraits de la conversation téléphonique de moins de dix minutes entre Macron et Poutine, qui a eu lieu quatre jours avant le début de la guerre, c'est-à-dire le 20 février 2022. Ils ont été publiés dans les journaux français fin juin et diffusés sur France 2 le 30 juin 2022, puis repris par de nombreux autres organes de presse dans le monde. Poutine a notamment dit à son homologue français que le gouvernement ukrainien cherchait à 'accéder à l'arme nucléaire', et juste après, on entend le conseiller diplomatique de Macron, Emanuelle Bonne, commenter : "Mais non, qu'est-ce que vous dites ...", puis Macron a dit : "C'est absurde ...". Au début de la conversation téléphonique, Poutine avait reproché au président ukrainien de ne rien faire pour respecter les accords de Minsk. Les mots de Poutine en version originale : "Tu vois toi-même ce qui se passe (...). Le chancelier Scholz et toi m'avez dit que Selensky était prêt à faire un geste de bonne volonté et qu'il avait préparé un projet de loi pour appliquer les accords de Minsk (...) Mais en réalité, notre cher collègue, Monsieur Selensky, ne fait rien du tout. Il vous ment". Il a ensuite été question des propositions de l'Ukraine et de l'éventuelle implication de représentants des régions de Donetsk et de Louhansk. Le chef du Kremlin a affirmé à ce sujet Was auch bemerkenswert ist, sind einige Auszüge aus dem weniger als zehn Minuten langen Telefongespräch zwischen Macron und Putin, das vier Tage vor Kriegsbeginn, d.h. am 20. Februar 2022, stattgefunden hat. Diese sind in den französischen Zeitungen Ende Juni veröffentlicht sowie im Fernsehsender France 2 am 30. Juni 2022 gesendet und dann auch von vielen anderen Presseorganen weltweit aufgegriffen worden. Dabei sagte Putin seinem französischen Amtskollegen unter anderem, die Regierung der Ukraine strebe danach, ‹sich Zugang zur Atomwaffe zu beschaffen›, und gleich danach ist der diplomatische Berater von Macron, Emanuelle Bonne, zu hören, der dazu kommentiert: «Aber nein, was sagen Sie da …» und dann sagte Macron: «Das ist absurd …». Am Anfang des Telefongesprächs hatte Putin dem ukrainischen Präsidenten vorgeworfen, nichts zu machen, um die Minsker-Abkommen zu beachten. Putins Worte im Originalton: «Du siehst doch selbst was passiert (…). Du und Bundeskanzler Scholz habt mir gesagt, Selensky sei bereit zu einer Geste guten Willens und er habe einen Gesetzentwurf zur Umsetzung der Minsker-Abkommen vorbereitet (…) Aber in Wirklichkeit macht unser lieber Kollege, Herr Selensky, überhaupt nichts. Er lügt euch an.» Dann wurde über die Vorschläge der Ukraine und die eventuelle Einbeziehung von Vertretern der Regionen von Donezk und Luhansk gesprochen. Der Kremlchef behauptete dazu:
[Le gouvernement ukrainien] n'est pas démocratiquement élu. Ils sont arrivés au pouvoir par un coup d'État. Écoutez-moi bien : le principe du dialogue veut que l'on tienne compte des intérêts de l'autre partie. Les propositions sont là. Les séparatistes, comme tu les appelles, les ont transmises au gouvernement ukrainien, mais ils n'ont reçu aucune réponse à ce sujet. Où est le dialogue ? [Bei der ukrainischen Regierung] handelt es sich nicht um eine demokratisch gewählte Regierung. Die sind durch einen Putsch an die Macht gekommen. Hör mir genau zu: Das Dialogprinzip sieht vor, dass man die Interessen der anderen Partei berücksichtigt. Die Vorschläge sind da. Die Separatisten, wie Du sie nennst, haben diese an die ukrainische Regierung übermittelt, aber sie haben keine Antwort dazu bekommen. Wo ist der Dialog?
Pour comprendre si le gouvernement ukrainien avait réellement et sincèrement l'intention de suivre la voie du dialogue et de la mise en œuvre des accords de Minsk signés en 2015 ainsi que du compromis afin d'éviter la guerre imminente, il convient de rappeler que depuis le 16 février 2022, c'est-à-dire avant l'incursion russe, alors que les tensions entre la Russie et l'Ukraine étaient en hausse, des attaques intensives ont été menées par les forces armées régulières et paramilitaires ukrainiennes dans les régions des républiques autoproclamées de Louhansk et de Donetsk, détruisant ou endommageant diverses installations civiles, au point que plusieurs centaines de milliers d'habitants du Donbass ont dû être évacués vers la Russie. Le 19 février, l'information a été diffusée selon laquelle une école maternelle d'un village de la région de Louhansk avait été bombardée suite à des bombardements près de la frontière russe. Une vingtaine d'enfants s'y trouvaient et ont miraculeusement survécu. Les enseignantes, dont certaines ont été blessées, ont déclaré que l'attaque contre le bâtiment scolaire était ciblée. Le gouvernement ukrainien en a rejeté la responsabilité sur les séparatistes prorusses. Et selon un rapport du ministère de la sécurité de la République de Donetsk daté du 18 février 2022, certaines personnes d'origine non ukrainienne auraient participé à des actes de sabotage. Les saboteurs allophones, équipés d'un matériel spécifique, auraient été interceptés par quelques combattants séparatistes alors qu'ils tentaient de provoquer un accident en faisant exploser des réservoirs de chlore gazeux dans une station d'épuration d'engrais à Horlivka à 4 heures du matin. L'information a été définie comme une "fake news" par le gouvernement ukrainien. En outre, le 16 février, les observateurs de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) ont signalé 591 violations du cessez-le-feu dans la région du Donbass, dont 316 explosions, ce qui représente une augmentation par rapport aux jours précédents. Um zu verstehen, ob die ukrainische Regierung wirklich und ehrlich beabsichtigt hatte, den Weg des Dialogs und der Umsetzung der 2015 unterzeichneten Minsker-Abkommen sowie des Kompromisses zu begehen, um den drohenden Krieg abzuwenden, oder nicht, ist es angebracht, in Erinnerung zu rufen, dass seit dem 16. Februar 2022, d.h. vor dem russischen Überfall, als die Spannungen zwischen Russland und der Ukraine im Zunehmen waren, intensive Angriffe durch reguläre ukrainische Streitkräfte und paramilitärische Kräfte in den Gebieten der selbstproklamierten Republiken von Luhansk und Donezk durchgeführt und dadurch verschiedene zivile Einrichtungen zerstört oder beschädigt wurden, so, dass mehrere hunderttausend Einwohner vom Donbass nach Russland evakuiert werden mussten. Am 19. Februar wurde die Meldung verbreitet, dass ein Kindergarten in einem Dorf der Region Luhansk infolge von Bombardements nahe der russischen Grenze beschossen wurde. Dort waren 20 Kinder anwesend, die wie durch ein Wunder überlebten. Die Lehrerinnen, von denen einige verletzt wurden, erklärten, der Angriff auf das Schulgebäude sei gezielt gewesen. Die ukrainische Regierung schob die Schuld dafür den prorussischen Separatisten in die Schuhe. Und laut einer Meldung des Sicherheitsministeriums der DonezkRepublik vom 18 Februar 2022, sollten einige Personen nicht ukrainischer Abstammung an Sabotageakten beteiligt gewesen sein. Die mit spezifischen Geräten ausgestatteten fremdsprachigen Saboteure seien von einigen Separatisten-Kämpfern abgefangen worden, als sie um 4.00 Uhr morgens versuchten, bei einer Düngemittel-Kläranlage in Horlivka durch die Sprengung von Chlorgasbehältern einen Unfall zu verursachen. Die Meldung wurde von Seiten der ukrainischen Regierung als Fake News definiert. Ausserdem wurden durch Beobachter der OSZE (Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa) am 16. Februar in der Region Donbass 591 Brüche des Waffenstillstandes inklusive 316 Explosionen gemeldet, was eine Zunahme im Vergleich zu den vorhergehenden Tagen war.
Fin octobre 2021, pour la première fois depuis le début de la guerre civile dans le Donbass, l'armée ukrainienne a mené une attaque au moyen de drones, en violation des accords de paix de Minsk, ce qui a entraîné le bombardement d'un dépôt de carburant et d'une position d'artillerie. Le gouvernement allemand s'en est également inquiété et a semblé désapprouver cette attaque, bien que dans le communiqué officiel du ministère des Affaires étrangères, il ait reproché aux deux parties du conflit l'utilisation de drones de combat à la manière de Pilate et rappelé que celle-ci 'était réservée à l'OSCE conformément aux accords de paix'. Le gouvernement ukrainien a rejeté avec indignation l'avertissement de l'Allemagne, soulignant par l'intermédiaire de son ambassadeur à Berlin que le gouvernement fédéral aurait mieux fait de s'en passer et l'appelant plutôt à 'remettre Moscou à sa place'. En outre, l'utilisation de la menace a été justifiée par le 'droit à l'autodéfense'. Ende Oktober 2021 wurde durch die ukrainische Armee unter Verletzung der Minsker-Friedensabkommen zum ersten Mal seit Anfang des Bürgerkriegs im Donbass ein Angriff mittels Drohneneinsatz durchgeführt, infolgedessen ein Treibstofflager und eine Artilleriestellung unter Beschuss kamen. Auch die deutsche Bundesregierung zeigte sich darüber besorgt und schien diesen Angriff zu missbilligen, obwohl sie in der offiziellen Mitteilung des Auswärtigen Amtes den Einsatz von Kampfdrohnen nach Pilatus-Art beiden Seiten im Konflikt vorwarf und mahnte, dieser ‹sei laut Friedensvereinbarungen allein der OSZE vorbehalten›. Die ukrainische Regierung wies die mahnende Stellungnahme Deutschlands mit Empörung zurück, indem sie durch ihren Botschafter in Berlin betonte, die Bundesregierung hätte sich das lieber sparen sollen, und rief diese stattdessen dazu auf ‹Moskau in die Schranken zu weisen›. Ausserdem wurde der Droheneinsatz mit ‹dem Recht auf Selbstverteidigung› gerechtfertigt.
Il est toutefois certain que, selon les accords conclus à Minsk, seule la mission d'observation de l'OSCE est autorisée à utiliser des drones non armés. Dès avril 2021, elle avait demandé à l'OTAN d'accélérer l'adhésion de son pays à l'alliance militaire, arguant que l'OTAN était "le seul moyen de mettre fin à la guerre dans le Donbass" et qu'"une procédure d'adhésion accélérée serait un véritable signal pour la Russie". Fest steht jedoch, dass ein unbewaffneter Drohneneinsatz gemäss den in Minsk getroffenen Vereinbarungen ausschliesslich der Beobachtermission der OSZE erlaubt ist. Bereits im April 2021 hatte sie die NATO aufgefordert, den Beitritt ihres Landes ins Militärbündnis voranzutreiben, und zwar mit der Begründung, die NATO sei «der einzige Weg, um den Krieg im Donbass zu beenden» und «ein beschleunigtes Beitrittsverfahrens wäre ein echtes Signal an Russland».
En outre, il est également vrai que le 21 mars 2021, le président de l'Ukraine a émis le décret n° 117, en vertu duquel, comme l'a notamment rapporté le 'Berliner Zeitung' : Zudem ist es auch so, dass am 21. März 2021 der Staatspräsident der Ukraine das Dekret Nr. 117 erliess, aufgrund dessen er, wie unter anderem die ‹Berliner Zeitung› berichtete:
(…) veut mettre en œuvre la décision du Conseil national de sécurité et de défense de l'Ukraine du 11 mars 2021 ("Sur la stratégie de désoccupation et de réintégration du territoire temporairement occupé de la République autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol"). Le décret annonce la préparation de mesures visant à 'mettre fin à l'occupation temporaire' de la Crimée et du Donbass. Selon l'agence de presse publique ukrainienne UKRIN-

FORM, le gouvernement a été chargé d'élaborer un 'plan d'action' en ce sens.

(…) die Entscheidung des Nationalen Sicherheits- und Verteidigungsrates der Ukraine vom 11. März 2021 («Zur Strategie der Entbesetzung und Wiedereingliederung des vorübergehend besetzten Gebiets der Autonomen Republik Krim und der Stadt Sewastopol») umsetzen will. In dem Dekret wird die Vorbereitung von Massnahmen angekündigt, um ‹die vorübergehende Besetzung› der Krim und des Donbass zu beenden. Laut der staatlichen ukrainischen Nachrichtenagentur UKRINFORM erhielt die Regierung den Auftrag, einen entsprechenden ‹Aktionsplan› zu entwickeln.
Le même article de presse rapporte également les faits suivants : Im gleichen Zeitungsartikel wurde auch folgendes berichtet:
La Russie rassemble actuellement des unités aux frontières nord et est de l'Ukraine ainsi que sur la péninsule ukrainienne de Crimée annexée par Moscou. Il s'agit d'une réaction à 'l'activité croissante des pays de l'OTAN sur le territoire de l'Ukraine', a déclaré Peskov. Le porte-parole du Kremlin avait déjà mis en garde vendredi contre les activités de l'OTAN en Ukraine : "Il ne fait aucun doute qu'un tel scénario entraînerait de nouvelles tensions à proximité des frontières russes. ", a déclaré Peskov selon Interfax. Russland zieht derzeit Einheiten an den nördlichen und östlichen Grenzen zur Ukraine sowie auf der von Moskau annektierten ukrainischen Halbinsel Krim zusammen. Dies sei eine Reaktion auf ‹die zunehmenden Aktivitäten von NATO-Staaten auf dem Gebiet der Ukraine›, sagte Peskow. Der Kreml-Sprecher hatte bereits am Freitag vor NATO-Aktivitäten in der Ukraine gewarnt: «Zweifellos würde ein solches Szenario zu weiteren Spannungen in der Nähe der russischen Grenzen führen», sagte Peskow laut Interfax.
Et en dernier lieu, on peut aussi y lire Und zuletzt ist da auch zu lesen:
Selon une décision du Parlement ukrainien, jusqu'à 2000 soldats américains avec du matériel lourd et des avions pourront séjourner en Ukraine cette année à des fins d'entraînement. La Constitution interdit toutefois un stationnement permanent. Nach einem Beschluss des ukrainischen Parlaments dürfen sich in diesem Jahr zu Übungszwecken bis zu 2000 US-Soldaten mit schwerem Gerät und Flugzeugen in der Ukraine aufhalten. Die Verfassung verbietet jedoch eine dauerhafte Stationierung.
(Source : Berliner Zeitung, titre de l'article : OTAN et Ukraine : 'Nous restons vigilants', publié le 6.4.2021 (Quelle: Berliner Zeitung, Artikeltitel: NATO und Ukraine: ‹Wir bleiben wachsam›, veröffentlicht am 6.4.2021)
Tout cela ne ressemble-t-il donc pas à une volonté de jeter de l'huile sur le feu dans une situation déjà très tendue ? Pourquoi donc ? Les Etats-Unis, l'OTAN et l'UE ont-ils appelé le gouvernement ukrainien à mettre fin aux opérations de guerre menées à partir du 16 février contre la population ethnique russe de la région du Donbass et à respecter les accords de paix de Minsk ? Y a-t-il deux poids deux mesures de la part de l'Occident en ce qui concerne les questions du respect des accords internationaux et des violations des droits de l'homme ? Quel genre de communauté de valeurs est le monde occidental, puisqu'il a fermé les yeux pendant huit ans sur les multiples violations des droits de l'homme et les crimes contre l'humanité, c'est-à-dire les attaques systématiques contre la population civile de la région du Donbass, dans l'est de l'Ukraine, en violation du droit international et de la Charte des droits de l'homme des Nations unies ? Apparemment, les milliers de vies de personnes innocentes et civiles détruites dans le Donbass pendant cette période ne valaient pas grand-chose aux yeux des pays occidentaux et de leurs gouvernants. Cela dépend-il du fait qu'ils sont ethniquement et/ou linguistiquement russes et qu'ils sympathisent avec les séparatistes et la Russie ? Sieht das Ganze also nicht so aus, als wollte man in einer ohnehin hochgespannten Lage noch Öl ins Feuer giessen? Wozu denn? Haben vielleicht die USA, die NATO und die EU die ukrainische Regierung dazu aufgerufen, die ab dem 16. Februar vorgenommenen Kriegshandlungen gegen die eigene russisch ethnische Bevölkerung der Donbass-Region einzustellen und die Minsker-Friedensabkommen zu beachten? Gibt es seitens des Westens Doppelstandards, was die Fragen der Beachtung internationaler Abkommen und der Menschenrechtsverletzungen angeht? Was für eine Wertegemeinschaft ist die westliche Welt, da sie angesichts der vielfachen Menschrechtsverletzungen und Verbrechen gegen die Menschlichkeit, d.h. die systematischen Angriffe gegen die Zivilbevölkerung der ostukrainischen Donbass-Region, die gegen das Völkerrecht und die UNMenschenrechtscharta verstossen, acht Jahre lang beide Augen zugedrückt hat? Anscheinend waren die tausenden Menschenleben unschuldiger und ziviler Personen, die während dieses Zeitraumes im Donbass vernichtet wurden, in den Augen der Weststaaten und ihrer Regierenden nicht viel wert. Hängt das vielleicht davon ab, dass sie ethnisch und/oder sprachlich russisch sind und dass sie mit den Separatisten und Russland sympathisieren?
Lorsque, à la fin des années 1990, le gouvernement serbe a lancé un nettoyage ethnique dans la région du Kosovo, peuplée principalement d'Albanais, les grands pays de l'UE et l'OTAN sont entrés en guerre contre la Serbie, au motif de vouloir protéger la minorité ethnique des Albanais du Kosovo, et lorsque, quelques années plus tard (le 17 février 2008), la Serbie est entrée en guerre contre les Albanais du Kosovo. février 2008), le Kosovo a proclamé son indépendance à la suite d'un référendum, cet acte basé sur le résultat des élections a été reconnu par la communauté internationale occidentale et déclaré légal par la Cour internationale de justice de La Haye en 2010, de sorte que le Kosovo s'est vu reconnaître depuis lors le droit à l'autodétermination et qu'il n'appartient donc plus à la Serbie de manière légitime. Pourquoi le même droit à l'autodétermination n'a-t-il pas été accordé aux populations des deux régions géorgiennes d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud, comme l'a demandé la Russie ? Lorsque le gouvernement russe a reconnu les deux régions en tant que territoires indépendants en 2008, il a été accusé par l'Occident de soutenir les aspirations séparatistes dans le Caucase et le président géorgien de l'époque, soutenu par les États-Unis et agissant comme un provocateur, a même été encouragé à rejoindre l'OTAN, ce qui a ensuite conduit à la guerre entre la Russie et la Géorgie. Et encore : pourquoi le résultat du référendum organisé en 2014 en Crimée, c'est-à-dire la volonté exprimée démocratiquement par la population majoritairement russe de la Crimée d'appartenir à la Russie, n'a-t-il pas été reconnu par les pays occidentaux non plus, mais condamné comme une annexion contraire au droit international et la Russie sanctionnée pour cela ? N'était-ce pas un référendum valable au regard du droit international et s'étant déroulé de manière régulière, comme celui du Kosovo ? Als Ende der 1990er Jahre die serbische Regierung in der vorwiegend von Albanern bewohnten Region Kosovo eine ethnische Säuberung in Gang setzte, zogen die grossen EU-Länder und die NATO in den Krieg gegen Serbien, mit der Begründung, die ethnische Minderheit der Kosovo-Albaner schützen zu wollen und als einige Jahre später (am 17. Februar 2008) Kosovo infolge einer Volksabstimmung seine Unabhängigkeit ausrief, wurde dieser auf dem Wahlergebnis basierende Akt von der westlichen Staatengemeinschaft anerkannt und 2010 vom Internationalen Gerichtshof in Den Haag als rechtens erklärt, so, dass seither dem Kosovo das Recht zur Selbstbestimmung zugesprochen wurde und er deshalb auf legitime Art und Weise nicht mehr zu Serbien gehört. Warum wurde das gleiche Selbstbestimmungsrecht den Bevölkerungen beider Georgien angehörenden Regionen Abchasien und Südossetien nicht auch zugesprochen, wie es von Russland gefordert wurde? Als die russische Regierung 2008 beide Regionen als unabhängige Staatsgebiete anerkannte, wurde sie vom Westen dem Vorwurf ausgesetzt, separatistische Bestrebungen im Kaukasus zu unterstützen und dem damaligen von den USA unterstützten und als Provokateur agierenden Präsidenten Georgiens wurde sogar nahegelegt, der NATO beizutreten, was dann zum Krieg zwischen Russland und Georgien führte. Und weiter noch: Warum wurde das Ergebnis des 2014 in der Krim abgehaltenen Referendums, d.h. der demokratisch geäusserte Wille der überwiegend russischen Bevölkerung der Krim, Russland anzugehören, auch von den Weststaaten nicht anerkannt, sondern als völkerrechtswidrige Annexion verurteilt und Russland dafür sanktioniert? War das keine völkerrechtlich gültige und regulär abgelaufene Volksabstimmung wie die im Kosovo?
Il est indéniable qu'en ce qui concerne la guerre Russie-Ukraine, l'administration américaine officielle et le gouvernement fantôme agissent de la même manière qu'ils l'ont toujours fait, sur la base d'une longue tradition d'intrigues, d'opérations secrètes, de manœuvres des services secrets, d'ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays et de guerres provoquées, afin de déstabiliser des pays étrangers au profit de leurs propres intérêts et de renverser leurs gouvernements indésirables (ce que les Américains appellent un 'changement de régime'). La livraison d'armes à certains partis ou groupes joue un rôle important dans l'incitation au chaos, à la discorde et à la guerre civile et dans leur escalade, dans le but inavoué de provoquer un changement de pouvoir en faveur de la politique et de l'économie américaines. Es ist nicht von der Hand zu weisen, dass in Bezug auf den Russland-Ukraine Krieg von Seiten der offiziellen amerikanischen Regierung und der Schattenregierung genauso gehandelt wird, wie aufgrund einer langen Tradition von Intrigen, verdeckten Operationen, geheimdienstlichen Manövern, Einmischungen in die inneren Angelegenheiten von anderen Ländern und provozierten Kriegen immer vorgegangen wurde, um fremde Länder zugunsten der eigenen Interessen zu destabilisieren und ihre unerwünschten Regierungen zu stürzen (was von den Amis ‹regime change› genannt wird). Die Lieferung von Waffen an bestimmte Parteien oder Gruppierungen spielt eine wichtige Rolle, dass damit Chaos, Zwiespalt und Bürgerkrieg angezettelt und zur Eskalation geführt werden sollen, mit dem heimlich angestrebten Ziel, einen Machtwechsel zugunsten der US-Politik und -Wirtschaft zustande zu bringen.
L'humanité terrestre, qui se compose malheureusement le plus souvent d'individus incapables de réfléchir, paresseux, peu critiques, crédules, non instruits, peu désireux d'apprendre, étrangers à la vérité, peu conscients et sous-développés, inconstants, intérieurement divisés, atteints de la folie de Dieu ainsi que d'une mentalité extrêmement matérialiste et donc facilement influençable, est, comme toujours dans son histoire, manipulée par les puissants au moyen de mensonges, de propagande, d'orientation de l'opinion, de distorsion des autres opinions, de censure, d'interdiction de nouvelles étrangères ou provenant d'un camp ennemi, de manipulation des mots et des sentiments, de rhétorique, de diffusion de fausses nouvelles, de lavage de cerveau collectif, de création d'une hystérie de masse, de création d'une atmosphère paranoïaque, de mise au pas, de stigmatisation, de discrédit et de discrimination de ceux qui pensent autrement, Chasse aux sorcières sous forme de contrôle des fakenews et de fact-checking, promotion du conformisme, agitation, polarisation des opinions, division de la société, diabolisation de la partie adverse, recherche de boucs émissaires, propagation de la haine et de la colère, déformation des faits, omission d'informations, construction artificielle d'images ennemies, présentation unilatérale de l'histoire, comparaisons avec Hitler, simplification extrême de contextes et de problèmes complexes, reportages tendancieux, partialité, parti pris, répétition constante de slogans et de phrases ainsi que de messages et d'images émotionnels et choquants, établissement de deux poids deux mesures, incitation à la peur, suggestion subliminale, obéissance à l'autorité, fausses attentes et promesses et illusion de la supériorité morale, politique, économique et militaire de son propre camp ou de sa propre position, trompés et détournés à leurs fins. Die Erdenmenschheit, die leider meistens aus denkunfähigen, denkfaulen, unkritischen, leichtgläubigen, unbelehrbaren, lernunwilligen, wahrheitsfremden, bewusstseinsmässig unselbständigen und unterentwickelten, wankelmütigen, innerlich gespaltenen, von Gotteswahnglauben befallenen sowie von einer äusserst materialistischen Mentalität geprägten und deswegen leicht beeinflussbaren Individuen besteht, wird wie immer in ihrer Geschichte von den Mächtigen durch Lügen, Propaganda, Meinungslenkung, Verzerrung anderer Meinungen, Zensur, Verbot fremder oder aus feindlichem Lager kommenden Nachrichten, Wort- und Gefühlsmanipulationen, Rhetorik, Verbreitung von Falschmeldungen, kollektive Gehirnwäsche, Erzeugung von Massenhysterie, paranoide Stimmungsmache, Gleichschaltung, Stigmatisierung, Diskreditierung und Diskriminierung Andersdenkender, Hexenjagd in Form von Fakenews-Kontrolle und Fact-Check, Förderung des Konformismus, Hetze, Polarisierung von Meinungen, Spaltung der Gesellschaft, Dämonisierung der Gegenseite, Sündenbocksuche, Hass- und Ärgerverbreitung, Faktenverdrehung, Informationsversäumnisse, künstliche Feindbildkonstruktionen, einseitige Geschichtsdarstellung, Hitlervergleiche, extreme Vereinfachung komplexer Zusammenhänge und Probleme, tendenziöse Berichterstattung, Parteilichkeit, Voreingenommenheit, ständige Wiederholung von Slogans und Phrasen sowie emotionale und schockierende Botschaften und Bilder, Statuierung von Doppelstandards, Angsteinflössung, unterschwellige Suggestion, Obrigkeitshörigkeit, falsche Erwartungen und Versprechen und die Illusion von moralischer, politischer, wirtschaftlicher und militärischer Überlegenheit der eigenen Lager oder Position, getäuscht und zu ihren Zwecken missbraucht.
Ce que le gouvernement de l'ombre américain et ses exécutants complaisants, c'est-à-dire les marionnettes du gouvernement officiel américain, cherchent à faire par tous les moyens insidieux, c'est de prolonger le plus possible la guerre en Ukraine et d'obtenir ainsi son escalade, c'est-à-dire son intensification et son extension, afin de faire apparaître et de justifier aux yeux de l'opinion publique occidentale l'implication directe prévue des États-Unis et de l'OTAN dans la guerre en Ukraine contre la Russie comme inévitable, inéluctable et absolument nécessaire. Et bien entendu, cela serait indispensable pour la sécurité, la liberté et la paix de l'Europe, comment pourrait-il en être autrement, car le récit hollywoodien des Etats-Unis en tant que sauveur en cas de détresse, sauveur ainsi que défenseur et missionnaire désintéressé de la liberté et de la démocratie, c'est-à-dire combattant implacable contre toutes les dictatures et tout le mal sur terre, est un evergreen, un leitmotiv classique de la propagande américaine. Was die US-Schattenregierung und deren willfährige Vollstrecker, d.h. die Marionetten der offiziellen US-Regierung, mit jedem heimtückischen Mittel anstreben, ist, den Ukraine-Krieg so weit wie möglich in die Länge zu ziehen und dadurch dessen Eskalation, d.h. seine Intensivierung und Ausdehnung zu erzielen, um den geplanten direkten US- und NATO-Einzug in den Ukraine-Krieg gegen Russland vor der westlichen Öffentlichkeit als unumgänglich, unaufschiebbar und absolut notwendig erscheinen zu lassen und zu rechtfertigen. Und selbstverständlich sei das für die Sicherheit, die Freiheit und den Frieden Europas unabdingbar, wie könnte es auch anders sein, denn das Hollywood-Narrativ der USA als Retter in der Not, Heilsbringer sowie selbstlose Verteidiger und Missionare der Freiheit und Demokratie, d.h. unerbittliche Kämpfer gegen alle Diktaturen und alles Böse auf Erden ist ein Evergreen, ein klassisches Leitmotiv der US-Propaganda.
Toutes les tactiques, provocations, astuces et manœuvres possibles et imaginables sont donc utilisées dans le cadre de cette guerre des nerfs et de l'information subtile et de grande envergure, où l'on répète et martèle aux gens que les dirigeants russes sont prêts à utiliser des armes nucléaires ou chimiques dans le théâtre de la guerre. Il ne serait donc pas du tout étonnant que de telles armes non conventionnelles soient utilisées à un moment ou à un autre dans la guerre ukrainienne, afin d'en rejeter la responsabilité sur la partie russe, comme cela a déjà été le cas à plusieurs reprises au cours des mois précédents lors de massacres de civils et de tirs sur des installations civiles, qui sont généralement exploités par la propagande afin de promouvoir davantage d'armes et des sanctions plus sévères contre l'ennemi. Alle zweckdienlichen und erdenklichen Taktiken, Provokationen, Tricks und Manöver werden also im Rahmen dieses grossangelegten und subtilen Nerven- und Informationskrieges angewendet, wobei immer wiederholt und den Menschen eingehämmert wird, die russische Staatsführung sei bereit, Atomwaffen oder chemische Waffen im Kriegstheater einzusetzen. Deshalb wäre es überhaupt nicht verwunderlich, wenn im ukrainischen Krieg irgendwann solche unkonventionellen Waffen benutzt würden, um dann der russischen Seite die Schuld dafür zuzuschieben, wie es in den vorigen Monaten bereits mehrmals bei Massakern von Zivilpersonen und Beschüssen von zivilen Einrichtungen der Fall war und ist, die in der Regel propagandistisch ausgeschlachtet werden, um mehr Waffen und härtere Sanktionen gegen den Feind zu fördern.
On peut s'étonner que la grande majorité de la population occidentale ne se rende pas compte que tout cela mène à l'éclatement de la troisième, en réalité de la quatrième guerre mondiale, et que celle-ci se rapproche de plus en plus jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de retour en arrière possible. À cet égard, il y a une phrase bien connue qui dit : "Le sommeil de la raison enfante des monstres".

Et ce qui semble incroyablement fou dans toutes ces machinations, c'est l'illusion paranoïaque de leurs auteurs au niveau officiel et secret, qui témoigne d'une perte totale de la réalité, de pouvoir ainsi mettre la Russie à genoux une fois pour toutes, de la vaincre définitivement et de s'emparer de ses vastes et précieuses réserves de matières premières. Mais un tel scénario ne deviendra jamais réalité, car il s'agit d'une dangereuse illusion qui n'existe que dans l'esprit totalement déconnecté de la réalité, confus, haineux et incapable de réfléchir des membres du gouvernement de l'ombre américain, du président américain sénile et de ses conseillers, imprégnés d'une mentalité agressive de guerrier du froid, ainsi que de certains chefs de gouvernement européens, notamment ceux de l'Angleterre, de la Pologne et des pays baltes, sans oublier la présidente de la Commission européenne et la ministre allemande des affaires étrangères. Pour se rendre compte des personnes dont s'est entouré le président américain en exercice, parmi lesquelles se trouvent les néocons (néoconservateurs), c'est-à-dire la fameuse organisation à l'origine de la désastreuse guerre justifiée par des mensonges et menée par G.W. Bush. Bush et qui promeut d'autres guerres américaines pour exporter la démocratie par un changement de régime, il est conseillé de regarder le documentaire de l'émission de télévision 'Monitor' intitulé 'Le retour des faucons américains : Le réseau de Joe Biden', diffusé immédiatement après son élection par la télévision publique allemande WDR/ARD le 12 novembre 2020. Le texte d'introduction du docu-fiction sur le site web de l'émission dit ceci :

Es ist verwunderlich wieso es der breiten Masse der westlichen Bevölkerung nicht einleuchtet, dass das Ganze auf den Ausbruch des Dritten, in Wahrheit Vierten Weltkrieges hinausläuft und dass dieser immer näher rückt, bis es keinen Weg zurück mehr geben wird. Diesbezüglich gibt es einen bekannten Satz, der besagt: «Der Schlaf der Vernunft gebiert Ungeheuer.» Und was bei diesen ganzen Machenschaften unfassbar wahnsinnig erscheint, ist die paranoide, von einem totalen Realitätsverlust zeugende Illusion deren Urheber auf offizieller und geheimer Ebene, Russland dadurch ein für alle Mal in die Knie zwingen, endgültig besiegen und seiner grossen und wertvollen Rohstoffreserven habhaft werden zu können. Doch ein solches Szenario wird niemals Wirklichkeit werden, da es eine gefährliche Wahnvorstellung ist, die nur in den total wirklichkeitsfernen, verwirrten, hasserfüllten und denkunfähigen Köpfen der US-Schattenregierungsmitglieder, des senilen, von einer aggressiven Mentalität des kalten Kriegers geprägten US-Präsidenten und seiner Berater sowie einiger europäischer Regierungschefs insbesondere jener Englands, Polens, der baltischen Staaten und nicht zuletzt der EU-Kommissionschefin und der deutschen Aussenministerin vorkommt und herumspukt. Um sich zu vergegenwärtigen, mit welchen Leuten sich der amtierende US-Präsident umgeben hat, unter denen sich auch die sogenannten Neocons (Neokonservativen) befinden, d.h. die berüchtigte, hinter dem durch Lügen gerechtfertigten, desaströsen, von G.W. Bush angezettelten Irakkrieg stehende und andere US-Kriege zum angeblichen Demokratieexport per Regimewechsel fördernde Intellektuellenclique, die keine geringe Rolle spielt, ist es ratsam, sich den Dokumentarfilm aus der Fernsehsendung ‹Monitor› mit dem Titel ‹Rückkehr der US-Falken: Das Netzwerk von Joe Biden› anzuschauen, der unmittelbar nach seiner Wahl vom deutschen Staatsfernsehen WDR/ARD am 12.11.2020 ausgestrahlt wurde. Der Einleitungstext zum Doku-Film auf der Sendungs-Webseite besagt folgendes:
Le nouveau président américain élu Joe Biden parle de réconciliation, de points communs, de multilatéralisme. Il avait pourtant tenu un tout autre discours lorsqu'il était sénateur américain : il était un fervent défenseur des interventions militaires américaines dans les Balkans, en Afghanistan et en Irak, et partisan de la guerre des drones sous Obama. Et aujourd'hui ? Si l'on considère le réseau de conseillers en politique étrangère de Biden, il est probable que certains partisans de la ligne dure seront bientôt à nouveau aux commandes. Des conseillers qui ont les meilleurs liens avec l'industrie de l'armement américaine. Der gewählte neue US-Präsident Joe Biden spricht von Versöhnung, Gemeinsamkeiten, Multilateralismus. Dabei hatte er als US-Senator ganz andere Töne angeschlagen: Er war starker Verfechter der US-Militärinterventionen auf dem Balkan, in Afghanistan und im Irak und Befürworter des Drohnenkriegs unter Obama. Und heute? Betrachtet man Bidens aussenpolitisches Beraternetzwerk dürften bald wieder einige Hardliner das Sagen haben. Berater, mit besten Verbindungen zur US-Rüstungsindustrie.
Et au début du film, les mots suivants sont prononcés : Und am Anfang des Filmes werden folgende Worte gesprochen:
Joe Biden est un homme de confiance. Il veut être le visage amical des Etats-Unis. La réconciliation et la coopération, plutôt que la division et le cavalier seul.Mais que signifie un président Biden pour un monde en proie à de nombreux conflits, en Ukraine, en Irak, en Syrie, en Libye, en Afghanistan et dans de nombreux autres foyers de conflit ? Qu'attend le monde d'un président Joe Biden ? Pour le comprendre, il faut se tourner vers le passé. Joe Biden a contribué de manière décisive à la politique étrangère des Etats-Unis pendant des décennies. D'abord pendant 12 ans en tant que sénateur au sein de la commission de politique étrangère, puis pendant 8 ans en tant que vice-président sous Barack Obama. Durant toute cette période, Biden a soutenu de nombreuses interventions militaires. Edward Knudsen, politologue et activiste : "Joe Biden croit certainement à ce qu'il appelle le leadership de l'Amérique. Cela signifie la suprématie des Etats-Unis et l'intervention militaire. Il pense que l'Amérique a le droit d'intervenir partout et à tout moment. Joe Biden. Er will das freundliche Gesicht der USA sein. Versöhnung und Zusammenarbeit, statt Spaltung und Alleingänge. Aber was bedeutet ein Präsident Biden für eine Welt voller Konflikte, in der Ukraine, im Irak, in Syrien, Libyen, Afghanistan und in vielen anderen Konfliktherden? Was erwartet die Welt mit einem Präsidenten Joe Biden? Um das zu verstehen, muss man in die Vergangenheit blicken. Joe Biden hatte die Aussenpolitik der USA über Jahrzehnte entscheidend mitgeprägt. Zunächst 12 Jahre als Senator im Ausschuss für Aussenpolitik, später 8 Jahre als Vizepräsident unter Barack Obama. In dieser ganzen Zeit hat Biden viele militärische Einsätze befürwortet. Edward Knudsen, Politikwissenschaftler und Aktivist: Joe Biden glaubt ganz gewiss an das, was er Amerikas Führungsrolle nennt. Das bedeutet Vorherrschaft der USA und militärische Intervention. Er glaubt, Amerika habe das Recht, überall und jederzeit zu intervenieren.
D'ailleurs, le président américain, qui se présente volontiers comme un pieux catholique, a qualifié le 17.3. 2021, lors d'une interview télévisée, a littéralement traité le chef de l'État russe de tueur et a menacé de manière vindicative de payer le prix fort pour les interférences lors des élections présidentielles américaines de 2016, qui auraient aidé Trump à remporter les élections, Ce qui agit comme une guerre psychologique et une préparation sombre et insidieuse à la guerre froide puis chaude à venir avec la Russie, qui se fera à force d'obstination, et qui montre clairement ce que ses conseillers et ses sombres manipulateurs ont en réserve en ce qui concerne la Russie et de qui ils sont les enfants de l'esprit. Car lorsqu'un chef d'Etat utilise, sans raison et sans aucune preuve, un langage aussi trivial, brutal et agressif à l'égard d'un autre chef d'Etat et l'attaque verbalement à l'improviste, cela ressemble à une déclaration de guerre planifiée et à une sorte de déclaration de guerre. Il convient de rappeler qu'en dépit d'une longue et intense enquête menée par les services de renseignement, le FBI et d'autres autorités américaines, aucun indice n'a pu être trouvé selon lequel Poutine et/ou des fonctionnaires russes auraient joué un rôle dans la victoire de Trump et auraient influencé le résultat des élections. Au contraire, il s'est avéré que des intrigues et des manœuvres avaient été menées en faveur d'Hillary Clinton lors des primaires du parti démocrate afin d'empêcher la victoire probable de son rival populaire Bernie Sanders, qui défendait une perspective totalement différente en matière de politique intérieure et extérieure. Après la publication d'environ 20 000 e-mails piratés par Wikileaks, l'organisation et la plateforme de divulgation fondée par Julian Assange, les intrigues au détriment du rival Sanders ainsi que ses moqueries par des fonctionnaires du DNC (Comité national du parti démocrate) ont éclaté et la candidate démocrate aux élections présidentielles a perdu les élections et n'est donc pas devenue présidente des États-Unis, contrairement aux souhaits du gouvernement de l'ombre, sachant que son éventuelle victoire électorale aurait certainement conduit à la guerre avec la Russie, c'est-à-dire à la troisième/quatrième guerre mondiale, selon les données Plejaren. C'est alors qu'a été inventée l'histoire - connue sous le nom de Russia Gate - selon laquelle le piratage des e-mails de Clinton sur son téléphone portable et son ordinateur personnels lorsqu'elle était secrétaire d'État, ainsi que les documents Wikileaks et, plus tard, l'élection de Trump à la présidence des États-Unis, seraient dus à des machinations du Kremlin, pour étouffer et faire oublier le véritable scandale du sabotage de la victoire probable de Sanders aux primaires démocrates et donc du boycott de sa candidature à la présidence, en mettant sur le compte de Poutine la défaite électorale d'Hilary Clinton, imprévue et non assumée par l'establishment politique américain et le gouvernement fantôme. Übrigens bezeichnete der sich gerne als frommer Katholik selbstdarstellende US-Präsident am 17.3.2021 bei einem Fernsehinterview das russische Staatsoberhaupt wortwörtlich als Killer und drohte rachsüchtig, er werde einen hohen Preis bezahlen für die Einmischungen bei der US-Präsidentschaftswahl von 2016, die Trump zum Wahlsieg verholfen haben sollen, was als psychologischer Krieg sowie eine finstere und heimtückische Einstimmung auf den kommenden, durch Hartnäckigkeit herbeizuführenden zuerst kalten, dann aber heissen Krieg mit Russland wirkt und eindeutig zeigt, was seine Berater und seine dunklen Drahtzieher in Hinblick auf Russland auf Lager haben und wessen Geistes Kind sie sind. Denn wenn ein Staatsoberhaupt ohne Grund und ohne jegliche Beweisführung eine dermassen triviale, brutale und aggressive Sprache gegenüber einem anderen Staatsmächtigen benutzt und ihn aus heiterem Himmel verbal attackiert, dann gleicht das einer geplanten Kampfansage und einer Art Kriegserklärung. Es sei daran erinnert, dass trotz intensiver und langer Ermittlungen durch Geheimdienste, FBI und andere US-Behörden überhaupt kein Hinweis gefunden werden konnte in Bezug darauf, dass Putin und/oder russische Regierungsbeamte beim Trump-Wahlsieg die Finger im Spiel hatten und das Wahlergebnis beeinflusst hätten. Im Gegenteil stellte sich heraus, dass bei den Vorwahlen der demokratischen Partei Intrigen und Machenschaften zugunsten von Hillary Clinton durchgeführt worden waren, um den wahrscheinlichen Wahlsieg ihres populären Rivalen Bernie Sanders zu verhindern, der eine völlig verschiedene innen- und aussenpolitische Perspektive vertrat. Nachdem infolge der Veröffentlichung von ungefähr 20’000 gehackter E-Mails durch die von Julian Assange gegründete Organisation und Enthüllungsplattform Wikileaks, die Intrigen zu Schaden des Rivalen Sanders sowie dessen Verspottung durch Funktionäre der DNC (Nationalkomitee der demokratischen Partei) offenbar wurden, kam es zum Eklat und später verlor die demokratische Präsidentschaftskandidatin die Wahl und wurde somit entgegen den Wünschen der Schattenregierung nicht US-Präsidentin, wobei ihr eventueller Wahlsieg nach plejarischen Angaben sicherlich zum Krieg mit Russland, d.h. zum Dritten/Vierten Weltkrieg geführt hätte. Daraufhin wurde die als Täuschungsmanöver und sozusagen Massenablenkungswaffe erdachte Geschichte erfunden – die als Russia Gate bekannt ist – wonach das Hacking von Clintons E-Mails auf ihrem privaten Handy und PC als sie Aussenministerin war, sowie die Wikileaks-Dokumente und später auch noch die Trump-Wahl zum US-Präsidenten auf Machenschaften des Kremls zurückzuführen sein sollen, um den eigentlichen Skandal bezüglich der Sabotage des voraussichtlichen Wahlsieges von Sanders bei den demokratischen Vorwahlen und somit den Boykott seiner Präsidentschaftswahlkandidatur zu vertuschen und in Vergessenheit geraten zu lassen, indem die vom politischen US-Establishment und von der Schattenregierung unvorhergesehene und nicht verkraftete Wahlniederlage Hilary Clintons in die Schuhe Putins geschoben wurde.
L'implication de Victoria Nuland et du fils de l'actuel président américain dans les affaires ukrainiennes et l'histoire des laboratoires biologiques en Ukraine. Die Verwicklungen von Victoria Nuland und dem Sohn des aktuellen US-Präsidenten in die ukrainischen Angelegenheiten und die Geschichte der Biolabore in der Ukraine
Si l'on considère les événements historiques avec honnêteté et objectivité, on ne peut que constater que la guerre, ou plutôt la guerre civile, a éclaté en Ukraine en 2014 et qu'elle a fait environ 16'000 morts en l'espace de 8 ans, suite au changement de régime soutenu par les Etats-Unis, ce qui équivaut en effet à un coup d'Etat. La vice-secrétaire d'État au département d'État américain de l'époque, Victoria J. Nuland, a joué un rôle non négligeable dans ce processus de changement de pouvoir. Elle a fait carrière sous l'administration américaine de G.H. Bush, qui l'a élevée au rang de conseillère du vice-président de l'époque, Dick Cheney, puis d'ambassadrice auprès de l'OTAN. Puis, sous la présidence Obama, elle a été nommée chargée de mission auprès du sous-secrétaire d'État américain (c'est-à-dire le secrétaire d'État) pour les affaires européennes et eurasiatiques. Elle est l'épouse de l'influent politologue et historien néoconservateur Robert Kagan, cofondateur du groupe de réflexion 'Project for a new american century' (Projet pour un nouveau siècle américain), qui défend la théorie de ce que l'on appelle 'l'interventionnisme libéral' et, en conséquence, elle a soutenu les guerres et les interventions militaires américaines en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie. En décembre 2013, lors d'un entretien avec le président ukrainien Ianoukovytch à Kiev, Nuland a tenté de le pousser à signer l'accord économique controversé avec l'UE. Mais le président a refusé, ne voulant pas mettre en péril ses relations avec Moscou. Depuis lors, son destin politique était en quelque sorte scellé et il devait, aux yeux de Nuland et de l'establishment américain, être écarté du pouvoir parce qu'il faisait apparemment obstacle au projet américain de rattachement de l'Ukraine à l'UE et éventuellement à l'OTAN. Peu avant l'entretien susmentionné, le 24 novembre 2013, des manifestations populaires, d'abord pacifiques, avaient débuté sur la place Maïdan de Kiev contre le gouvernement par ceux qui étaient favorables à l'accord économique avec l'UE. Mais rapidement, les ailes radicales, nationalistes et violentes du mouvement de protestation ont pris le dessus. Les tensions entre les manifestants et la police se sont exacerbées et des violences ont éclaté. Le 13 et le 20 février, 80 personnes, dont des activistes et des policiers, ont été abattues sur la place Maidan. Les Berkut, les hommes des forces de sécurité spéciales, loyaux au président Ianoukovitch, ont été tenus pour responsables du massacre, ce qui a ensuite entraîné la fuite du chef d'État en exercice hors du pays. L'accusation portée par l'opposition contre le gouvernement était que le massacre avait été commis intentionnellement pour faire taire le mouvement de protestation par un bain de sang. Mais le reportage d'un célèbre journaliste et correspondant de guerre italien, Gian Micalessin, diffusé en 2017 sur une chaîne populaire de la télévision privée italienne (Canale 5) et repris par plusieurs sources d'information sur Internet dans toute l'Europe, a apporté un nouvel éclairage sur les événements de Maïdan. Dans ce reportage télévisé, certains tireurs d'élite géorgiens ont été interviewés pour la première fois et ont donné leur version des événements dans lesquels ils étaient directement impliqués. Wer die Geschichtsgeschehnisse mit Ehrlichkeit und Objektivität betrachtet, kommt nicht umhin, festzustellen, dass der Krieg bzw. der Bürgerkrieg in der Ukraine 2014 ausgebrochen ist und im Lauf von 8 Jahren ungefähr 16’000 Tote verursacht hat und zwar infolge des von den USA unterstützen Regimewechsels, was in der Tat einem Staatsstreich gleichkommt. An diesem Machtwechselprozess hatte die damalige Vize-Staatsekretärin beim US-Aussenministerium Victoria J. Nuland einen nicht geringen Anteil. Sie machte unter der US-Administration von G.H. Bush Karriere, der sie zur Beraterin des damaligen VizePräsidenten Dick Cheney und dann zur Botschafterin bei der NATO erhob. Dann unter der Obama-Präsidentschaft wurde sie zur Beauftragten des US-Staatssekretärs (d.h. des Aussenministers) für die europäischen und euroasiatischen Angelegenheiten ernannt. Sie ist die Ehefrau des einflussreichen neokonservativen Politologen und Historikers Robert Kagan, der Mitbegründer der Denkfabrik ‹Project for a new american century› (Projekt für ein neues amerikanisches Jahrhundert) ist und die Theorie des sogenannten ‹liberalen Interventionismus› vertritt, und dementsprechend hat sie die US-Kriege und militärische Interventionen in Afghanistan, Irak, Libyen und Syrien befürwortet. Im Dezember 2013 während eines Gespräches mit dem Präsidenten der Ukraine, Janukowitsch, in Kiew versuchte Nuland, ihn dazu zu drängen, das umstrittene Wirtschaftsabkommen mit der EU zu unterzeichnen. Doch der Präsident weigerte sich, da er seine Beziehungen zu Moskau nicht aufs Spiel setzen, wollte. Seitdem war sein politisches Schicksal irgendwie besiegelt und er sollte in den Augen Nulands und des US-Establishments der Macht enthoben werden, weil er offenbar dem US-Projekt zur Angliederung der Ukraine an die EU und womöglich an die NATO im Weg stand. Kurz vor dem oben genannten Gespräch, am 24 November 2013, hatten auf dem Kiewer Maidan-Platz die zuerst friedlichen Volksproteste gegen die Regierung durch diejenigen, welche das ökonomische Abkommen mit der EU befürworteten, begonnen. Aber bald gewannen die radikalen, nationalistischen und gewaltbereiten Flügel der Protestbewegung die Oberhand. Die Spannungen zwischen Demonstranten und Polizei spitzten sich zu und es kam zu Gewaltausschreitungen. Am 13. und am 20. Februar wurden auf dem Maidan-Platz 80 Menschen darunter Aktivisten und Polizisten erschossen. Die dem Präsidenten Janukowitsch loyalen Berkut, die Männer der speziellen Sicherheitskräfte, wurden für das Massaker verantwortlich gemacht, was dann die Flucht des amtierenden Staatsoberhauptes aus dem Land nach sich zog. Der Vorwurf, der von der Opposition an die Regierung gerichtet wurde war, dass das Massaker absichtlich begangen worden sei, um die Protestbewegung durch ein Blutbad zum Verstummen zu bringen. Doch die Reportage eines bekannten italienischen Journalisten und Kriegskorrespondenten, namens Gian Micalessin, die 2017 auf einem populären Kanal des italienischen Privatfernsehens (Canale 5) ausgestrahlt und von mehreren Nachrichten-Quellen im Internet europaweit aufgegriffen wurde, warf neues Licht auf die Maidan-Ereignisse. Bei der TV-Reportage wurden einige georgische Scharfschützen zum ersten Mal interviewt, und diese erzählten ihre Version des Geschehens, an dem sie direkt involviert waren.
Ce qui a été révélé dans ce reportage n'était toutefois pas tout à fait nouveau, puisque la version officielle concernant les événements de Maidan avait déjà été remise en question auparavant par l'ancien ministre estonien des Affaires étrangères Urmas Paet. Lorsqu'il est rentré dans son pays cinq jours après le massacre de Maidan après son voyage à Kiev, il a raconté à Catherine Ashton, alors représentante de l'UE pour les affaires étrangères, ce qui lui avait été révélé par un médecin ukrainien qui avait examiné les corps de nombreuses personnes abattues sur la place Maidan. La conversation téléphonique a été écoutée et son contenu a été diffusé par les médias russes. Paet a alors déclaré ceci : "La chose la plus inquiétante à ce sujet est que toutes les constatations ont prouvé que toutes les personnes tuées - aussi bien parmi les policiers que parmi les gens dans la rue - ont été abattues par les mêmes tireurs d'élite". Et il cite ensuite le témoignage du médecin selon lequel "des signes de blessures attribuables au même type de projectile ont été trouvés sur tous les corps". Et il fait remarquer qu'il est 'inquiétant que la nouvelle coalition au pouvoir refuse d'enquêter sur ce qui s'est réellement passé' et qu'il y a 'de fortes raisons de penser que derrière les tireurs d'élite, il n'y a pas Yanoukovitch, mais quelqu'un de la coalition'. Was in dieser Reportage ans Licht kam, war aber nicht ganz neu, denn die offizielle Version in Bezug auf die Maidan-Ereignisse wurde bereits zuvor vom ehemaligen estnischen Aussenminister Urmas Paet in Frage gestellt. Als er 5 Tage nach dem Maidan-Massaker von seiner Reise nach Kiew in sein Heimatland zurückkehrte, erzählte er der damaligen EU-Aussenbeauftragten Catherine Ashton, was ihm von einer ukrainischen Ärztin enthüllt worden war, die die Leichen vieler auf dem MaidanPlatz erschossener Personen untersucht hatte. Das Telefongespräch wurde abgehört und dessen Inhalt von den russischen Medien verbreitet. Da erklärte Paet folgendes: «Die beunruhigendste Sache dabei ist, dass alle Befunde bewiesen, dass alle getöteten Personen – sowohl unter den Polizisten, als auch unter den Leuten auf der Strasse – von denselben Scharfschützen erschossen wurden.» Und dann zitiert er das Zeugnis der Ärztin, wonach «bei allen Leichen Wundzeichen, die auf die gleiche Geschossart zurückzuführen sind, vorgefunden wurden». Und er bemerkt, es sei ‹beunruhigend, dass die neue Regierungskoalition sich weigere, über das, was wirklich geschehen ist, zu ermitteln› und ‹es gebe starke Hinweise darauf, dass hinter den Scharfschützen nicht Janukowitsch, sondern jemand von der Koalition steht›.
En effet, comme l'a révélé le reportage télévisé susmentionné, il s'agissait de tireurs d'élite géorgiens qui étaient non seulement liés à l'ancien président géorgien Saakachvili en tant que membres de ses propres services de sécurité et même de son parti (bien que leurs noms ne soient pas mentionnés ici, mais on peut les trouver en faisant une recherche sur Internet), mais qui ont également participé au massacre de la place Maidan le 20 février 2014. Saakachvili, qui avait fait ses études aux États-Unis et avait été soutenu par le gouvernement américain pendant son mandat, avait provoqué une guerre brève mais sanglante avec la Russie en août 2008. Deux des tireurs d'élite géorgiens susmentionnés (à savoir K.N. et K.Z.), ont décidé de tout déballer à Skopje, la capitale de la Macédoine, en 2017, car ils estimaient "qu'il était nécessaire de faire la lumière sur ces faits". Quelques mois plus tard, un troisième tireur d'élite, A.R., qui avait travaillé pour l'armée géorgienne, a fait de même. Tous trois ont raconté fin 2013 avoir été recrutés par un conseiller militaire, M.M., du président géorgien de l'époque. Ce dernier est parti dans le Donbass après les événements de Maiden pour diriger la soi-disant 'légion géorgienne' dans la guerre civile contre les séparatistes prorusses. K.Z. raconte que la première rencontre avec M.M. a eu lieu dans les bureaux du parti 'Mouvement national' et que, "la révolte en Ukraine devait avoir des similitudes avec la soi-disant 'révolution des roses' qui s'était produite quelques années auparavant en Géorgie". Les trois hommes ont ensuite obtenu de faux passeports dans l'avion qui les emmenait à Kiev, ainsi qu'une avance de 1000 dollars par personne, avec la promesse de recevoir chacun une somme bien plus importante par la suite. Une fois arrivés à Kiev, ils ont commencé à mieux comprendre ce pour quoi ils avaient été recrutés. A.R. explique que leur mission consistait à "organiser des provocations pour amener la police à avancer contre la foule des manifestants. Mais jusqu'à la mi-février, il n'y avait pas encore beaucoup d'armes en circulation. On utilisait tout au plus des boucliers, des matraques et des cocktails Molotov. Mais ensuite, les débordements autour de la place Maïdan sont devenus de plus en plus violents". A partir des 14 et 15 février, se souvient K.N., "la situation est devenue incontrôlable et les premiers coups de feu ont été entendus". Un jour, le 15 février, dit A.R., "M.M. a visité notre camp de tentes. Il était accompagné d'un type en uniforme qu'il nous a présenté. Il nous a dit qu'il était un instructeur militaire américain, nommé B.C.B., et qu'il avait été officier américain et tireur d'élite dans la 101e division aéroportée américaine". Après les événements de Maiden, il s'est également rendu dans le Donbass pour combattre dans la légion géorgienne. K.N. Tatsächlich, wie sich in der oben erwähnten TV-Reportage herausgestellt hat, waren es georgische Scharfschützen, die nicht nur mit dem ehemaligen Staatspräsidenten Georgiens Saakaschwili als Mitglieder der eigenen Sicherheitsdienste und sogar mit seiner Partei in Verbindung standen (wobei deren Namen hier nicht erwähnt werden sollen, die kann man aber durch eine Internet-Suche herausfinden), sondern auch am Massaker auf dem Maidan-Platz vom 20 Februar 2014 beteiligt waren. Saakaschwili, der in den USA studiert hatte und von der US-Regierung in seiner Amtszeit unterstützt wurde, hatte im August 2008 einen kurzen, aber blutigen Krieg mit Russland provoziert. Zwei der oben erwähnten georgischen Scharfschützen (nämlich K.N. und K.Z.), entschlossen sich 2017 in Skopje, der Hauptstadt Mazedoniens, auszupacken, denn sie waren der Meinung, «es sei notwendig, auf diese Fakten Licht zu bringen». Einige Monate später wurde das Gleiche von einem dritten Scharfschützen, A.R., der beim georgischen Heer gearbeitet hatte, getan. Alle drei erzählten Ende 2013, von einem Militärberater, M.M., des damaligen georgischen Präsidenten rekrutiert worden zu sein. Letzterer ging nach den Maiden-Ereignissen in den Donbass, um die sogenannte ‹Georgische Legion› im Bürgerkrieg gegen die prorussischen Separatisten zu leiten. K.Z. erzählt, dass das erste Treffen mit M.M. im Büro der Partei ‹Nationale Bewegung› stattfand und dass, «die Revolte in der Ukraine Ähnlichkeiten mit der sogenannten ‹Rosenrevolution› haben sollte, die sich einige Jahre zuvor in Georgien zugetragen hatte». Die drei Männer kriegten dann im Flugzeug nach Kiew falsche Pässe und eine Vorauszahlung von 1000 Dollar pro Person, mit dem Versprechen, später jeweils eine viel grössere Summe zu bekommen. Einmal in Kiew angekommen, begannen sie, besser zu verstehen, wozu sie rekrutiert worden waren. A.R. sagt, dass ihre Aufgabe darin lag, «Provokationen zu veranstalten, um die Polizei dazu zu bringen, gegen die Demonstrantenmenge vorzurücken. Aber bis Mitte Februar waren noch nicht viele Waffen in Umlauf. Es wurden höchstens Schilde, Schlagstöcke und Molotov-Cocktail benutzt. Doch dann wurden die Ausschreitungen um den Maidan-Platz immer heftiger.» Ab dem 14./15. Februar, erinnerte sich K.N., «geriet die Situation ausser Kontrolle und es waren die ersten Schüsse zu hören». Eines Tages, am 15. Februar, sagte A.R., «besuchte M.M. unser Zeltlager. Er war von einem Typ in Uniform begleitet, den er uns vorgestellte. Er sagte uns, er sei ein amerikanischer Militärinstrukteur, namens B.C.B., und ein ehemaliger US-Offizier und Scharfschütze bei der 101. US-Luftland-Division gewesen.» Nach den Maiden-Ereignissen zog er auch in den Donbass, um bei der georgischen Legion zu kämpfen. K.N.
remembers that erinnert sich, dass
il était celui qui vous donnait les ordres. Je devais suivre toutes ses instructions. On nous a expliqué que nous devions tirer pour semer le chaos et la confusion, et ce [sans] interruption. Peu importe si nous tirions sur un arbre, sur une barricade ou sur ceux qui lançaient des cocktails Molotov. Le matin du 20 février 2014, les armes sont entrées en jeu. Ce devait être au lever du soleil quand j'ai entendu le bruit des tirs, c'était des tirs isolés, et cela venait de la chambre d'à côté. Au même moment, les Lituaniens ont ouvert la fenêtre, l'un d'eux a tiré un coup de feu et l'a refermée aussitôt. Puis tous ont commencé à tirer 2-3 coups de feu d'affilée en continu. Nous n'avions pas le choix, car on nous avait ordonné de tirer sur les Berkut (les policiers) et les manifestants. J'étais complètement terrifié. Nous étions dans le bâtiment du conservatoire. Cela a duré 15 à 20 minutes. J'étais hors de moi, agitée et stressée (…) er derjenige war, der Ihnen die Befehle erteilte. Ich musste all seinen Anweisungen folgen. Es wurde uns erklärt, dass wir schiessen mussten, um Chaos und Verwirrung zu stiften und zwar [un]unterbrochen. Egal ob wir auf einen Baum, auf eine Barrikade oder auf diejenige schiessen, die Molotov-Cocktails werfen. Am Morgen des 20. Februar 2014 kamen Waffen ins Spiel. Es muss bei Sonnenaufgang gewesen sein, als ich den Schiesslärm hörte, es waren einzelne Schüsse, und das kam vom Zimmer nebenan. Im gleichen Augenblick machten die Litauer das Fenster auf, einer von ihnen schoss einen Schuss und machte es gleich zu. Dann fingen alle an, 2–3 Schüsse hintereinander durchgehend abzufeuern. Wir hatten keine andere Wahl, denn es wurde uns befohlen, auf die Berkut (die Polizisten) und die Demonstranten zu schiessen. Ich war völlig erschrocken. Wir waren im Gebäude des Konservatoriums. Das hat 15–20 Minuten gedauert. Ich war ausser mir, unruhig und gestresst (…)
Peu après la diffusion du reportage télévisé italien, le journaliste macédonien Milenko Nedelkovski a publié une autre interview d'un tireur d'élite, également envoyé de Géorgie à Kiev en février 2014, qui a confirmé l'histoire racontée ci-dessus. Kurz nach der Ausstrahlung der italienischen Fernsehreportage veröffentlichte der mazedonische Journalist Milenko Nedelkovski ein weiteres Interview mit einem Scharfschützen, der ebenfalls im Februar 2014 aus Georgien nach Kiew gesandt wurde und der die oben erzählte Geschichte bestätigte.
La citation suivante est tirée d'un article publié sur le site Internet allemand Telepolis le 15 février 2018 sous le titre 'Des preuves de plus en plus accablantes sur l'intervention des snipers de Maidan en février 2014' : Folgendes Zitat stammt aus einem Artikel, der auf der deutschen Internetseite Telepolis am 15.2.2018 unter dem Titel ‹Immer erdrückendere Beweise zu Maidan-Scharfschützen-Einsatz im Februar 2014› veröffentlicht wurde:
L'arrestation et l'expulsion précipitées de l'ancien président géorgien Mikhaïl Saakachvili [de] Kiev vers Varsovie lundi avaient apparemment une deuxième raison. Le président ukrainien Petro Porochenko ne voulait pas seulement se débarrasser d'un adversaire. Mardi, l'ancien président géorgien devait témoigner devant un tribunal de Kiev au sujet des 100 morts sur le Maïdan en février 2014. Les organes de sécurité ukrainiens accusent l'unité spéciale de police Berkut d'être responsable de la mort de 53 personnes - 49 manifestants et quatre policiers - sur le seul Maidan le 20 février 2014. En convoquant Saakachvili au tribunal, les avocats des anciens policiers de Berkut ont tenté de disculper leurs clients (…) Die überstürzte Verhaftung und Abschiebung des ehemaligen georgischen Präsidenten Michail Saakaschwili [von] Kiew nach Warschau am Montag hatte offenbar noch einen zweiten Grund. Der ukrainische Präsident Petro Poroschenko wollte nicht nur einen Widersacher loswerden. Am Dienstag sollte der ehemalige georgische Präsident vor einem Kiewer Gericht als Zeuge zu den 100 Toten auf dem Maidan im Februar 2014 aussagen. Die ukrainischen Sicherheitsorgane beschuldigen für den Tod von 53 Menschen – 49 Demonstranten und vier Polizisten –, die allein am 20. Februar 2014 auf dem Maidan starben, die Polizei-Spezialeinheit Berkut. Mit der Vorladung von Saakaschwili vor Gericht versuchten die Anwälte der ehemaligen Berkut-Polizisten ihre Mandanten zu entlasten. (…)
Mercredi, les agences de presse russes Sputnik et Ria Novosti ont publié une documentation complète contenant soi-disant de nouveaux faits sur les tireurs d'élite géorgiens. Ceux-ci auraient été détachés de Géorgie à Kiev sur le Maïdan entre décembre 2013 et février 2014, où ils auraient d'abord été chargés de la sécurité générale avant d'être utilisés comme tireurs d'élite contre des manifestants et des policiers. Ce jeudi, l'agence de presse Sputnik a étayé ces accusations en publiant les témoignages écrits de plusieurs pages de deux tireurs d'élite géorgiens, enregistrés par des avocats, ainsi que les copies de deux billets d'avion Tbilissi-Kiev. Am Mittwoch veröffentlichten die russischen Nachrichtenagenturen Sputnik und Ria Novosti nun eine umfassende Dokumentation mit angeblich neuen Fakten zu den georgischen Scharfschützen. Diese seien in der Zeit zwischen Dezember 2013 und Februar 2014 aus Georgien nach Kiew auf den Maidan abkommandiert worden, wo sie zunächst für die allgemeine Sicherheit zuständig waren und dann als Scharfschützen gegen Demonstranten und Polizisten eingesetzt wurden. Belegt werden die Vorwürfe am heutigen Donnerstag von der Nachrichtenagentur Sputnik mit der Veröffentlichung mehrseitiger, schriftlicher und von Anwälten aufgenommenen Zeugenaussagen zweier georgischer Scharfschützen sowie den Kopien von zwei Flugtickets Tiflis-Kiew.
Une partie des tireurs d'élite envoyés à Kiev faisaient partie d'une "unité spéciale" chargée de tabasser des manifestants masqués en 2007, lors de manifestations massives en Géorgie contre le président de l'époque, Saakachvili. Chaque tireur d'élite envoyé à Kiev s'est vu promettre 50 000 dollars, raconte K. N., l'un des tireurs géorgiens. Ein Teil der nach Kiew gesandten Scharfschützen gehörte 2007, als es in Georgien Massendemonstrationen gegen den damaligen Präsidenten Saakaschwili gab, zu einer sogenannten ‹Sondereinheit›, welche die Aufgabe hatte, maskiert einzelne Demonstranten zusammenzuschlagen. Jedem nach Kiew gesandten Scharfschützen seien 50’000 Dollar versprochen worden, berichtet K. N., einer der georgischen Schützen.
Dans le documentaire de Sputnik, les tireurs d'élite géorgiens incriminent de nombreux hauts fonctionnaires et politiciens ukrainiens qui auraient participé à des briefings avec les tireurs d'élite géorgiens - comme A. P., aujourd'hui président du Parlement et S. P., aujourd'hui député du Front populaire - ou qui auraient tiré dans la foule à leurs côtés, comme W. P. - à l'époque commandant d'une centurie du Maïdan, aujourd'hui député de la Rada. En outre, les tireurs d'élite géorgiens affirment que des tireurs d'élite non seulement géorgiens, mais aussi polonais et des pays baltes étaient présents sur le Maidan. Et ce n'est pas tout. Un certain C. B., présenté aux Géorgiens comme un ancien soldat américain, aurait également participé aux réunions d'intervention avec les tireurs d'élite. In der Sputnik-Dokumentation belasten die georgischen Scharfschützen zahlreiche hohe ukrainische Beamte und Politiker, die mutmasslich an Einsatzbesprechungen mit den georgischen Scharfschützen beteiligt waren, – wie A. P., jetzt Parlamentssprecher und S. P., jetzt Abgeordneter der Volksfront –, oder neben ihnen in die Menge schossen, wie W. P. – damals Kommandeur einer Maidan-Hundertschaft, heute Rada-Abgeordneter. Ausserdem behaupten die georgischen Scharfschützen, dass auf dem Maidan nicht nur Scharfschützen aus Georgien, sondern auch aus Polen und den baltischen Staaten im Einsatz waren. Und das ist noch nicht alles. Bei den Einsatzbesprechungen mit den Scharfschützen sei auch ein gewisser C. B. beteiligt gewesen, der den Georgiern als ehemaliger US-Soldat vorgestellt wurde.
L'agence de presse russe Ria Novosti a publié mercredi une interview vidéo du général géorgien T. Z., un ancien commandant du bataillon de l'armée géorgienne 'Awasa' (Panter), qui a confirmé qu'en 2014, d'anciens subordonnés à lui avaient été convoqués à Kiev. "Les gens là-bas exécutaient les ordres de Saakachvili et d'A. P., le président du Parlement ukrainien, et de S. P.", explique le général. Die russische Nachrichtenagentur Ria Nowosti veröffentlichte am Mittwoch ein Video-Interview mit dem georgischen General T. Z., einem früheren Kommandeur des georgischen Armee-Bataillons ‹Awasa› (Panter), der bestätigte, dass 2014 frühere Untergebene von ihm nach Kiew beordert wurden. «Die Leute dort führten Befehle von Saakaschwili und A. P., dem Parlamentssprecher der Ukraine, und S. P. aus», erklärt der General.
Lors de son discours devant la US-Ukraine Foundation le 13 décembre 2013 à Washington, Nuland a évoqué sa visite à Kiev quelques jours auparavant et sa rencontre avec le président ukrainien. Elle a notamment déclaré que "le mouvement Euro-Maïdan incarne ces principes et valeurs qui sont les jalons de toutes les démocraties libres" et qu'"un éminent homme d'affaires ukrainien m'a dit : 'Le plus grand résultat du mouvement Maïdan est qu'il a prouvé que le peuple ukrainien ne soutiendra plus aucun président - celui-ci ou celui à venir - qui ne le mènera pas sur le chemin de l'Europe'". Elle a ajouté qu'au cours de sa troisième visite à Kiev, elle avait passé plus de deux heures avec le président Ianoukovitch, que 'la conversation avait été dure, mais aussi réaliste' et qu'elle lui avait 'fait comprendre de manière absolument claire, au nom des États-Unis, que ce qui s'était passé le 10 décembre, et plus généralement en matière de sécurité, était absolument inacceptable dans un État européen et démocratique'. Elle a souligné que la sortie de crise pour l'Ukraine consistait à ce que le président 'prenne des mesures immédiates pour une désescalade de la situation sécuritaire et des mesures politiques pour mettre fin à la crise' et 'ramène l'Ukraine à la table des discussions avec l'UE et le Fonds monétaire international'. Et elle a ajouté : "Comme l'a dit le vice-président Biden dans ses remarques hier soir, le président Ianoukovitch a le choix. Il peut choisir la voie qui mène à la division et à l'isolement ou il peut faire un bond en avant" en "s'ouvrant à un véritable dialogue avec l'opposition et en s'accordant avec une voie qui ramènera l'Ukraine à la santé économique et politique".

Le 28 janvier 2014, Nuland a déclaré lors d'une conversation téléphonique confidentielle avec l'ambassadeur américain à Kiev que les États-Unis avaient investi 5 milliards de dollars "pour assurer à l'Ukraine l'avenir qu'elle mérite". Cette conversation a eu lieu quelques semaines avant le départ du président pro-russe Viktor Ianoukovitch, provoqué par le massacre du Maïdan le 20 février. A cette occasion, elle a également parlé des politiciens de l'opposition qui, selon elle, devraient être associés au nouveau gouvernement ukrainien pro-occidental, comme si elle pouvait influencer de manière déterminante la formation du gouvernement. Mais la conversation a été interceptée et publiée par les services secrets ukrainiens, restés fidèles au président en place. De la conversation interceptée, il est ressorti que Nuland reprochait à l'UE d'adopter une attitude politique trop molle et hésitante vis-à-vis du régime de Kiev, alors que le gouvernement américain avait adopté une ligne plus dure en décidant de sanctions contre certains hommes politiques du gouvernement ukrainien prorusse. C'est alors qu'elle a laissé échapper le fameux juron : "Fuck the EU" ("Merde à l'UE"), qui a fait beaucoup de bruit en Europe à l'époque. La question qui se pose maintenant est la suivante : quel rôle a joué Nuland dans le soutien au mouvement de protestation du Maïdan et dans les violences sanglantes à Kiev (le 22 février 2014) contre Ianoukovitch, auxquelles ont également participé des milices d'extrême droite et à la suite desquelles le président en exercice a quitté le pays et s'est exilé ? Par ailleurs, l'intérêt de l'establishment américain pour l'Ukraine n'était pas nouveau, puisque la "révolution orange" a influencé l'ascension du candidat pro-occidental Iouchtchenko lors des élections présidentielles de 2004, dont l'épouse a grandi aux Etats-Unis et qui a travaillé comme haut fonctionnaire au ministère des Affaires étrangères, financé par les Etats-Unis. Bien que Iouchtchenko ait été battu par Ianoukovitch lors de l'élection, suite à des manifestations de masse contre la victoire du candidat prorusse, soupçonné de fraude électorale, la Cour suprême, mandatée par l'opposition, a déclaré 12 jours plus tard que le résultat du second tour était nul. Lors du nouveau second tour, le candidat pro-occidental a alors été élu président.

Bei ihrer Rede vor der US-Ukraine Foundation am 13. Dezember 2013 in Washington sprach Nuland von ihrem wenige Tage zuvor stattgefundenen Besuch in Kiew und ihrem Treffen mit dem ukrainischen Staatspräsidenten. Unter anderem sagte sie, «die Euro-Maidan-Bewegung verkörpert jene Prinzipien und Werte, die Meilensteine aller freien Demokratien sind» und «ein prominenter ukrainischer Geschäftsmann sagte mir: ‹Das grösste Ergebnis der Maidan-Bewegung ist, dass sie bewiesen hat, dass das ukrainische Volk keinen Präsidenten – diesen oder den kommenden – länger unterstützen wird, der es nicht auf den Weg nach Europa führt.›» Und weiter erzählte sie noch, sie habe im Lauf ihres dritten Besuchs in Kiew mehr als zwei Stunden mit dem Präsidenten Janukowitsch verbracht, ‹es sei ein hartes Gespräch, aber auch ein realistisches gewesen› und sie habe «ihm im Namen der Vereinigten Staaten absolut klar gemacht, dass das, was am 10. Dezember und im Allgemeineren bezüglich der Sicherheit geschehen ist, absolut unakzeptabel in einem europäischen und demokratischen Staat ist». Sie betonte, dass der Weg aus der Krise für die Ukraine, darin bestehe, dass der Präsident ‹unmittelbar Schritte zu einer Deeskalation der Sicherheitssituation und politische Schritte [machen soll], um die Krise zu beenden› und ‹die Ukraine zurück zum Gesprächstisch mit der EU und dem Internationalen Währungsfonds bringen soll›. Und sie fügte hinzu, «wie der Vize-Präsident Biden in seinen Bemerkungen gestern Nacht gesagt hat, hat Präsident Janukowitsch eine Wahl. Er kann den Weg wählen, der zur Spaltung und zur Isolation führt oder er kann einen Sprung machen», indem «er sich einem echten Dialog mit der Opposition öffnet und mit einem Weg überein[stimmt], der die Ukraine zur ökonomischen und politischen Gesundheit zurückführt». Am 28 Januar 2014 erklärte Nuland in einem vertraulichen Telefongespräch mit dem US-Botschafter in Kiew, die USA hätten 5 Milliarden Dollar investiert, «um der Ukraine die Zukunft zu sichern, die sie verdient». Das fand wenige Wochen vor der durch das Maidan-Massaker vom 20. Februar bedingten Amtsflucht des damaligen russlandfreundlichen Präsidenten Viktor Janukowitsch statt. Dabei sprach sie auch von denjenigen Oppositionspolitikern, die ihrer Meinung nach an der neuen prowestlichen ukrainischen Regierung beteiligt werden sollten, als ob sie die Regierungsbildung massgebend mitbestimmen könnte. Doch das Gespräch wurde vom ukrainischen Geheimdienst, der dem amtierenden Präsidenten treu geblieben war, abgehört und veröffentlicht. Vom abgehörten Gespräch kam heraus, dass Nuland der EU vorwarf, gegenüber dem KiewRegime eine zu weiche und zögerliche politische Haltung zu zeigen, während die US-Regierung einen härteren Kurs eingeschlagen hatte, indem sie Sanktionen gegen bestimmte Politiker der prorussischen ukrainischen Regierung beschloss. Da rutschte ihr der bekannte Fluch heraus: «Fuck the EU» (Scheiss auf die EU), der damals in Europa viel Aufsehen erregte. Nun entsteht folgende Frage: Welche Rolle spielte Nuland bei der Unterstützung der Maidan-Protestbewegung und den blutigen Gewaltausschreitungen in Kiew (am 22.2.2014) gegenüber Janukowitsch, an denen auch rechtsextreme Milizen beteiligt waren und in Folge derer der amtierende Staatspräsident das Land verliess und ins Exil ging? Im übrigen war das Interesse des US-Establishments an der Ukraine nicht neu, denn die sogenannte ‹Orangene Revolution›, beeinflusste bei der Präsidentschaftswahl 2004 den Aufstieg des prowestlichen Kandidaten Juschtschenko, dessen Ehefrau in den USA aufgewachsen ist und die im Aussenministerium als hohe Beamtin gearbeitet hat, was von den USA finanziert wurde. Obwohl Juschtschenko bei der Wahl von Janukowitsch geschlagen wurde, nachdem Massenproteste gegen den Wahlsieg des prorussischen Kandidaten unter dem Verdacht von Wahlfälschungen zustande gekommen sind, erklärte 12 Tage später der von der Opposition beauftragte oberste Gerichtshof das Stichwahlergebnis für ungültig. Bei der neuen Stichwahl wurde dann der prowestliche Kandidat zum Staatspräsidenten gewählt.
Comme le rapportait à l'époque la 'Neue Zürcher Zeitung', le gouvernement américain "avait, selon le département d'Etat américain, mis à disposition un total de 34,1 millions de dollars pour des soi-disant projets de démocratie en Ukraine au cours de l'année fiscale 2004, l'argent allant entre autres à des organisations non gouvernementales et à des médias indépendants". Et le journaliste Ian Traynor a écrit dans le quotidien britannique 'The Guardian' que la campagne électorale de Iouchtchenko était 'une machination américaine'. Il avait noté que des observateurs électoraux ukrainiens et des groupes de protestation avaient reçu de l'argent américain pour leur formation et que des estimations avaient été financées par les Etats-Unis pour prouver que Ianoukovytch était responsable de fraudes électorales. Il s'agissait des 5 milliards de dollars américains dont il était question auparavant, qui auraient été versés entre 1991, date à laquelle l'Ukraine est devenue indépendante après la dissolution de l'Union soviétique, et 2014, date à laquelle Yanoukovitch a quitté le pouvoir et le régime de Kiev a changé. La majeure partie de l'argent provenait du Département d'Etat américain et d'organisations gouvernementales ainsi que de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID). L'ancien analyste de la CIA Ray McGovern avait alors exprimé l'opinion, lors de quelques interviews, que le 'National Endowment for Democracy' (Fondation nationale pour la démocratie), créé en 1983 sous la présidence Reagan, qui a des liens avec la CIA et est considéré comme son organisation économique globale (également connue sous le nom de 'deuxième CIA'), aurait probablement joué un certain rôle dans le changement de régime à Kiev. En effet, cette organisation, qui agit comme une extension de la CIA et sert à couvrir des opérations secrètes visant à déstabiliser et à subvertir des gouvernements étrangers, et qui finance de nombreuses ONG (organisations non gouvernementales) ainsi que d'autres fondations et médias privés dans le monde entier, avait financé au total 65 projets en Ukraine. L'ambassadeur américain de l'époque à Kiev s'était également engagé à financer les médias ukrainiens qui soutenaient le mouvement de protestation de Maidan (comme Hromadske TV, dont le directeur avait travaillé pour la radio américaine Radio Free Europe, liée à la CIA, et avait auparavant fondé Channel 5, considérée comme la télévision de la révolution orange). Le financier et spéculateur mondialement connu George Soros avait également les mains dans le cambouis en Ukraine depuis un certain temps, comme il l'a lui-même reconnu. Dans une interview, le journaliste de CNN Fareed Zakaria lui a posé la question suivante le 25 mai 2014 : "L'une des choses que beaucoup leur attribuent est qu'en 1989, pendant les révolutions, ils ont financé un grand nombre d'activités dissidentes et d'associations citoyennes en Europe de l'Est, en Pologne et en République tchèque. Faites-vous la même chose en Ukraine ?" Ce à quoi Soros a répondu : "J'ai créé une fondation en Ukraine avant qu'elle ne devienne indépendante de la Russie. Et depuis, elle fonctionne et a joué un rôle important dans les événements qui se déroulent actuellement". Il fait ainsi allusion à la 'International Renaissance Foundation' (IRF) qu'il a créée en 1990, qui est l'une des plus grandes fondations ou organisations non gouvernementales opérant en Ukraine et qui fait partie de son réseau mondial de 'Open Society Foundations' (fondations pour la société ouverte). Selon ses propres termes, Soros a accepté en 2015 d'investir un milliard de dollars en Ukraine. Wie die ‹Neue Zürcher Zeitung› damals berichtete, hatte die amerikanische Regierung «nach Angaben des US-Aussenministeriums im Steuerjahr 2004 insgesamt 34,1 Millionen Dollar für sogenannte Demokratie-Projekte in der Ukraine zur Verfügung gestellt, wobei das Geld unter anderem an nichtstaatliche Organisationen und unabhängige Medien ging.» Und der Journalist Ian Traynor schrieb in der britischen Tageszeitung ‹The Guardian›, dass die Wahlkampagne von Juschtschenko ‹eine amerikanische Machenschaft› gewesen sei. Er hatte zur Kenntnis genommen, dass ukrainische Wahlbeobachter und Protestgruppen amerikanisches Geld zur Ausbildung bekommen hatten und Hochrechnungen von den USA finanziert wurden, die belegen sollten, dass Janukowitsch für Wahlfälschungen verantwortlich war. Es handelte sich um die 5 Milliarden Dollar aus den USA, von denen früher die Rede war, die im Zeitraum zwischen 1991, als die Ukraine nach der Auflösung der Sowjetunion unabhängig wurde, bis 2014, als es zur Amtsflucht von Janukowitsch und zum Regimewechsel in Kiew kam geflossen sein sollen. Der Grossteil des Geldes stammte vom amerikanischen Aussenministerium und von staatlichen Organisationen sowie von der ‹United States Agency for International Development› (USAID). Der ehemalige CIA-Analyst Ray McGovern hat damals bei einigen Interviews die Meinung geäussert, dass wahrscheinlich auch das 1983 unter der ReaganPräsidentschaft gegründete ‹National Endowment for Democracy› (Nationale Stiftung für Demokratie), die Verbindungen mit der CIA hat und als deren globale ökonomische Organisation gilt (auch als ‹zweite CIA› bekannt), beim Regimewechsel in Kiew eine gewisse Rolle gespielt haben soll. Denn diese als verlängerter Arm der CIA wirkende und zur Deckung von Geheimoperationen, die auf Destabilisierung und Subversion fremder Regierungen abzielende, dienende Organisation, die weltweit zahlreiche NGOs (Nichtregierungsorganisationen) sowie sonstige private Stiftungen und Medien finanziert, hatte insgesamt 65 Projekte in der Ukraine finanziert. Auch der damalige US-Botschafter in Kiew hatte sich für die Finanzierung ukrainischer Medien eingesetzt, die die Maidan-Protestbewegung unterstützten (wie etwa Hromadske TV, dessen Direktor für die amerikanische, mit der CIA in Verbindung stehende Radioanstalt Radio Free Europe gearbeitet und früher Channel 5 gegründet hatte, das als das Fernsehen der orangenen Revolution galt). Auch der weltbekannte Financier und Spekulant George Soros hatte seit geraumer Zeit in der Ukraine die Hände im Spiel, wie er selber zugegeben hat. In einem Interview stellte ihm der CNN-Journalisten Fareed Zakaria am 25. Mai 2014 folgende Frage: «Eines der Dinge, die ihnen viele zusprechen, ist, dass sie 1989 während der Revolutionen eine grosse Menge von Dissidenten-Tätigkeiten und Bürgervereinen in Osteuropa, in Polen und Tschechien finanzierten. Machen Sie ähnliches auch in der Ukraine?» Darauf antwortete Soros: «Ich habe in der Ukraine, bevor sie von Russland unabhängig wurde, eine Stiftung gegründet. Und seitdem funktioniert sie und hat eine wichtige Rolle bei den jetzt stattfindenden Ereignissen gespielt.» Damit spielt er auf die 1990 von ihm gegründete ‹International Renaissance Foundation› (IRF) an, die eine der grössten in der Ukraine operierenden Stiftungen bzw. Nichtregierungsorganisationen und Teil seines globalen Netzwerks der ‹Open Society Foundations› (Stiftungen für die offene Gesellschaft) ist. Nach seinen eigenen Worten erklärte sich Soros 2015 bereit, eine Milliarde Dollar in die Ukraine zu investieren.
Pour en revenir à la conversation interceptée avec l'ambassadeur américain Pyatt à Kiev, qui a eu lieu alors que le président Ianoukovitch était encore au pouvoir, Victoria Nuland a également évoqué le fait qu'elle penchait pour Arseniy Yatseniouk, qu'elle appelle 'Yats', pour le poste de futur Premier ministre ad interim (citation originale : "We want Yats in there"). Il s'agit d'un technocrate et d'un juriste issu du monde bancaire. En effet, après les événements de Maidan, cet homme est devenu chef de gouvernement temporaire et lors de la formation du cabinet, le parti de droite Svoboda s'est vu attribuer quatre postes ministériels, y compris le ministère de la Défense. Deux ministres de ce parti de droite ont même été photographiés avec des symboles et des lettres (HH) qui rappellent le nazisme. Et dans toutes ces manœuvres et implications dans les affaires intérieures ukrainiennes, Nuland, qui avait auparavant également opéré en tant que chef de la station de la CIA à Moscou, a reçu le soutien politique du vice-président américain de l'époque, Joe Biden. En contrepartie, le fils de Joe Biden a obtenu un poste lucratif au sein du conseil d'administration du plus grand groupe privé d'extraction de gaz en Ukraine, qui appartenait auparavant à un ex-ministre du président déchu Ianoukovitch. A ses côtés, D. A., un ami proche du beau-fils de John Kerry, alors secrétaire d'État américain, a été nommé membre du conseil de surveillance du groupe susmentionné. Il devait soi-disant s'y occuper de l'approvisionnement énergétique de l'Ukraine (on se demande sur la base de quelles connaissances et compétences) et du développement éventuel de l'industrie de la fracturation, car le sous-sol ukrainien recèle d'énormes réserves de gaz de schiste. Um auf das abgehörte Gespräch mit dem US-Botschafter, Pyatt, in Kiew zurückzukehren, das zu der Zeit stattfand, als Präsident Janukowitsch noch an der Macht war, da sprach Victoria Nuland auch davon, dass sie für das Amt des zukünftigen Premierministers ad interim auf Arsenij Jazenjuk, den sie ‹Yats› nennt, tippte (Originalzitat: «We want Yats in there»). Er ist ein aus der Bankenwelt kommender Technokrat und Jurist. Tatsächlich wurde dieser Mann nach den Maidan-Ereignissen vorübergehender Regierungschef und bei der Kabinettsbildung wurden der rechten Freiheitspartei (Svoboda) 4 Ministerposten zugeteilt, inklusive das Verteidigungsministerium. Zwei Minister dieser Rechtspartei wurden sogar mit Symbolen und Buchstaben (HH) fotografiert, die an den Nationalsozialismus erinnern. Und bei diesen ganzen Machenschaften und Verwicklungen in den inneren ukrainischen Angelegenheiten bekam Nuland, die früher auch als Chefin bei der CIA-Station in Moskau operiert hatte, vom damaligen Vize-Präsidenten der USA, Joe Biden, politische Rückendeckung. Als Gegenleistung bekam der Sohn von Joe Biden einen lukrativen Posten im Direktorium des grössten privaten Gasförderkonzerns der Ukraine, der früher einem Ex-Minister des gestürzten Präsidenten Janukowitsch gehörte. Neben ihm wurde auch D. A., ein enger Freund des Stiefsohnes des damaligen US-Aussenministers John Kerry zum Aufsichtsratsmitglied beim oben erwähnten Konzern ernannt. Dort sollte er sich angeblich mit der Energieversorgung der Ukraine beschäftigen (man fragt sich aufgrund welcher Fachkenntnisse und Kompetenzen) und der eventuellen Entwicklung der Fracking-Industrie, da im ukrainischen Untergrund riesige Schiefergasreserven liegen.
As a video recording shows, in January 2018, the then US Vice-President had boasted during a public speech to the Council on Foreign Relations (CFR) that the Ukrainian Prosecutor General, considered corrupt, who had led investigations into the machinations of the stepson – at the time when he sat for some five years on the supervisory board of the largest Ukrainian gas company and was paid handsomely for it – had been dismissed at his behest. These were his words: "I said you won't get the billion dollars. I give you six hours and if the prosecutor is not fired, you won't get the money. And that son of a bitch was fired." Wie eine Videoaufnahme belegt, hatte sich der damalige US-Vize-Präsident im Januar 2018 bei einer öffentlichen Rede vor dem Council on Foreign Relations (CFR) damit gebrüstet, dass der als korrupt geltende ukrainische Generalstaatsanwalt, der bezüglich der Machenschaften des Stiefsohnes – zur Zeit, als dieser rund fünf Jahre lang im Aufsichtsrat der grössten ukrainischen Gasfirma sass und dafür fürstlich bezahlt wurde – Ermittlungen geleitet hatte, auf sein Geheiss entlassen worden war. Das waren seine Worte: «Ich sagte, ihr bekommt die Milliarde Dollar nicht. Ich gebe euch sechs Stunden und wenn der Staatsanwalt nicht gefeuert wird, werdet ihr das Geld nicht bekommen. Und dieser Hurensohn wurde gefeuert.»
Comme le montre un enregistrement vidéo, le vice-président américain de l'époque s'était vanté en janvier 2018, lors d'un discours public devant le Council on Foreign Relations (CFR), que le procureur général ukrainien, considéré comme corrompu, qui avait mené l'enquête sur les agissements du beau-fils - à l'époque où celui-ci siégeait pendant environ cinq ans au conseil d'administration de la plus grande entreprise gazière ukrainienne et était grassement payé pour cela - avait été licencié sur son ordre. Voici ce qu'il a dit : "J'ai dit que vous n'auriez pas le milliard de dollars. Je vous donne six heures et si le procureur n'est pas viré, vous n'aurez pas l'argent. Et ce fils de pute a été viré". L'affaire a été exploitée pendant la campagne électorale de 2020 par son adversaire, le président américain de l'époque, Trump. Durant la période où V. S. dirigeait le bureau du procureur général ukrainien, les enquêtes sur le groupe gazier B. et le fils du président n'ont pas été poursuivies, a expliqué le vice-procureur général V. K. à Bloomberg-TV. En général, V.S. n'a pas fait assez d'efforts pour lutter contre la corruption, ce qui a poussé V.K. à démissionner. Bloomberg-TV a également découvert que V. S. avait été chargé d'enquêter sur l'affaire du groupe gazier avant d'être nommé procureur général en février 2015. Il s'est toutefois montré réticent à poursuivre l'enquête sur l'entreprise gazière. D'ailleurs, avant même sa nomination au poste de procureur général, il aurait eu une mauvaise réputation au niveau international parce qu'il aurait abandonné certaines procédures judiciaires contre des personnes accusées d'avoir participé à la fusillade sur la place Maidan. Das Ganze wurde während des Wahlkampfes 2020 von seinem Gegner, dem damaligen US-Präsidenten Trump, ausgeschlachtet. Im Zeitraum als V. S. die ukrainische Generalstaatanwaltschaft leitete, wurden die Ermittlungen über den Gaskonzern B. und den Präsidentensohn nicht fortgeführt, erklärte der Vize-Generalstaatsanwalt V. K. Bloomberg-TV. Im allgemeinen habe sich V.S. zu wenig darum bemüht, die Korruption zu bekämpfen, was V.K. dazu veranlasste, zurückzutreten. Bloomberg-TV entdeckte auch, dass V. S. mit den Ermittlungen über die Gaskonzern-Affäre beauftragt worden war, bevor er im Februar 2015 zum Generalstaatsanwalt ernannt wurde. Er zeigte sich aber zögerlich in Bezug auf die Fortführung des Ermittlungsverfahrens über die Gas-Firma. Übrigens soll er schon vor seiner Ernennung zum Generalstaatsanwalt auf internationaler Ebene deshalb einen schlechten Ruf gehabt haben, weil er angeblich einige Gerichtsverfahren gegen Personen einstellte, die wegen ihrer Beteiligung an der Schiesserei auf dem Maidan-Platz angeklagt worden waren.
L'ambassade américaine aurait cherché, sur instruction du gouvernement américain, à démettre V.S. de ses fonctions, au motif qu'il n'aurait pas œuvré à la lutte contre la corruption comme l'exigeaient les autorités internationales. En mars 2016, le vice-président et représentant présidentiel pour les affaires internationales de l'époque aurait accordé au gouvernement ukrainien un bref délai pour renvoyer le procureur général V.S., sous la menace de bloquer un paquet d'aide d'un milliard de dollars pour l'Ukraine dans le cas contraire. Le gouvernement ukrainien, sous la présidence de Porochenko, a cédé. "Le président Porochenko m'a dit que Biden exigeait que je sois destitué. Je lui ai demandé sous quel prétexte je devais être destitué. J'écris une lettre de démission, pas de problème (car dès le début, j'étais prêt à le faire). Chez moi, il n'y a pas de corruption, rien. Comment peut-on expliquer que je sois révoqué ?" a demandé V. S. Die amerikanische Botschaft soll sich auf Anweisung der US-Regierung hin darum bemüht haben, V.S. seines Amtes zu entheben, mit der angeblichen Begründung, er habe sich für die Korruptionsbekämpfung nicht so eingesetzt, wie es von den internationalen Behörden gefordert wurde. Im März 2016 soll der damalige Vize-Präsident und Präsidenten-Beauftragte für internationale Angelegenheiten der ukrainischen Regierung eine kurze Frist eingeräumt haben, um den Generalstaatsanwalt V. S. zu feuern, unter der Drohung, andernfalls ein Hilfspaket von einer Milliarde Dollar für die Ukraine zu blockieren. Die ukrainische Regierung unter der Präsidentschaft von Poroschenko lenkte ein. «Präsident Poroschenko sagte mir, dass Biden verlange, dass ich abgesetzt werde. Ich fragte ihn, unter welchem Vorwand ich abgesetzt werden soll. Ich schreibe ein Rücktrittsgesuch, kein Problem (denn schon von Anfang an war ich bereit, das zu tun.) Bei mir gibt es keine Korruption, nichts. Wie kann man erklären, dass ich abgesetzt werde?» fragte V. S.
Cela a nourri le soupçon que le vice-président américain de l'époque avait demandé le renvoi du procureur général, d'autant plus qu'il se serait rendu personnellement à Kiev à cette fin, afin de protéger son propre fils des enquêtes sur son implication dans l'affaire du groupe gazier et d'éventuelles accusations pénales. A ce sujet, Biden a affirmé : "Je n'ai jamais parlé à mon fils de ses affaires à l'étranger" et a nié tout conflit d'intérêt ou mauvaise conduite de sa part. Das nährte den Verdacht, dass der damalige US-Vizepräsident die Entlassung des Generalstaatsanwalts verlangt hatte, zumal er zu diesem Zweck persönlich nach Kiew geflogen sein sollte, um den eigenen Sohn vor den Ermittlungen über seine Verwicklung in der Gaskonzern-Affäre und eventuellen strafrechtlichen Anklagen zu schützen. Diesbezüglich hat Biden behauptet: «Ich habe nie mit meinem Sohn über seine Geschäfte in Übersee gesprochen» und bestritt jegliche Interessenkonflikte oder Fehlverhalten von seiner Seite.
Dans son livre 'Illegale Kriege' paru en 2016, l'historien Daniele Ganser écrit dans un chapitre intitulé In seinem 2016 erschienenen Buch ‹Illegale Kriege› schrieb der Historiker Daniele Ganser in einem Kapitel unter dem Titel
'Fuck the EU : Der illegale Putsch der USA in Kiew' à propos du rôle des Etats-Unis dans le changement de régime à : "Alors que le président déchu Ianoukovytch a obtenu l'asile en Russie, le nouveau président Petro Porochenko, arrivé au pouvoir grâce au coup d'Etat, s'est rendu à Washington et a prononcé en septembre 2014 un discours enflammé devant le Congrès américain dans lequel il a déclaré : 'Je remercie les Etats-Unis pour leur solidarité'". ‹Fuck the EU: Der illegale Putsch der USA in Kiew› über die Rolle der USA beim Regimewechsel in folgendes: «Während der gestürzte Präsident Janukowytsch in Russland Asyl erhielt, reiste der durch den Putsch an die Macht gekommene neue Präsident Petro Poroschenko nach Washington und hielt im September 2014 vor dem US-Kongress eine flammende Rede, in der er erklärte: ‹Ich danke der USA für ihre Solidarität›.»
Entre-temps, sur la base des documents historiques disponibles, il faut partir du principe que les Etats-Unis ont soutenu le coup d'Etat en Ukraine en février 2014. "Il s'agissait d'un coup d'Etat parrainé par l'Occident, cela ne fait guère de doute", a déclaré l'ancien officier de la CIA Ray McGovern. Selon lui, les Etats-Unis ont renversé le gouvernement ukrainien et Victoria Nuland a tiré les ficelles au sein du département d'Etat américain, avec l'ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt. Une étude détaillée du coup d'État par le politologue Ivan Katchanovski de l'École d'études politiques de l'université d'Ottawa confirme également qu'un coup d'État s'est produit en Ukraine en février 2014. Les Berkout n'étaient que des boucs émissaires auxquels on a attribué le crime dans le cadre d'une opération sous faux drapeau visant à discréditer le président en place. "Le massacre de Maïdan du 20 février 2014 était une opération 'sous faux drapeau' réussie, menée par les leaders du mouvement de protestation de Maïdan et des tireurs d'élite infiltrés afin de prendre le pouvoir en Ukraine", explique le politologue Katchanovski. "Le nouveau gouvernement, qui est arrivé au pouvoir grâce au massacre, a faussé l'enquête". (…) Inzwischen muss auf der Basis der verfügbaren historischen Dokumente davon ausgegangen werden, dass die USA den Putsch in der Ukraine im Februar 2014 unterstützten. «Es war ein vom Westen gesponserter Putsch, es gibt kaum Zweifel daran», erklärte der frühere CIA-Offizier Ray McGovern. Die USA hätten die Regierung in der Ukraine gestürzt und Victoria Nuland habe im US-Aussenministerium die Fäden gezogen, zusammen mit dem US-Botschafter in der Ukraine Geoffrey Pyatt. Auch eine detaillierte Untersuchung des Putsches durch den Politologen Ivan Katchanovski von der School of Political Studies der Universität Ottawa bestätigt, dass sich in der Ukraine im Februar 2014 ein Putsch ereignete. Die Berkut waren nur die Sündenböcke, denen man das Verbrechen im Rahmen einer Operation unter falscher Flagge in die Schuhe schob, um den amtierenden Präsidenten zu diskreditieren. «Das Maidan-Massaker vom 20. Februar 2014 war eine erfolgreiche ‹False Flag›Operation, durchgeführt durch die Anführer der Maidan-Protestbewegung und verdeckte Scharfschützen, um in der Ukraine die Macht zu ergreifen», so der Politologe Katchanovski. «Die neue Regierung, welche durch das Massaker an die Macht kam, verfälschte die Untersuchung.» (…)
Paul Craig Roberts, qui avait servi comme secrétaire adjoint au Trésor dans l'administration Reagan, a confirmé exactement cela. "Les néoconservateurs pensent que l'histoire a choisi les Etats-Unis pour établir l'hégémonie sur le monde entier", a déclaré Roberts. "Obama a nommé la néoconservatrice Victoria Nuland au poste de secrétaire d'État adjointe. Le bureau de Nuland travaille avec la CIA ainsi qu'avec (les) organisations non gouvernementales financées par Washington et a a organisé le coup d'État américain en Ukraine". Paul Craig Roberts, der als stellvertretender Finanzminister in der Administration Reagan gedient hatte, bestätigte genau dies. «Die Neokonservativen glauben, dass die Geschichte die USA ausgewählt hat, Hegemonie über die ganze Welt herzustellen», so Roberts. «Obama ernannte die neokonservative Victoria Nuland zur stellvertretenden Staatssekretärin. Nulands Büro arbeitet mit der CIA zusammen sowie mit (den) von Washington finanzierten Nichtregierungsorganisationen und organisierte den US-Staatsstreich in der Ukraine.»
ictoria Nuland a organisé le coup d'État au sein du département d'État américain, a composé le nouveau gouvernement pour le Premier ministre Iatseniouk et a insulté les Européens en disant "Fuck the EU", comme l'indique une interception téléphonique. conversation téléphonique.(…) Victoria Nuland hat im amerikanischen Aussenministerium den Putsch organisiert, die neue Regierung für den Premierminister Jazenjuk zusammengestellt und die Europäer mit dem Zitat «Fuck the EU» beleidigt, wie aus einem abgehörten Telefongespräch hervorgeht. (…)
Après le coup d'Etat, Iatseniouk est devenu Premier ministre et Porochenko président, exactement comme le souhaitaient Nuland et son supérieur hiérarchique, le secrétaire d'Etat John Kerry. Vitali Klitschko, l'ancien champion du monde de boxe des poids lourds, a dû se contenter du poste de poste de maire de Kiev. Nach dem Putsch wurden Jazenjuk Premierminister und Poroschenko Präsident, genau wie Nuland und ihr Vorgesetzter Aussenminister John Kerry es wünschten. Vitali Klitschko, der frühere Boxweltmeister im Schwergewicht, musste sich mit dem Posten des Bürgermeisters von Kiew zufriedengeben.
Certains Ukrainiens savaient que les Américains voulaient renverser leur gouvernement. Au parlement ukrainien, le député Oleh Zarjow avait déjà révélé le 20 novembre 2013 les préparatifs du coup d'État américain dans un discours interrompu par de nombreuses interpellations. "Dans mon rôle de représentant du peuple ukrainien, j'ai reçu des preuves claires de la part des activistes de l'organisation Volya que sur notre territoire, avec le soutien et la participation directe de l'ambassade américaine à Kiev, un projet 'TechCamp' est en cours, dans le cadre duquel une guerre civile est préparée en Ukraine". Dans le cadre de ce projet, la révolution serait fomentée afin de renverser le gouvernement en place. "Le projet a été supervisé par l'ambassadeur américain en Ukraine, Geoffrey Pyatt, et se déroule sous sa responsabilité", a révélé le parlementaire Zaryov. "Des instructeurs américains ont expliqué comment utiliser Internet et les réseaux sociaux numériques pour manipuler l'opinion publique ... et provoquer des troubles violents". Ces techniques auraient déjà été utilisées avec succès en Libye, en Egypte et en Tunisie. Mais selon la charte de l'ONU, il est "inadmissible d'intervenir dans les affaires intérieures d'un Etat", a protesté à juste titre Zarjow. "Nous devons enquêter sur ce point !" Mais sa demande n'a pas trouvé de majorité. (…) Einige Ukrainer wussten, dass die Amerikaner ihre Regierung stürzen wollten. Im ukrainischen Parlament hatte der Abgeordnete Oleh Zarjow schon am 20. November 2013 die amerikanischen Putschvorbereitungen in einer Rede, die durch viele Zwischenrufe unterbrochen wurde, aufgedeckt. «In meiner Rolle als Vertreter des ukrainischen Volkes erhielt ich von Aktivisten der Organisation Volya klare Beweise, dass auf unserem Territorium, mit Unterstützung und direkter Beteiligung der amerikanischen Botschaft in Kiew, ein ‹TechCamp›-Projekt durchgeführt wird, in dessen Rahmen ein Bürgerkrieg in der Ukraine vorbereitet wird.» Im Rahmen des Projektes werde die Revolution geschürt, um die amtierende Regierung zu stürzen. «Das Projekt wurde durch den amerikanischen Botschafter in der Ukraine, Geoffrey Pyatt, überwacht und läuft unter seiner Verantwortung», enthüllte der Parlamentarier Zarjow. «Amerikanische Instruktoren haben erklärt, wie das Internet und die digitalen sozialen Netzwerke genutzt werden können, um die öffentliche Meinung zu manipulieren … und gewalttätige Unruhen zu provozieren.» Diese Techniken habe man schon erfolgreich in Libyen, Ägypten und Tunesien eingesetzt. Gemäss der UNO-Charta sei es aber «unzulässig, in die inneren Angelegenheiten eines Staates einzugreifen», protestierte Zarjow richtigerweise. «Das müssen wir untersuchen!» Doch seine Forderung fand keine Mehrheit. (…)
Il ressort clairement de ses prises de position publiques que Nuland s'occupait déjà depuis des mois du changement de régime en Ukraine. "Depuis l'indépendance en 1991, le peuple américain a soutenu la transition de l'Ukraine vers la démocratie et l'économie de marché à hauteur de cinq milliards de dollars, et au cours de l'année budgétaire 2013, notre aide a dépassé les 100 millions de dollars", a déclaré Nuland lors d'un discours prononcé le 14 novembre 2013 devant l'influent Atlantic Council à Washington. Dass sich Nuland schon seit Monaten mit dem Regime Change in der Ukraine befasst hatte, ist aus ihren öffentlichen Stellungnahmen klar zu entnehmen. «Seit der Unabhängigkeit 1991 hat das amerikanische Volk den Übergang der Ukraine zur Demokratie und Marktwirtschaft mit fünf Milliarden US-Dollar unterstützt, im Haushaltsjahr 2013 überstiegen unsere Hilfen 100 Millionen US-Dollar», so Nuland in einem Vortrag am 14. November 2013 vor dem einflussreichen Atlantic Council in Washington.
L'empire américain a cherché à étendre son influence sur l'Ukraine. Ils tentent de construire un espace économique "qui s'étend de Lisbonne à Donetsk et qui est stimulé par des réformes orientées vers le marché", s'enthousiasme Nuland. "C'est dans cette intention que l'UE et les États-Unis négocient l'accord de libre-échange transatlantique TTIP, qui promet de la croissance, des investissements et des emplois des deux côtés de l'Atlantique". Bien sûr, selon la charte de l'ONU, il est illégal et constitue une violation du droit international de renverser un gouvernement dans un pays étranger. Les Américains le savent aussi. "Nous avons écouté tous les enregistrements des employés du département d'État conspirant avec l'ambassadeur américain en Ukraine pour renverser le gouvernement", a critiqué l'ancien membre du Congrès américain Ron Paul. "Nous avons entendu la secrétaire d'État adjointe Victoria Nuland se vanter du fait que les États-Unis Das US-Imperium trachtete danach, seinen Einfluss auf die Ukraine auszuweiten. Man versuchte einen Wirtschaftsraum aufzubauen, «der von Lissabon bis Donezk reicht und der angeregt wird durch marktorientierte Reformen», schwärmte Nuland. «In dieser Absicht verhandeln die EU und die Vereinigten Staaten die Transatlantische Freihandelszone TTIP, die Wachstum, Investitionen und Arbeitsplätze auf beiden Seiten des Atlantiks verspricht.» Natürlich ist es gemäss der UNO-Charta illegal und ein Bruch des Völkerrechts, eine Regierung in einem fremden Land zu stürzen. Das wissen auch die Amerikaner. «Wir haben alle Aufnahmen von Mitarbeitern des Aussenministeriums abgehört, wie sie sich zusammen mit dem US-Botschafter in der Ukraine zum Sturz der Regierung verschworen haben», kritisierte der ehemalige amerikanische Kongressabgeordnete Ron Paul. «Wir haben gehört, wie die stellvertretende US-Aussenministerin Victoria Nuland damit geprahlt hat, dass die USA
ont dépensé 5 milliards de dollars pour le changement de régime en Ukraine. Pourquoi est-ce que c'est ok" ? 5 Milliarden Dollar für den Regimewechsel in der Ukraine ausgegeben haben. Warum ist das o.k.?»
Le professeur de droit public allemand Karl Albrecht Schachtschneider a lui aussi critiqué à juste titre le putsch en Ukraine, le jugeant contraire au droit international. "L'Occident a encouragé, voire encouragé, le renversement en Ukraine", a déclaré Schachtschneider. "Il s'agissait de graves violations de la souveraineté intérieure et extérieure de l'Ukraine. Il est évident que le 'Maidan' ne provenait pas essentiellement de la propre initiative et de la propre force des citoyens de l'Ukraine", a reconnu Schachtschneider deux mois après le coup d'Etat. L'Occident a "utilisé le procédé éprouvé du renversement, de la révolution prétendument teintée d'une certaine manière". Il s'agit en fait d'étendre l'OTAN. "Il ne fait guère de doute que l'Occident est intervenu de manière 'subversive', comme l'appelle le droit international, afin d'avoir un gouvernement favorable, prêt à faire entrer l'Ukraine dans l'UE et, à un moment donné, dans l'OTAN", a déclaré le juriste allemand. Auch der deutsche Staatsrechtsprofessor Karl Albrecht Schachtschneider hat den Putsch in der Ukraine zu Recht als völkerrechtswidrig kritisiert. «Der Westen hat den Umsturz in der Ukraine gefördert, wenn nicht betrieben», so Schachtschneider. «Das waren schwere Verletzungen der inneren und äusseren Souveränität der Ukraine. Dass der ‹Maidan› nicht wesentlich aus eigenem Antrieb und eigener Kraft von Bürgern der Ukraine kam, ist offensichtlich», erkannte Schachtschneider zwei Monate nach dem Putsch. Der Westen habe «das bewährte Verfahren des Umsturzes, der vermeintlich irgendwie gefärbten Revolution, genutzt». Im Kern gehe es um die Ausdehnung der NATO. «Es gibt wenig Zweifel, dass der Westen ‹subversiv›, wie das Völkerrecht es nennt, interveniert hat, um eine genehme Regierung zu haben, welche bereit ist, die Ukraine in die EU und irgendwann auch in die NATO zu führen», so der deutsche Rechtsgelehrte.
(Source : Daniele Ganser, 'Illegale Kriege. Comment les pays de l'OTAN sabotent l'ONU. Une chronique de Cuba à la Syrie', (Quelle: Daniele Ganser, ‹Illegale Kriege. Wie die NATO-Länder die UNO sabotieren. Eine Chronik von Kuba bis Syrien›,
P. 281-285, Orell Füssli Verlag AG 2016, Zurich)). 285, Orell Füssli Verlag AG 2016, Zürich)
Après le changement de régime de février 2014, le nationalisme, l'extrême droite, la russophobie et l'intolérance ont gagné du terrain en Ukraine et le gouvernement pro-occidental a alimenté ces tendances et sentiments extrémistes au lieu de les contenir et de les contrer. En mars 2014, un jeune homme de la place Maidan de Kiev a déclaré à un journaliste britannique du nom de Gabriel Gatehouse, lors d'un reportage télévisé pour la BBC (intitulé "Le danger néonazi en Ukraine"), que les thèmes nationaux-socialistes étaient très populaires parmi les jeunes. L'utilisation de l'ukrainien comme seule langue officiellement reconnue par l'État a également été imposée par le nouveau gouvernement en 2014 dans les régions à majorité russophone de l'est et du sud-est du pays. La possibilité de diffuser des informations en russe, dans les journaux, sur les chaînes de radio et de télévision, a ainsi été fortement limitée. Nach dem Regimewechsel vom Februar 2014 griffen in der Ukraine Nationalismus, Rechtsextremismus, Russenfeindlichkeit und Intoleranz zunehmend um sich und die prowestliche Regierung nährte diese extremistischen Tendenzen und Gefühle, anstatt sie einzudämmen und ihnen entgegenzuwirken. Einem britischen Reporter namens Gabriel Gatehouse sagte ein junger Mann am Kiewer Maidan-Platz im März 2014 bei einer Fernsehberichterstattung für die BBC (mit dem Titel: ‹NeonaziGefahr in der Ukraine›), nationalsozialistische Themen seien sehr populär unter den Jugendlichen. Der Gebrauch der ukrainischen Sprache als einzige offiziell vom Staat anerkannte Sprache wurde auch in den mehrheitlich russisch sprechenden Regionen im Osten und Südosten des Landes von der neuen Regierung im Jahr 2014 durchgesetzt. Die Möglichkeit, Informationen in russischer Sprache, in Zeitungen, Radio- und Fernsehkanälen zu verbreiten, wurde somit stark eingeschränkt.
Le 2 mai 2014, l'un des massacres les plus sanglants et les plus horribles de l'histoire européenne d'après-guerre a eu lieu à Odessa, dont on a curieusement peu parlé et discuté en Occident, comme si cela avait été trop gênant et inconfortable pour les médias occidentaux (peut-être parce que cela s'est produit sous un régime soutenu par l'Occident ?) Des institutions de surveillance ont été mises en place tant par le Conseil de l'Europe que par l'ONU, inquiets de l'insuffisance des enquêtes menées par les autorités nationales et de la portée historique des événements sanglants survenus à Odessa le 2 mai 2014. Cependant, les responsables de ce bain de sang n'ont pas été poursuivis par la justice et sont donc restés impunis, aucune enquête officielle et aucune enquête pénale sur le massacre n'ayant été menées par les autorités. Sur la base des enquêtes menées par des institutions de surveillance et des associations indépendantes (dont l'Association du 2 mai), le déroulement des événements a été le suivant. Ce jour-là, à l'occasion d'un match de football, une colonne d'ultras a défilé dans les rues de la ville de la mer Noire, parmi lesquels se trouvaient des militants du Maïdan et des membres de groupes de combat d'extrême droite, venus de Kharkiv et d'ailleurs, équipés de boucliers, de casques, de matraques et d'armes à air comprimé et d'infanterie. Ils sont ensuite entrés en contact avec un groupe de manifestants de l'"autodéfense d'Odessa", qui défendaient une réforme de l'État fédéral visant à protéger les droits des minorités russophones et russo-ethniques et étaient considérés comme "prorusses". Après que les deux groupes soient entrés en contact, des violences ont éclaté, puis une bataille de rue a eu lieu, à la suite de laquelle les militants du "groupe d'autodéfense d'Odessa" ont reçu des pierres, des bouteilles et des grenades assourdissantes. Pour échapper aux violences, une partie des manifestants 'prorusses' s'est retranchée dans un supermarché, tandis que les militants d'extrême droite ont fabriqué des cocktails Molotov pour mettre le feu au magasin. Les policiers étaient très peu nombreux au début, mais ils ont réussi à sauver les militants d'autodéfense attaqués par les extrémistes de droite et dont la vie était menacée, en bloquant l'entrée du supermarché avec des véhicules. Les néofascistes se sont alors immédiatement dirigés vers le camp de tentes des militants antigouvernementaux, où se trouvaient environ 200 personnes, dont beaucoup de femmes et de personnes âgées, et y ont lancé des cocktails Molotov. Les militants ont donc été contraints de se rendre à la maison des syndicats toute proche, dans l'espoir de s'y protéger. Comme le montrent les enregistrements vidéo, le groupe d'extrême droite a alors commencé à lancer de nombreux cocktails Molotov sur la maison des syndicats, ce qui a mis le feu à celle-ci et a permis aux flammes de se propager rapidement, plusieurs personnes étant brûlées vives ou mortes par inhalation de fumée, tandis que d'autres tentaient de se sauver en sautant par les fenêtres des étages supérieurs. Beaucoup d'entre elles ont perdu la vie. Les pompiers, dont le poste de garde se trouve à quelques centaines de mètres seulement, ne sont arrivés que 43 minutes après le premier appel d'urgence (un porte-parole a expliqué plus tard à ce sujet que ses hommes n'étaient 'pas des soldats' et n'étaient donc pas obligés de 'se rendre dans une zone de guerre en danger de mort'). La plupart des survivants étaient ceux qui avaient réussi à grimper sur le toit. Le bilan officiel des victimes fait état de 48 morts, mais il est probablement beaucoup plus élevé car, selon plusieurs témoins, certains de ceux qui avaient réussi à s'échapper de l'immeuble ont été brutalement battus à mort, torturés et gravement blessés sur place par les militants d'extrême droite, avec un bilan estimé à 120-130 morts et plus de 200 blessés. Am 2. Mai 2014 geschah in Odessa eines der blutigsten und schrecklichsten Massaker der europäischen Nachkriegsgeschichte, worüber im Westen merkwürdigerweise wenig berichtet und diskutiert wurde, als ob das für westliche Medien zu unbehaglich und unbequem gewesen wäre (vielleicht weil es unter einem vom Westen unterstützten Regime stattfand?). Sowohl vom Europarat als auch von der UNO wurden aus Sorge um mangelhafte Ermittlungen seitens der nationalen Behörden sowie wegen der geschichtlichen Tragweite der blutigen Geschehnisse am 2. Mai 2014 in Odessa Überwachungsinstitutionen eingerichtet. Doch die Verantwortlichen für dieses Blutbad sind bisher von der Justiz nicht verfolgt worden und somit unbestraft geblieben, da keine offiziellen Ermittlungen sowie keine strafrechtliche Aufklärung des Massakers durch die Behörden durchgeführt worden sind. Aufgrund der durch unabhängige Überwachungsinstitutionen und Vereine (unter anderem durch den 2. Mai-Verein) durchgeführten Ermittlungen war der Ablauf der Ereignisse wie folgt. An jenem Tag marschierte anlässlich eines Fussballspiels eine Kolonne von Fussball-Ultras durch die Strassen der Stadt am Schwarzen Meer, unter denen sich auch Maidan-Aktivisten und Mitglieder rechtsextremer Kampfgruppen befanden, die aus Charkiw sowie anderen Orten kamen und mit Schildern, Helmen, Knüppeln sowie Luft- und Infanteriewaffen ausgerüstet waren. Diese kamen dann in Kontakt mit einer Gruppe von Demonstranten des sogenannten ‹Odessa-Selbstschutzes›, die Vertreter einer föderalistische Staatsreform zur Wahrung der Rechte der russischsprachigen und russisch-ethnischen Minderheiten waren und als ‹prorussisch› angesehen wurden. Nachdem die zwei Gruppen miteinander in Kontakt gekommen waren, kam es zu Gewaltausschreitungen und dann brach eine Strassenschlacht aus, infolge derer die Aktivisten der ‹Odessa-Selbstschutzgruppe› mit Steinen, Flaschen und Blendgranaten beworfen wurden. Um vor den Gewalttaten zu flüchten, verschanzte sich ein Teil der ‹prorussischen› Demonstranten in einem Supermarkt, währenddem die rechtsextremen Militanten Molotov-Cocktails bastelten, um das Warenhaus anzuzünden. Polizisten waren am Anfang in äusserst geringer Zahl anwesend, doch es gelang der Polizei, die von den Rechtsextremisten attackierten und lebensbedrohten Selbstschutz-Aktivisten dadurch zu retten, dass sie den Eingang zum Supermarkt mit Fahrzeugen absperrte. Darauf zogen die Neofaschisten sofort zum Zeltlager der regierungskritischen Aktivisten, wo sich ungefähr 200 Leute befanden, darunter viele Frauen und alte Menschen, und warfen MolotovCocktails hinein. Daher sahen sich die Aktivisten gezwungen, sich auf den Weg zum naheliegenden Gewerkschaftshaus zu machen, in der Hoffnung, sich dort schützen zu können. Wie Videoaufnahmen zeigen, begann dann die rechtsextreme Gruppierung das Gewerkschaftshaus mit zahlreichen Molotov-Cocktails zu bewerfen, wodurch es in Brand gesetzt wurde und die Flammen sich rasch ausbreiteten, wobei mehrere Personen lebendig verbrannten oder durch Rauchvergiftungen starben, während andere versuchten, sich zu retten, indem sie aus den Fenstern der oberen Stockwerke sprangen. Viele davon kamen ums Leben. Die Feuerwehr, deren Wachposten nur wenige Hundert Meter entfernt liegt, traf erst 43 Minuten nach dem ersten Notruf ein (Ein Sprecher erklärte dazu später, seine Männer seien ‹keine Soldaten› und deshalb nicht verpflichtet, sich ‹in ein Kriegsgebiet in Lebensgefahr zu begeben›). Die meisten Überlebenden waren diejenigen, denen es gelungen war, aufs Dach zu klettern. Die offizielle Opferbilanz spricht von 48 Toten, doch dürfte diese viel höher sein, weil aufgrund verschiedener Zeugen, einige von denen, die es geschafft hatten, aus dem Gebäude zu fliehen, von den rechtsextremen Militanten an Ort und Stelle brutal zu Tode geprügelt, gefoltert und schwer verletzt wurden, wobei es schätzungsweise 120–130 Tote und über 200 Verletzte gab.
En 2014, la question suivante a été adressée à la Commission européenne par un député européen concernant la position officielle de l'UE sur le massacre d'Odessa (procès-verbal n° 008919-14) : "Le 2 mai, un massacre a eu lieu à Odessa devant et dans la maison des syndicats, qui a officiellement fait 48 morts. Cependant, selon des estimations non officielles, le nombre de victimes serait de 150, auquel s'ajouteraient plusieurs centaines de blessés qui ont échappé de justesse au massacre. Les morts sont tous de nationalité ukrainienne et d'ethnie russe. La version officielle des autorités ukrainiennes a été remise en question par de nombreuses personnes. Pourtant, à notre connaissance, les autorités de Kiev et d'Odessa n'ont pas mené d'enquête approfondie à ce sujet et n'ont pas identifié de responsables. De nombreux indices laissent penser que la cause de la mort des personnes concernées, qui s'étaient réfugiées dans le bâtiment pour ne pas être tuées dans la rue, n'était pas le prétendu incendie du bâtiment, mais des tirs d'armes à feu ou d'autres types d'armes. Des images auraient été filmées montrant des policiers tirant sur des personnes alors qu'elles tentaient désespérément de s'enfuir par les fenêtres, et des preuves seraient disponibles qui indiqueraient que les assiégeants avaient l'intention de tuer. La Commission européenne peut-elle faire savoir si, face à un massacre aussi répréhensible, elle a l'intention de condamner fermement ce qui s'est passé et d'adopter des positions en matière de politique étrangère susceptibles de contribuer à la prévention d'éventuelles répétitions d'événements aussi dramatiques ?" Im Jahr 2014 wurde folgende Befragung seitens eines EU-Parlamentsabgeordneten bezüglich der offiziellen EU-Position zum Odessa-Massaker an die Europäische Kommission gerichtet (Protokoll Nr. 008919-14): «Am 2. Mai fand in Odessa ein Massaker vor und im Gewerkschaftshaus statt, das offiziell 48 Tote verursacht hat. Jedoch aufgrund von nicht offiziellen Einschätzungen soll die Opferzahl bei 150 liegen, der mehrere Hunderte Verletzte hinzugefügt werden sollen, die dem Massaker um Haaresbreite entkommen konnten. Die Toten sind alle ukrainischer Staatsangehörigkeit und ethnisch russisch. Die offizielle Version der ukrainischen Behörden wurde vielerseits in Frage gestellt. Doch haben die Behörden von Kiew und Odessa, soweit bekannt, keine gründlichen Ermittlungen dazu durchgeführt und keine Verantwortlichen identifiziert. Zahlreiche Indizien legen nahe, dass die Todursache derjenigen Betroffenen, die ins Gebäude geflüchtet waren, um nicht auf der Strasse umgebracht zu werden, nicht der angebliche Gebäudebrand war, sondern Schüsse aus Feuerwaffen oder Waffen anderer Art. Angeblich gäbe es Filmaufnahmen, auf denen Polizisten zu sehen seien, die auf Menschen schiessen, während diese verzweifelt versuchen, durch die Fenster zu flüchten, und es stehen Beweise zur Verfügung, die darauf hinweisen, dass die Belagerer eine Tötungsabsicht hatten. Kann die EU-Kommission bekanntmachen, ob sie beabsichtigt, angesichts eines solch verwerflichen Massakers eine entschiedene Verurteilung des Geschehenen auszusprechen und Positionen im Bereich der Aussenpolitik zu übernehmen, die zur Verhütung möglicher Wiederholungen derart dramatischer Ereignisse beitragen können?»
La réponse écrite de la haute représentante et vice-présidente de la Commission de l'époque au nom de la Commission européenne était la suivante : "Dans ses conclusions du 12 mai 2014, le Conseil des affaires étrangères a déclaré que 'les événements tragiques du 2 mai à Odessa, qui ont causé la mort et la blessure de nombreuses personnes, doivent faire l'objet d'une enquête approfondie et que tous les responsables doivent être traduits en justice. Le Conseil encourage l'organe consultatif international du Conseil de l'Europe à poursuivre une telle enquête, lui garantissant ainsi indépendance et transparence.' La décision prise en novembre 2014, suite à l'accord donné par le gouvernement ukrainien en septembre 2014 d'inclure l'enquête sur les événements d'Odessa dans le mandat du groupe d'experts internationaux, contribuera à mener une enquête minutieuse et à traduire les responsables en justice". Die schriftliche Antwort der damaligen Hohen Beauftragten und Vizepräsidentin der Kommission im Namen der EU-Kommission lautete: «In seinen Schlussfolgerungen des 12. Mai 2014 hat der Rat für Auswärtige Angelegenheiten folgendes erklärt: ‹Die tragischen Ereignisse des 2. Mai in Odessa, die den Tod und die Verletzung vieler Personen verursacht haben, müssen genauestens untersucht und alle Verantwortlichen vor Gericht gestellt werden. Der Rat ermuntert das internationale Beratungsgremium des Europarates eine solche Untersuchung zu verfolgen, um ihr dadurch Unabhängigkeit und Transparenz zu sichern.› Der im November 2014 gefasste Entschluss in Folge der im September 2014 von der ukrainischen Regierung erklärten Zustimmung, die Untersuchung über die Ereignisse von Odessa ebenfalls ins Mandat der Gruppe internationaler Experte einzuschliessen, wird dazu beitragen, eine sorgfältige Untersuchung durchzuführen und die Verantwortlichen vor Gericht zu bringen.»
Huit années se sont écoulées depuis lors et jusqu'à présent, les causes exactes du massacre n'ont jamais été élucidées et les responsables n'ont jamais été traduits en justice. La question inquiétante de l'éventuelle responsabilité pénale des forces de sécurité et des autorités locales et de leur implication dans les événements a été occultée. Seitdem sind acht Jahre vergangenen und bisher sind die genauen Ursachen des Massakers nie aufgeklärt und die Verantwortlichen nie vor Gericht gestellt worden. Die beunruhigende Frage nach der eventuellen strafrechtlichen Verantwortlichkeit der lokalen Sicherheitskräfte und Behörden und deren Verwicklung ins Geschehen wurde verdrängt.
Il existe cependant une autre version de cette terrible histoire, selon laquelle le massacre aurait été planifié. Certains reportages et reconstitutions journalistiques l'indiquent, notamment celui publié sur le réseau web voltairenet.org sous le titre 'Massacre d'Odessa organisé par le sommet de l'Etat ukrainien', dont nous allons faire un résumé ci-dessous. Dans l'article en question, on peut lire sous le titre la remarque suivante : "Les révélations suivantes proviennent d'un informateur de l'un des services de répression de l'appareil d'État ukrainien. Pour des raisons évidentes, il a demandé l'anonymat. Il y a certainement des officiers administratifs à Kiev qui condamnent les violences commises à Odessa et dans tout le pays le 2 mai 2014". Es gibt aber eine andere Version dieser schrecklichen Geschichte, wonach das Massaker geplant wurde. Es gibt manche journalistischen Reportagen und Rekonstruktionen, die darauf hinweisen, unter anderem jene, die auf dem Web-Netzwerk voltairenet.org unter dem Titel ‹Massaker von Odessa von der Spitze des ukrainischen Staates organisiert› veröffentlicht worden ist, auf die im folgenden zusammenfassend eingegangen werden soll. Im erwähnten Artikel ist unter dem Titel folgende Anmerkung zu lesen: «Die folgenden Offenbarungen kommen von einem Informanten von einer der Repressionsbehörden des ukrainischen Staatsapparats. Aus naheliegenden Gründen bat er um Anonymität. Es gibt mit Sicherheit VerwaltungsOffiziere in Kiew, die die Gewalt verurteilen, die am 2. Mai 2014 in Odessa und im ganzen Land verübt worden ist.»
"Dix jours avant la tragédie, une réunion secrète s'est tenue à Kiev sous la présidence du président officiel O. T. afin d'organiser une opération spéciale à Odessa. Étaient présents : A. B. A, ministre de l'Intérieur, V. N., chef des services de sécurité et A. P., secrétaire du Conseil de la défense et de la sécurité nationale. L'oligarque ukrainien I. K., placé par les autorités de Kiev à la tête de l'administration régionale de Dnepropetrovsk, a été consulté pour l'organisation de cette opération. Au cours de la réunion, A. A. a proposé l'intervention de voyous opérant dans les rangs des supporters d'un club de football, appelés 'ultras'. Depuis l'époque où il dirigeait l'administration régionale de Kharkiv, il a toujours travaillé en étroite collaboration avec les dirigeants des supporters du club de football, qu'il continuait à subventionner depuis sa nouvelle résidence en Italie. C'est K. qui a levé le 1er bataillon du Dniepr de sa garde personnelle et l'a placé temporairement sous le commandement des officiers de police d'Odessa. Il a également autorisé le paiement en espèces d'une prime de 5 000 dollars pour chaque séparatiste pro-russe tué pendant l'opération. Quelques jours avant l'opération d'Odessa, A. P. a fourni des dizaines de gilets pare-balles à des nationalistes locaux. Ce document vidéo montre la distribution des gilets aux activistes de Maidan à Odessa. Regardez attentivement la personne qui effectue la livraison. Il s'agit de M. V., un gangster du grand banditisme que l'on retrouve à plusieurs reprises sur les bandes vidéo de l'attaque de la Maison des syndicats, lorsqu'il a utilisé une arme à feu. On le voit ensuite au téléphone, en train de faire son rapport aux autorités de Kiev. Les militants nationalistes extrémistes du 'Parlement' national ukrainien (UNA-UNSO), reconnaissables à leurs brassards rouges, ont également été utilisés pour cette opération. On leur a attribué un rôle central dans l'organisation des provocations. Dans le camp de tentes du quartier de Koulikov, ils ont joué la comédie, posé avec des militants rassemblés là contre la junte et se sont fait passer pour des défenseurs du camp, pour mieux les pousser ensuite vers la Maison des syndicats où les attendaient les tueurs. Quinze barrages routiers avaient été installés pour bloquer l'accès à Odessa. Les barrages étaient surveillés par des militants directement subordonnés au commandement du 1er bataillon du Dniepr de K, ainsi que par les tueurs du Pravý Sektor (ndlr : secteur de droite, c'est-à-dire un parti ukrainien d'extrême droite) de Dnepropetrovsk et de Galicie. En outre, deux unités militaires des forces d'autodéfense de Maidan sont arrivées à Odessa, encadrées par S. P., chef de service de la présidence, le même qui a été identifié sur Maidan le 18 février 2014 et qui était en possession d'un fusil à longue portée, caché dans le coffre de sa voiture, qui a été découvert et qui était idéal pour les tireurs d'élite. P. a prétendu qu'il n'avait pas été pleinement informé des objectifs de l'opération et que, lorsqu'il avait envoyé ses hommes sur place, il l'avait fait 'pour protéger la population d'Odessa'. Par conséquent, ce sont plus de 1400 combattants d'autres régions d'Ukraine qui se trouvaient ce jour-là à Odessa dans le cadre de l'opération. Ces faits enlèvent toute crédibilité à la fable selon laquelle ce sont les habitants d'Odessa qui ont réduit en cendres la maison des syndicats. Le chef de la police d'Odessa, D. F., avait mystérieusement disparu d'Odessa juste après les événements tragiques. C'est le chef des forces de police régionales, P. L., et son représentant local, D. F., qui ont personnellement pris en main la direction des opérations. P. L. était chargé de neutraliser V. N., le gouverneur régional d'Odessa. Il devait éviter qu'il ne prenne une mesure de sécurité indépendante qui aurait pu faire échouer l'opération. F. a accompagné les activistes directement jusqu'à la place de Grèce, où il aurait été 'accidentellement blessé' (pour échapper à d'autres poursuites qui seraient liées aux événements suivants). «Zehn Tage vor der Tragödie fand unter dem Vorsitz des amtlichen Präsidenten O. T. ein geheimes Treffen in Kiew statt um einen Sondereinsatz in Odessa zu organisieren. Anwesend waren: A. B. A, Innenminister, V. N., Leiter des Sicherheitsdienstes und A. P., Sekretär des Rates der Verteidigung und der nationalen Sicherheit. Der ukrainische Oligarch I. K., von den Behörden von Kiew an die Spitze der regionalen Verwaltung von Dnepropetrowsk gestellt, wurde für die Organisation dieser Operation konsultiert. Während des Treffens hatte A. A. den Einsatz von Schlägern vorgeschlagen, die in den Reihen der Anhänger eines Fussballclubs operieren, und als ‹Ultras› bezeichnet werden. Seit der Zeit, als er die Regionalverwaltung von Charkiw (Anm: bzw. Kharkiv auf ukrainisch) leitete, arbeitete er immer eng mit den Führern der Fussballclub-Anhänger zusammen, die er von seinem neuen Wohnsitz aus in Italien weiterhin subventionierte. Es war K., der das 1. Bataillon des Dnjepr von seiner persönlichen Wache aufgestellt und es vorübergehend unter das Kommando der Odessa-Polizeioffiziere gestellt hat. Er gestattete auch die Barzahlung einer Prämie von $ 5000 für jeden pro-russischen getöteten Separatisten während der Operation. Wenige Tage vor der Operation Odessa hat A. P. Dutzende von kugelsicheren Westen an lokale Nationalisten geliefert. Dieses Videodokument zeigt die Verteilung der Westen an die Maidan-Aktivisten in Odessa. Schauen Sie sich die Person genau an, die die Lieferung ausführt. Es ist M. V., ein Gangster des grossen Banditentums, den man mehrfach auf den Videobändern des Angriffs auf das Haus der Gewerkschaften findet, als er eine Feuerwaffe benutzte. Man sieht ihn dann am Telephon, um seinen Bericht an die Behörden von Kiew zu erstatten. Die extremistischen nationalistischen Aktivisten des nationalen ukrainischen ‹Parlaments› (UNA-UNSO), die man an ihren roten Armbinden erkennt, wurden auch für diese Operation eingesetzt. Man hat ihnen eine zentrale Rolle in der Organisation der Provokationen zugewiesen. Im Zeltlager des Stadtviertels Kulikow spielten sie Komödie, posierten mit Aktivisten, die gegen die Junta dort versammelt waren, und gaben sich als Verteidiger des Lagers aus, um sie anschliessend umso besser in das Haus der Gewerkschaften zu drängen, wo die Mörder auf sie warteten. Fünfzehn Strassensperren waren installiert worden, um den Zugang zu Odessa zu blockieren. Die Sperren wurden von Militanten überwacht, die dem Kommando des 1. Bataillons des Dnjepr von K direkt unterstellt waren, sowie von den Mördern des Pravý Sektor (Anm: Rechtssektor, d.h. eine rechtextreme ukrainische Partei) aus Dnepropetrowsk und Galizien. Darüber hinaus waren zwei militärische Einheiten der Selbstverteidigungskräfte vom Maidan in Odessa angekommen, betreut durch S. P., Dienstleistungschef der Präsidentschaft, eben genau derselbe, der am 18. Februar 2014 auf dem Maidan identifiziert wurde, und der im Besitz weitreichenden Gewehrs war, das im Kofferraum seines Autos versteckt, entdeckt wurde und ideal für Scharfschützen war. P. gab vor, dass er nicht umfassend über die Ziele der Operation informiert worden sei und dass, als er seine Männer vor Ort geschickt habe, er es ‹zum Schutz der Bevölkerung von Odessa› gemacht habe. Daher waren es mehr als 1400 Kämpfer aus anderen Regionen der Ukraine, die sich an diesem Tag im Rahmen der Operation in Odessa befunden haben. Diese Tatsachen nehmen dem Märchen jegliche Glaubwürdigkeit, dem zufolge es die Einwohner von Odessa gewesen waren, die das Haus der Gewerkschaften in Asche gelegt hatten. Der Leiter der OdessaPolizei, D. F., war unmittelbar nach den tragischen Ereignissen auf mysteriöse Weise aus Odessa verschwunden. Es ist der Leiter der regionalen Polizeikräfte, P. L., und sein lokaler Vertreter, D. F., die persönlich die Leitung der Operationen in die Hand nahmen. P. L. war mit der Neutralisierung des regionalen Gouverneurs von Odessa, V. N. beauftragt. Er sollte verhindern, dass er eine unabhängige Sicherheitsmassnahme ergreife, die die Operation hätte vereiteln können. F. begleitete die Aktivisten direkt bis zum Platz von Griechenland, wo er angeblich ‹versehentlich verletzt wurde› (um einer weiteren Verfolgung, die mit den folgenden Ereignissen in Zusammenhang gebracht würden, zu entkommen).
L'opération était prévue dès le départ pour le 2 mai. Ce jour-là, un match de football devait avoir lieu, ce qui justifierait facilement la présence de nombreux supporters du club de football (les 'ultras') dans le centre-ville. (...) Le 2 mai, le train de Kharkiv, avec ses légions de supporters du 'Metallist Kharkiv', leur club de football, est arrivé à Odessa à 8 heures et certains des 'ultras' devaient participer à l'opération. Au même moment, les unités du 1er bataillon du Dniepr de K. et du Pravý Sektor se sont détachées en petits groupes à travers la ville. Les 'forces d'autodéfense de Maïdan' sont arrivées de Kiev, la plupart d'entre elles voyageant en bus. Les forces de police avaient reçu des instructions strictes de ne pas arrêter les bus en provenance de Kiev, Dnipropetrovsk et Lviv ce jour-là. Dans l'après-midi, quelques combattants se sont rendus sur la place Sobomaya, où devaient se rassembler ceux qui voulaient 'marcher pour un État ukrainien unifié'. Ils devaient organiser la foule et la conduire sur les barricades de la place de Grèce. Tous les membres d'un groupe dopérations spéciales' portant le ruban de Saint-Georges, ont mis leurs masques et ont descendu l'avenue Alexandrovski. Il s'agissait des fameux 'prorusses' que l'on voit sur de nombreuses vidéos. Les provocateurs portaient des brassards rouges pour se distinguer des authentiques militants prorusses d'Odessa. De même, les forces de police, prévenues à l'avance des événements qui allaient suivre, portaient des brassards rouges identiques pour se reconnaître entre elles. Malheureusement, certains militants prorusses authentiques, qui ne savaient rien de ce qui allait se passer, sont tombés dans le piège des provocateurs, qui les ont incités à s'en prendre aux fascistes pour les 'arrêter'. De nombreux témoins oculaires ont filmé les conséquences de ces événements. Avec l'aide de la police, les provocateurs dits 'prorusses' se sont alignés le long du centre commercial Afina, situé à l'intersection de la rue de Grèce et de la ruelle du vice-amiral Joukov, là où d'autres provocateurs du groupe de supporters du club de football les ont attaqués. Il s'agissait notamment de combattants de Pravý Sektor et de l'UNA-UNSO. Ces faits ont été confirmés, y compris par des observateurs pro-Maidan présents sur place. Des armes à feu ont été utilisées des deux côtés et des victimes ont été signalées dans les deux camps. La mission visant à détourner l'intérêt des supporters du match pour lequel ils étaient venus et à les canaliser vers le quartier de Koukikovo avait été bien menée. Les provocateurs, qui ont beaucoup excité la foule, se sont ensuite retirés vers le grand magasin Afina, où la police les a soutenus. Certains d'entre eux étaient blessés. Ils n'ont toutefois pas eu à déplorer de morts. Alors que les affrontements se poursuivaient sur la place de Grèce, un groupe d'assassins du Pravý Sektor réglait les derniers détails de la partie la plus importante de l'opération, dont le nom de code était 'Ha'ola' (dérivé de l'expression 'Mizbeach Ha'ola', qui signifie en hébreu : 'L'autel du sacrifice'). Ils se sont faufilés dans la maison des syndicats par une porte située à l'arrière du bâtiment. Ils ont ensuite pris position dans les caves et les greniers. Dans ce groupe, il n'y avait que des combattants éprouvés, et tous étaient des tueurs expérimentés. Alors que la masse des gens traversait le centre de la ville et se dirigeait de la place de Grèce vers le quartier de Koukikovo, quelques provocateurs ont pris des voitures et sont arrivés à toute vitesse devant le gros de la masse. Ils se sont ensuite précipités dans le camp de tentes, avec l'intention de créer la panique en criant : "Ils viennent du Pravý Sektor !", puis : "Ils viennent vous tuer !", et ainsi de suite. Au lieu de se disperser dans la ville, beaucoup sont tombés dans le piège des provocateurs et se sont réfugiés dans la Maison des syndicats. Certains sont descendus dans les caves, dont personne n'est sorti vivant. Ils ont été torturés, tués et découpés à la machette. D'autres se sont réfugiés dans les étages. Un mélange d'essence et de napalm avait été préparé pour produire un poison mortel à l'odeur âcre, qui produisait du monoxyde de carbone. Des chimistes avaient mis au point ce cocktail mortel sur la place de l'Indépendance à Kiev, mais il n'y a pas été utilisé. Ce mélange a été testé pour la première fois à Odessa. Ce n'était pas un accident : il fallait à tout prix réaliser un massacre à grande échelle pour terroriser toute la nation. La 'bataille' dans la maison des syndicats a duré plusieurs heures. Pendant tout ce temps, des personnes brutales ont prétendu défendre le bâtiment en lançant des cocktails Molotov depuis le toit, tandis que d'autres ont méthodiquement égorgé, étranglé et réduit en cendres leurs victimes. L'alimentation en eau du bâtiment a été coupée afin de rendre impossible à l'avance toute tentative d'éteindre l'incendie. Une fois la phase 'Ha'ola' de l'opération terminée, les tueurs du Pravý Sektor se sont enfuis par des sorties situées à l'arrière et sur les côtés du bâtiment et ont quitté la ville. Les forces de police sont ensuite entrées dans le bâtiment. Ils ont établi le nombre de victimes, qui est ensuite devenu le nombre officiel de morts de la catastrophe, mais il ne s'agissait en réalité que des martyrs retrouvés dans les étages supérieurs du bâtiment. La plupart des personnes ont été assassinées dans les caves et leur mort n'a pas été enregistrée. Il est peu probable que le nombre exact de victimes soit un jour connu. Selon la plupart des sources, au moins 120 à 130 personnes ont été massacrées. La vérité ne peut pas être occultée ! Die Operation war von Anfang an für den 2. Mai geplant. An diesem Tag sollte ein Fussballspiel stattfinden, das die Anwesenheit von vielen Anhängern des Fussballclubs (der ‹Ultras›) in der Innenstadt leicht rechtfertigen würde. (…) Am 2. Mai erreichte der Zug aus Charkiw, mit seinen Legionen von Anhängern des ‹Metallist Charkiw›, ihrem Fussballclub, Odessa um 8.00 Uhr und einige der ‹Ultras› sollten an der Operation teilnehmen. Zur gleichen Zeit setzten sich die Einheiten des 1. Bataillons des Dnjepr von K. und dem Pravý Sektor in kleinen Gruppen quer durch die Stadt ab. Aus Kiew kamen die ‹Maidaner Selbstverteidigungskräfte›, die meisten von ihnen reisten in Bussen. Die Polizeikräfte hatten strikte Anweisungen, an diesem Tag keine Busse aus Kiew, Dnipropetrowsk und Lemberg aufzuhalten. Am Nachmittag begaben sich einige Kämpfer zum Sobomaya-Platz, wo sich diejenigen versammeln sollten, die für ‹einen ukrainischen Einheitsstaat marschieren› wollten. Sie sollten die Menge organisieren und sie auf die Barrikaden des Platzes von Griechenland führen. Alle Mitglieder einer Gruppe von ‹Spezialoperationen› mit dem Band des Heiligen Georgs, legten ihre Masken an und gingen die Alexandrowski-Allee hinunter. Diese waren die sogenannten ‹Prorussen›, die man auf vielen Videos sieht. Die Provokateure trugen rote Armbinden, um sich von den authentischen prorussischen Aktivisten aus Odessa zu unterscheiden. Ebenso trugen die Polizeikräfte, die im Voraus vor den folgenden Ereignissen gewarnt wurden, identische rote Armbinden um einander zu erkennen. Leider fielen einige echte prorussische Aktivisten, die nichts von dem wussten was passieren würde, auf die Falle der Provokateure herein, die sie anspornten, auf die Faschisten loszugehen, um sie zu ‹stoppen›. Viele Augenzeugen haben die Folgen der Ereignisse gefilmt. Mit Hilfe der Polizei reihten sich die sogenannten ‹prorussischen› Provokateure entlang des Einkaufszentrums Afina ein, das sich an der Kreuzung der Griechenland-Strasse und der Vize-Admiral Zhukov Gasse befindet, dort wo andere Provokateure aus der Gruppe der Fans des Fussballclubs sie angriffen. Dazu gehörten insbesondere Pravý-SektorKämpfer und jene der UNA-UNSO. Diese Fakten wurden bestätigt, auch von Pro-Maidan-Beobachtern, die anwesend waren. Schusswaffen wurden auf beiden Seiten verwendet, und Opfer wurden in beiden Lagern gemeldet. Die Mission, die das Interesse der Fans vom Match ablenken sollte, für das sie gekommen waren, und sie ins Stadtviertel Koukikovo kanalisieren sollte, war gut durchgeführt worden. Die Provokateure, die die Menge sehr aufgeregt haben, zogen sich dann zum Kaufhaus Afina zurück, wo die Polizei sie unterstützte. Manche von ihnen waren verletzt. Sie hatten jedoch keine Tote zu beklagen. Während die Auseinandersetzungen auf dem Griechenland-Platz weitergingen, regelte eine Mörder-Gruppe vom Pravý Sektor die letzten Details des wichtigsten Teils der Operation mit dem Code-Namen ‹Ha’ola› (abgeleitet vom Ausdruck ‹Mizbeach Ha’ola›, was auf Hebräisch bedeutet: ‹Der Altar des Opfers›). Sie haben sich durch eine Tür auf der Rückseite des Gebäudes ins Haus der Gewerkschaften geschlichen. Sie nahmen dann ihre Positionen in den Kellern und auf den Dachböden ein. In dieser Gruppe waren nur bewährte Kämpfer, und alle waren erfahrene Mörder. Während die Masse der Leute durch das Zentrum der Stadt ging und von dem Griechenlandplatz zum Viertel Koukikovo strömte, nahmen einige Provokateure Autos und sind auf Hochtouren vor den Grossteil der Masse gefahren. Sie stürzten dann in das Zeltlager, mit der Absicht, durch Geschrei eine Panik zu erzeugen: «Die vom Pravý Sektor kommen!» und dann: «Sie kommen um euch zu töten!», und so weiter. Statt sich in der Stadt zu verteilen, sind viele den Provokateuren in die Falle gegangen und nahm Zuflucht im Haus der Gewerkschaften. Einige gingen in die Keller hinunter, aus denen niemand lebend herauskam. Sie wurden gefoltert, getötet und mit Macheten zerteilt. Andere suchten Zuflucht in den Stockwerken. Eine Mischung aus Benzin und Napalm war vorbereitet worden, um ein stechend riechendes, tödliches Gift herzustellen, das Kohlenmonoxid produziert. Chemiker hatten diesen tödlichen Cocktail dem Platz der Unabhängigkeit in Kiew entwickelt, jedoch wurde er dort nicht verwendet. Diese Mischung wurde zum ersten Mal in Odessa getestet. Es war kein Unfall: Man musste um jeden Preis ein grossangelegtes Massaker realisieren, um die ganze Nation zu terrorisieren. Die ‹Schlacht› im Haus der Gewerkschaften dauerte mehrere Stunden. Während der ganzen Zeit gaben brutale Leute vor, das Gebäude zu verteidigen, indem sie Molotov Cocktails vom Dach warfen, während andere ihre Opfer methodisch schlachteten, erwürgten und zu Asche reduzierten. Die Wasserversorgung des Gebäudes wurde abgeschnitten, um im Voraus alle Versuche zu verunmöglichen, das Feuer zu löschen. Nachdem die ‹Ha’ola›-Phase der Operation abgeschlossen war, flohen die Mörder vom Pravý Sektor über Ausgänge auf der Rückseite und an den Seiten des Gebäudes und verliessen die Stadt. Polizeikräfte betraten dann das Gebäude. Die Zahl der Opfer wurde festgestellt, die dann zur offiziellen Zahl der Todesopfer der Katastrophe wurde, es waren aber in Wirklichkeit nur die Märtyrer, die in den oberen Etagen des Gebäudes gefunden wurden. Die meisten Personen wurden in den Kellern ermordet und ihr Tod wurde nicht registriert. Es ist unwahrscheinlich, dass eines Tages die genaue Zahl der Opfer bekannt wird. Den meisten Quellen zufolge wurden mindestens 120 bis 130 Leute massakriert. Die Wahrheit kann nicht ausgeblendet werden!
Les dirigeants de la junte ont privatisé la police et les services de renseignement. À leur propre détriment, ils ont oublié les bureaux du procureur général. Le procureur général en fonction a statué comme suit : "Cette action criminelle n'a pas été préparée par des niveaux intermédiaires. Elle a été soigneusement planifiée et coordonnée, et des représentants de différentes autorités y ont participé". Il est peu probable qu'il soit autorisé à désigner les véritables coupables de cette tragédie. Cependant, il sera impossible pour la junte de dissimuler complètement la vérité sur ce qui s'est réellement passé à Odessa. Cette tragédie mérite de faire l'objet d'une enquête approfondie. Les coupables doivent être traduits devant un tribunal de justice internationale et répondre des crimes contre l'humanité qu'ils ont commis.(…) Die Junta-Führer privatisierten die Polizei und die Geheimdienste. Zu ihrem eigenen Nachteil haben sie die Büros des Staatsanwaltes vergessen. Der Generalstaatsanwalt im Amt entschied wie folgt: «Diese kriminelle Aktion wurde nicht von Zwischenebenen vorbereitet. Sie wurde sorgfältig geplant, koordiniert und Vertreter der verschiedenen Behörden nahmen daran teil.» Es ist unwahrscheinlich, dass er die wahren Schuldigen dieser Tragödie wird nennen dürfen. Jedoch wird es für die Junta unmöglich sein, die Wahrheit über die wirklichen Geschehnisse in Odessa vollständig zu verbergen. Diese Tragödie verdient Thema einer ausführlichen Untersuchung zu werden. Die Schuldigen müssen vor ein Gericht der internationalen Gerechtigkeit gebracht werden und für die Verbrechen gegen die Menschlichkeit, die sie begangen haben, Rechenschaft ablegen. (…)
(Source: www.voltairenet.org/article183933.hhtml) (Quelle: www.voltairenet.org/article183933.hhtml)
Après le début de la guerre civile, qui a fait rage principalement dans la région orientale du Donbass, des atrocités et des violations des droits de l'homme ont souvent été commises - malgré la signature des deuxièmes accords de Minsk garantis par la France et l'Allemagne en 2015. La Fondation russe pour la recherche sur la démocratie a envoyé à l'OSCE un rapport sur les violences commises par les forces de sécurité ukrainiennes et les paramilitaires d'extrême droite dans le Donbass, non seulement contre les combattants séparatistes, mais aussi contre des civils russophones faits prisonniers. Le rapport mentionne l'utilisation de méthodes de torture telles que l'électrocution, les chocs électriques, le waterboarding (une pratique de torture consistant à verser de l'eau dans la bouche du détenu jusqu'à ce qu'il soit sur le point de se noyer, utilisée par les Américains en Afghanistan, en Irak et à Guantanamo), les blessures par matraque en fer et couteau, l'étouffement par des sacs en plastique, l'arrachage des ongles des doigts et des orteils, l'écrasement des os, la strangulation avec la garrotte (également appelée 'garrotte banderiste' en l'honneur de l'homme politique nationaliste ukrainien et collaborateur Stepan Bandera), la détention dans des cellules froides avec privation de nourriture et administration de substances psychotropes mortelles sont documentées. En outre, les détenus ont été contraints de marcher sur des champs de mines, ont été écrasés par des chars d'assaut et ont été marqués par des lames de fer rouge avec des croix gammées et des inscriptions SEPR (qui signifient séparatiste) sur la poitrine et les fesses. Nach dem Ausbruch des Bürgerkrieges, der vor allem in der östlichen Donbass-Region tobte, wurden – trotz der Unterzeichnung der zweiten von Frankreich und Deutschland garantieren Minsker-Abkommen im Jahre 2015 – häufig Greueltaten und Menschenrechtsverletzungen begangen. Die Russische Stiftung für die Demokratieforschung schickte der OSZE einen Bericht über die Gewalttaten der ukrainischen Sicherheitskräfte und der rechtsextremen Paramilitärs im Donbass, die nicht nur gegen Separatisten-Kämpfer, sondern auch gegen russischsprachige, in Gefangenschaft geratene Zivilisten, verübt worden waren. Im Bericht wurde die Anwendung von Foltermethoden wie Elektrokution, Elektroschocks, Waterboarding (eine Folterpraktik die darin besteht, dass dem Häftling so lange Wasser in den Mund geschüttet wird, bis er kurz vor dem Ertrinken steht, die von Amerikanern in Afghanistan, im Irak und in Guantanamo angewendet wurde), Verletzung durch eiserne Schlagstöcke und Messer, Erstickung durch Plastiksäcke, Ausreissen von Finger- und Zehennägeln, Knochenzerschmettern, Erwürgen mit der Garrotte (die zu Ehren des nationalistischen ukrainischen Politikers und Kollaborateurs Stepan Bandera auch ‹banderistische Garrotte› genannt wird), Inhaftierung in kalten Zellen mit Essensentzug und Verabreichung tödlicher psychotroper Substanzen dokumentiert. Ausserdem wurden Häftlinge gezwungen auf Minenfelder zu gehen, wurden von Panzern zermalmt und durch glühende Eisenklingen mit Hakenkreuzen und SEPR-Schriften (die für Separatist stehen) auf der Brust und dem Hintern gebrandmarkt.
Au cours des huit dernières années, les hommes des fameux combattants des bataillons Azov, marqués par l'extrémisme de droite, ont été condamnés à plusieurs reprises pour leurs actes par l'ONU, l'OSCE ainsi que par l'association de défense des droits de l'homme 'Amnesty International'. Un rapport de l'OSCE les désigne comme "responsables du meurtre de masse de prisonniers dans des fosses communes et du recours systématique à des méthodes de torture de nature physique et psychologique", des milliers de tels actes criminels et crimes contre les droits de l'homme n'ayant jamais fait l'objet de poursuites. In den vergangenen acht Jahren wurden die Männer der berüchtigten, vom Rechtsextremismus geprägten Kämpfer der Asow-Bataillone mehrfach von der UNO, OSZE sowie vom Menschenrechtsverein ‹Amnesty International› wegen ihrer Taten verurteilt. In einem OSZE-Bericht werden sie als «verantwortlich für die Massenermordung von Gefangenen in Massengräbern und die systematischen Anwendungen von Foltermethoden physischer und psychologischer Art» bezeichnet, wobei Tausende solcher Kriminalakte und Menschenrechtsverbrechen niemals strafrechtlich verfolgt wurden.
Selon un article du 11 novembre 2017 paru dans le 'Spiegel', "le régiment Azov recrute de nouveaux membres à l'aide de flyers lors de manifestations néonazies allemandes, apparemment avec succès : de plus en plus de mercenaires le rejoignent pour ‹préserver l'Europe de l'extinction›.» Laut einem im ‹Spiegel› erschienenen Artikel vom 11.11.2017 «wirbt das Asow-Regiment mit Flyern auf deutschen NeonaziVeranstaltungen um neue Mitglieder, offenbar erfolgreich: Immer mehr Söldner schliessen sich an, um ‹Europa vor dem Aussterben zu bewahren›.»
Pourtant, pendant tout ce temps, les rapports alarmants des institutions internationales et les informations sur les violations des droits de l'homme et les atrocités commises en Ukraine ont été ignorés par la plupart des médias, des faiseurs d'opinion et des hommes politiques occidentaux. Après le déclenchement de la guerre russo-ukrainienne, les combattants du régiment Azov ont même souvent été présentés comme de courageux défenseurs de la patrie et bien souvent célébrés comme des héros, tandis que leur idéologie d'extrême droite a été minimisée et interprétée différemment de ce qu'elle est en réalité. Doch während dieser ganzen Zeit wurden die alarmierenden Berichte internationaler Institutionen und die Meldungen über Menschenrechtsverletzungen und Greuel in der Ukraine von den meisten westlichen Medien, Meinungsmachern und Politikern ignoriert. Nach dem Ausbruch des russisch-ukrainischen Krieges wurden die Kämpfer des Asow-Regiments sogar oft als mutige Landesverteidiger dargestellt und nicht selten als Helden gefeiert sowie ihre rechtsextreme Ideologie bagatellisiert und anders interpretiert als sie tatsächlich ist.
Un site web ukrainien toujours actif, Center Myrotvoret ou Mirotworez, a publié un registre constamment mis à jour qui ressemble à une liste noire officielle sur laquelle figurent les noms, les photos et les données personnelles des journalistes ukrainiens et étrangers qui ont couvert la guerre civile dans le Donbass, les atrocités commises sur la place Maidan à Kiev et à Odessa, ainsi que tous ceux qui sont considérés par le gouvernement ukrainien comme des opposants politiques, des "ennemis du pays" ou des "ennemis de la démocratie". Les noms des reporters morts pendant la guerre civile et des 'ennemis de l'Etat' décédés sont accompagnés de la mention 'liquidé'. Il convient de rappeler qu'au cours des huit années qui ont précédé l'invasion russe en Ukraine, on estime que 40 journalistes ont été tués, et que l'on compte jusqu'à 80 assassinats politiques au cours de cette période. Parmi les noms des prétendus ennemis de l'Ukraine, on trouve également l'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger, l'ancien chancelier allemand Gerhard Schröder et le célèbre musicien Roger Waters. Auf einer immer noch aktiven ukrainischen Webseite namens Center Myrotvoret bzw. Mirotworez, die auf den ukrainischen Geheimdienst zurückzuführen ist, wurde ein ständig aktualisiertes Register veröffentlicht, das wie eine offizielle schwarze Liste wirkt, auf der die Namen, Photos und die persönlichen Angaben aus- und inländischer Journalisten – die über den Bürgerkrieg im Donbass, die Greueltaten auf dem Maidan-Platz in Kiew und in Odessa berichtet haben, sowie all derjenigen, die von der ukrainischen Regierung als politische Oppositionelle, ‹Landes- bzw. Staatsfeinde› und sonstige Kritiker der ukrainischen Regierungspolitik angesehen werden –, aufgelistet sind und an den Pranger gestellt werden, wobei neben den Namen der im Lauf des Bürgerkrieges ums Leben gekommenen Reporter und der verstorbenen ‹Staatsfeinde› ‹liquidiert› geschrieben steht. Es ist zu bedenken, dass in den letzten acht Jahren vor der russischen Invasion in der Ukraine schätzungsweise 40 Journalisten getötet wurden, wobei im genannten Zeitraum bis zu 80 politische Morde zu zählen sind. Unter den aufgelisteten Namen der angeblichen Feinde der Ukraine finden sich auch der ehemalige US-Staatssekretär Henry Kissinger, der Altbundeskanzler Gerhard Schröder und der berühmte Musiker Roger Waters.
Il y a peu de temps (19.6.2022), le parlement ukrainien (Rada) a même adopté à une large majorité deux lois interdisant l'importation et la diffusion de livres et d'œuvres musicales d'auteurs russes (qu'ils viennent de Russie ou d'autres pays) en raison de l'influence destructrice qu'ils exerceraient sur la population. La nouvelle suivante a été démentie par la plupart des médias occidentaux, qui semblent désormais s'arroger le droit, en tant que juges autoproclamés de la vérité, de déterminer de manière définitive ce qui, de leur point de vue, relève de la propagande et des fake news d'une part, et des informations authentiques et des sources fiables d'autre part. Or, il arrive souvent que de vraies informations et de vrais faits soient déclarés par ces médias comme étant des fake news et de la propagande et soient ainsi censurés, alors qu'en revanche, toute une quantité de messages de propagande et de fausses informations sont diffusés sans aucun contrôle ni vérification, c'est-à-dire sans aucune vérification de la réalité. sans aucune vérification des faits - ce dont on parle toujours avec grandiloquence, tout étant toujours effectué, diffusé et proclamé comme vrai de manière unilatérale, et ce uniquement parce que ces informations proviennent de sources occidentales ou pro-occidentales et n'ont pas été soumises à une vérification des faits - sont diffusées comme de véritables nouvelles. Vor kurzer Zeit (19.6.2022) wurden vom ukrainischen Parlament (Rada) mit grosser Mehrheit sogar zwei Gesetze verabschiedet, die den Import und die Verbreitung von Büchern und Musikwerken russischer Autoren verbieten (egal ob sie aus Russland oder aus anderen Ländern kommen), da sie einen zerstörerischen Einfluss auf die Bevölkerung ausüben sollen. Folgende Nachricht wurde von den meisten westlichen Medien dementiert, da diese sich nun anscheinend als selbsternannte Wahrheitsrichter das Recht anmassen, ultimativ festzulegen, was aus ihrer Sicht Propaganda und Fake News einerseits und was echte Informationen und zuverlässige Quellen andererseits sind. Nun kommt es aber oft vor, dass echte Informationen und Fakten von diesen Medien als Fake News und Propaganda deklariert und dadurch zensiert werden, während hingegen eine ganze Menge von Propagandameldungen und Falschinformationen ohne irgendwelche Kontrolle und Überprüfung, d.h. ohne jeden Faktencheck – wovon immer wieder grossspurig dahergeredet wird, wobei immer alles nur einseitig durchgeführt, verbreitet und als wahrhaftig proklamiert wird, und zwar nur deshalb, weil diese Informationen aus westlichen oder prowestlichen Quellen stammen und nicht einer Tatsachenüberprüfung unterzogen worden sind – als echte Nachrichten verbreitet werden.
Le 19 mai 2022, le ministère ukrainien de la Culture et de la Politique de l'information a ordonné à l'Institut du livre de détruire tous les ouvrages publiés en Russie ou en russe, ainsi que ceux traduits du russe. Am 19. Mai 2022 wies das ukrainische Ministerium für Kultur und Informationspolitik das Buchinstitut an, alle in Russland oder auf russisch veröffentlichten, sowie aus dem Russischen übersetzten Werke zu vernichten.
Selon la directrice de l'Institut du livre et ancienne présidente du Forum de l'édition, O. K., il s'agit de détruire au moins 100 millions de livres qui véhiculent soi-disant le mal. Cela rappelle déjà beaucoup les brûlures de livres organisées en 1933 dans l'Allemagne nazie 'contre l'esprit anti-allemand', comme le disait le slogan, et qui consistaient principalement à livrer au feu des ouvrages d'auteurs juifs. Est-ce la raison pour laquelle cette information a été démentie par la plupart des médias du 'monde libre' autoproclamé et qualifiée de fake news, c'est-à-dire de fausse nouvelle ? Selon un rapport d'Amnesty International publié le 4 août 2022 dans un communiqué de presse, l'armée ukrainienne aurait violé à plusieurs reprises le droit international humanitaire pendant la guerre en cours en mettant en danger des personnes civiles. En effet, sur le site allemand de l'organisation de défense des droits de l'homme, on peut lire ce qui suit : Laut der Direktorin des Buchinstituts und ehemaligen Präsidentin des Verlagsforums, O. K, geht es darum, mindestens 100 Millionen Bücher zu vernichten, die angeblich das Böse vermitteln. Das erinnert schon sehr an die 1933 in Nazi-Deutschland veranstalteten Bücherverbrennungen ‹wider den undeutschen Geist›, wie die Parole hiess, wobei hauptsächlich Buchwerke jüdischer Autoren dem Feuer übergeben wurden. Ist das etwa der Grund, warum diese Nachricht von den allermeisten Medien der selbstproklamierten ‹freien Welt› dementiert und als Fake News, d.h. Falschmeldung gebrandmarkt wurde? Laut einem Bericht von ‹Amnesty International›, der am 4. August 2022 in einer Pressemeldung veröffentlicht wurde, soll das ukrainische Militär während des laufenden Krieges das humanitäre Völkerrecht mehrfach verletzt haben, indem es zivile Personen in Gefahr gebracht habe. Auf der deutschen Webseite der Menschenrechtsorganisation ist nämlich folgendes zu lesen:
Selon les enquêtes d'Amnesty International, les troupes ukrainiennes ont mis en danger des civils en installant des bases dans des zones résidentielles et en menant des attaques à partir de là. Elles ont parfois pris position dans des écoles et des hôpitaux. Lors des attaques russes qui ont suivi dans des zones habitées, des civils ont été tués et des infrastructures civiles ont été détruites. En repoussant la guerre d'agression russe, contraire au droit international, l'armée ukrainienne a opéré à plusieurs reprises depuis des zones résidentielles, mettant ainsi en danger des civils. Il s'agit d'une violation du droit international humanitaire. Le fait que les forces armées ukrainiennes se trouvent dans une position de défense ne les dispense pas de leur devoir de respecter les règles du droit international. Ukrainische Truppen haben nach Untersuchungen von Amnesty International Zivilist*innen gefährdet, indem sie Stützpunkte in Wohngebieten errichtet und von dort aus Angriffe durchgeführt haben. Zum Teil bezogen sie in Schulen und Krankenhäusern Position. Bei darauffolgenden russischen Angriffen auf bewohnte Gebiete wurden Zivilist*innen getötet und zivile Infrastruktur zerstört. Bei der Abwehr des völkerrechtswidrigen russischen Angriffskriegs hat das ukrainische Militär wiederholt aus Wohngebieten heraus operiert und damit Zivilpersonen in Gefahr gebracht. Das ist ein Verstoss gegen humanitäres Völkerrecht. Dass die ukrainischen Streitkräfte sich in einer Verteidigungsposition befinden, entbindet sie nicht von ihrer Pflicht, sich an völkerrechtliche Regelungen zu halten.
Extrait de la traduction du communiqué de presse en anglais : Auszug aus der Übersetzung der englischen Pressemitteilung:
Les tactiques de combat ukrainiennes mettent la population civile en danger : Ukrainische Kampftaktik bringt Zivilbevölkerung in Gefahr:
- Les zones résidentielles, les écoles et les hôpitaux servent de bases militaires – Wohngebiete, Schulen und Krankenhäuser dienen als Militärstützpunkte
- Les attaques menées depuis des zones civiles densément peuplées provoquent des représailles – Angriffe aus dicht besiedelten zivilen Gegenden provozieren Vergeltungsschläge
- Ces violations du droit international humanitaire ne justifient toutefois pas les attaques aveugles de la Russie, qui ont fait d'innombrables victimes civiles. – Diese Verstösse gegen das humanitäre Völkerrecht rechtfertigen allerdings nicht die wahllosen Angriffe Russlands mit zahllosen zivilen Opfern.
Les troupes ukrainiennes mettent en danger les civils en installant des bases dans des zones résidentielles peuplées, notamment dans des écoles et des hôpitaux, pour lutter contre l'invasion russe et en utilisant des systèmes d'armes à partir de ces bases. C'est la conclusion à laquelle parvient 'Amnesty International' sur la base de recherches approfondies. De telles tactiques sont contraires au droit international humanitaire et mettent en danger la vie des civils, car des objets civils deviennent ainsi des cibles militaires. Les attaques russes qui ont suivi sur ces zones résidentielles ont tué des civils et détruit des infrastructures civiles. "Nous voyons ici un modèle par lequel les troupes ukrainiennes mettent en danger la population civile et violent les lois de la guerre lorsqu'elles interviennent à partir de zones résidentielles", a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale internationale d'Amnesty International. "Le fait que l'Ukraine soit en position de défense ne dispense pas l'armée ukrainienne de son obligation de respecter le droit international humanitaire. (...) Entre avril et juillet, des experts d'Amnesty International ont passé plusieurs semaines à enquêter sur les attaques russes dans les régions de Kharkiv et de Mykolaïv et dans le Donbass. Ils ont examiné les lieux où les attaques avaient eu lieu, se sont entretenus avec des survivants, des témoins et des proches des victimes, et ont effectué des télédétections et des analyses d'armes. Au cours de ces recherches, les collaborateurs d'Amnesty ont découvert dans 19 villes et villages de ces régions des preuves que les troupes ukrainiennes menaient des attaques à partir de zones résidentielles densément peuplées et qu'elles établissaient des bases dans des bâtiments civils. Le 'Crisis Evidence Lab' d'Amnesty International a en outre confirmé certains de ces événements par l'analyse d'images satellites. Ukrainische Truppen gefährden Zivilpersonen, indem sie im Kampf gegen die russische Invasion in besiedelten Wohngebieten, unter anderem in Schulen und Krankenhäusern, Stützpunkte einrichten und von dort Waffensysteme einsetzen. Zu diesem Schluss kommt ‹Amnesty International› auf der Grundlage umfassender Recherchen. Solche Taktiken verstossen gegen das humanitäre Völkerrecht und gefährden das Leben von Zivilpersonen, da dadurch zivile Objekte als militärische Ziele ins Fadenkreuz geraten. Bei darauffolgenden russischen Angriffen auf diese Wohngebiete wurden Zivilpersonen getötet und zivile Infrastruktur zerstört. «Wir sehen hier ein Muster, mit dem die ukrainischen Truppen bei ihren Einsätzen aus Wohngebieten heraus die Zivilbevölkerung in Gefahr bringen und das Kriegsrecht verletzen», so Agnès Callamard, internationale Generalsekretärin von ‹Amnesty Internationa›l. «Dass sich die Ukraine in einer Verteidigungsposition befindet, entbindet das ukrainische Militär nicht von der Pflicht, sich an humanitäres Völkerrecht zu halten. (…) Zwischen April und Juli verbrachten Expert*innen von‹ Amnesty International› einige Wochen damit, russische Angriffe in den Regionen Charkiw und Mykolajiw und im Donbass zu untersuchen. Sie untersuchten Orte, an denen Angriffe stattgefunden hatten, sprachen mit Überlebenden, Zeug*innen und Angehörigen der Opfer, und führten Fernerkundungen und Waffenanalysen durch. Bei diesen Untersuchungen fanden die ‹Amnesty›-Mitarbeiter*innen in 19 Städten und Dörfern dieser Regionen Belege dafür, dass ukrainische Truppen aus dicht besiedelten Wohngebieten heraus Angriffe durchführten und Stützpunkte in zivilen Gebäuden einrichteten. Das ‹Crisis Evidence Lab› von Amnesty International hat einige dieser Geschehnisse zusätzlich durch die Auswertung von Satellitenaufnahmen bestätigt.
La plupart des zones résidentielles utilisées comme bases se trouvaient à plusieurs kilomètres à l'arrière du front. Des alternatives viables n'impliquant pas de danger pour la population civile auraient été disponibles - comme des bases militaires proches ou des parcelles de forêt ou d'autres bâtiments plus éloignés. Dans les cas documentés par 'Amnesty International', rien n'indique que l'armée ukrainienne ait demandé aux civils vivant dans les quartiers résidentiels d'évacuer les bâtiments proches des bases ou les ait aidés à le faire. Cela signifie que toutes les précautions possibles n'ont pas été prises pour protéger la population civile. Die meisten der als Stützpunkte genutzten Wohngebiete befanden sich mehrere Kilometer hinter der Front. Es wären tragfähige Alternativen verfügbar gewesen, die keine Gefahr für die Zivilbevölkerung bedeutet hätten – wie zum Beispiel nahegelegene Militärstützpunkte oder Waldstücke oder andere weiter entfernte Gebäude. In den von ‹Amnesty International› dokumentierten Fällen liegen keine Hinweise darauf vor, dass das ukrainische Militär die Zivilpersonen in den Wohngegenden aufgefordert oder dabei unterstützt hätte, Gebäude in der Nähe der Stützpunkte zu räumen. Dies bedeutet, dass nicht alle möglichen Vorkehrungen zum Schutz der Zivilbevölkerung getroffen wurden.
Attaques depuis des zones civiles peuplées Angriffe aus besiedelten zivilen Gegenden
Des survivants et des témoins d'attaques russes dans le Donbass, autour de Kharkiv et de Mykolaïv ont raconté à Amnesty que l'armée ukrainienne était active à proximité de leurs maisons au moment des attaques, ce qui faisait de ces régions des cibles de représailles russes. Les experts d'Amnesty Internationa'l ont pu observer ce schéma dans de nombreux endroits. Überlebende und Zeug*innen russischer Angriffe im Donbass und um Charkiw und Mykolajiw berichteten ‹Amnesty›Vertreter*innen, dass das ukrainische Militär zum Zeitpunkt der Angriffe in der Nähe ihrer Häuser aktiv war, was diese Gegenden zur Zielscheibe russischer Vergeltungsschläge machte. Die Expert*innen von ‹Amnesty Internationa›l konnten dieses Muster an zahlreichen Orten beobachten.
Le droit international humanitaire oblige toutes les parties au conflit à éviter, dans la mesure du possible, de placer des objectifs militaires à l'intérieur ou à proximité de zones densément peuplées. Il existe en outre d'autres obligations visant à protéger les civils des conséquences d'éventuelles attaques, par exemple en évacuant les environs ou en avertissant efficacement des attaques susceptibles d'avoir un impact sur la population civile. Amnesty International' s'est entretenue avec la mère d'un homme de 50 ans tué par une attaque de roquettes le 10 juin 2022 dans un village au sud de Mykolajiw : "L'armée s'était installée dans une maison voisine et mon fils apportait souvent des repas aux soldats*. Je l'ai supplié plusieurs fois de ne pas s'approcher de là, car j'avais peur pour lui. L'après-midi de l'attaque, mon fils se trouvait dans la cour et moi dans la maison. Il est mort sur le coup. Son corps a été déchiqueté. Notre maison a été partiellement détruite". Les enquêteurs* dAmnesty International' ont trouvé du matériel militaire et des uniformes dans la maison voisine. Mykola habite dans un quartier de Lysychansk (Donbass), dans une tour qui a été frappée à plusieurs reprises par des attaques russes. Au moins un homme âgé a été tué. Mykola a déclaré à 'Amnesty International' : "Je ne comprends pas pourquoi nos militaires tirent depuis les villes et non depuis les champs". Un homme de 50 ans, qui habite également dans la tour, a déclaré : "Il y a définitivement des activités militaires dans le quartier. Quand on tire dans l'autre sens, on entend ensuite des tirs dans notre direction". Les représentants d'Amnesty ont vu des soldats utiliser une maison située à environ 20 mètres de l'entrée d'un bunker souterrain utilisé par les habitants et près duquel l'homme âgé a été tué. Le 6 mai 2022, dans une ville du Donbass, les troupes russes ont pris pour cible un quartier résidentiel d'où les forces ukrainiennes tiraient de l'artillerie, en utilisant des armes à sous-munitions. Comme leur nom l'indique, les armes à sous-munitions peuvent toucher indistinctement les civils et les soldats* en raison de leur dispersion, et sont donc largement interdites. Des éclats d'obus ont endommagé la maison dans laquelle Anna, 70 ans, vit avec son fils et sa mère de 95 ans. Anna raconte : "Des éclats d'obus ont traversé les portes. Das humanitäre Völkerrecht verpflichtet alle Konfliktparteien, militärische Ziele – soweit praktisch möglich – nicht innerhalb oder in der Nähe dicht bevölkerter Gebiete anzulegen. Es gibt zudem weitere Verpflichtungen zum Schutz von Zivilpersonen vor den Folgen möglicher Angriffe, zum Beispiel durch Evakuieren der Umgebung oder wirksame Warnung vor Attacken, die sich auf die Zivilbevölkerung auswirken könnten. ‹Amnesty International› sprach mit der Mutter eines 50jährigen Mannes, der am 10. Juni 2022 in einem Dorf südlich von Mykolajiw bei einem Raketenangriff getötet wurde: «Das Militär hatte sich in einem Nachbarhaus eingerichtet und mein Sohn brachte den Soldat*innen oft Mahlzeiten. Ich habe ihn mehrmals angefleht, sich von dort fernzuhalten, weil ich Angst um ihn hatte. Am Nachmittag des Angriffs hielt sich mein Sohn im Hof auf und ich war im Haus. Er war sofort tot. Sein Körper wurde in Stücke gerissen. Unser Haus wurde teilweise zerstört.» Ermittler*innen von ‹Amnesty International› fanden in dem Nachbarhaus militärische Ausrüstung und Uniformen. Mykola wohnt in einem Stadtteil von Lysychansk (Donbass) in einem Hochhaus, das mehrfach von russischen Angriffen getroffen wurde. Mindestens ein älterer Mann wurde dabei getötet. Mykola sagte ‹Amnesty International›: «Ich verstehe nicht, warum unser Militär von den Städten und nicht den Feldern aus feuert.» Ein 50-jähriger Mann, der ebenfalls in dem Hochhaus wohnt, sagte: «In der Nachbarschaft kommt es definitiv zu militärischen Aktivitäten. Wenn in die andere Richtung geschossen wird, hören wir danach Schüsse in unsere Richtung.» ‹Amnesty›-Vertreter*innen sahen, wie Soldat* innen ein Wohnhaus nutzten, das etwa 20 Meter vom Eingang zu einem unterirdischen Bunker entfernt lag, der von den Bewohner*innen genutzt wurde und in dessen Nähe der ältere Mann getötet wurde. Am 6. Mai 2022 nahmen russische Truppen in einer Stadt im Donbass eine Wohngegend, aus der ukrainische Streitkräfte Artillerie abfeuerten, mit Streumunition ins Visier. Streumunition kann – wie der Name schon sagt – aufgrund der Streuung unterschiedslos sowohl Zivilpersonen als auch Soldat*innen treffen und ist daher weithin verboten. Granatsplitter beschädigten das Haus, in dem die 70jährige Anna mit ihrem Sohn und ihrer 95-jährigen Mutter lebt. Anna berichtete: «Granatsplitter flogen durch die Türen.
J'étais dans la maison. Les canons ukrainiens étaient près de mon champ (...) Les forces armées étaient derrière le champ, derrière la maison (...) Depuis le début de la guerre, je les ai vus de temps en temps (...) Ma mère est (...) paralysée, donc je ne pouvais pas m'enfuir". Début juillet, un ouvrier agricole a été blessé lorsque les forces russes ont attaqué un entrepôt dans la région de Mykolajiw. Quelques heures après l'attaque, des collaborateurs* dAmnesty International' ont observé des militaires et des véhicules ukrainiens dans l'entrepôt de céréales. Des témoins ont confirmé que l'entrepôt, situé en face d'une ferme habitée, avait été utilisé comme base par l'armée. Alors que les représentants d'Amnesty International enquêtaient sur les dommages causés aux habitations et aux bâtiments publics voisins à Kharkiv et dans les villages du Donbass et à l'est de Mykolaïv, ils ont entendu des tirs provenant de positions militaires ukrainiennes à proximité. A Bakhmout, plusieurs habitants* ont déclaré que l'armée ukrainienne avait utilisé un bâtiment comme base. Il était situé à moins de 20 mètres d'un immeuble civil. Le 18 mai 2022, un missile russe a frappé la façade de l'immeuble, détruisant partiellement cinq appartements et endommageant des bâtiments voisins. Kateryna, une habitante survivante, a déclaré : "Je ne comprenais pas ce qui se passait. [Il y avait] des fenêtres brisées et beaucoup de poussière dans mon appartement (...) Je suis restée ici parce que ma mère ne voulait pas partir. Elle a des problèmes de santé". Trois habitants* ont rapporté qu'avant l'attaque, les forces armées ukrainiennes avaient utilisé un bâtiment situé en face de l'immeuble d'habitation bombardé et que deux véhicules militaires étaient garés devant une autre maison, également endommagée par l'impact du missile. 'Amnesty International' a trouvé des signes de présence militaire à l'intérieur et à l'extérieur du bâtiment, par exemple sous la forme de sacs de sable et de bâches en plastique noir pour obscurcir les fenêtres, ainsi que de nouveaux équipements de premiers secours fabriqués aux États-Unis. "Nous ne pouvons pas décider de ce que l'armée fait, mais nous en payons le prix", a déclaré un habitant dont la maison a été endommagée par l'impact. Ich war im Haus. Die ukrainischen Geschütze waren in der Nähe meines Feldes (…) Die Streitkräfte waren hinter dem Feld, hinter dem Haus (…) Seit Ausbruch des Krieges habe ich sie immer mal wieder gesehen (…) Meine Mutter ist (…) gelähmt, daher konnte ich nicht fliehen.» Anfang Juli wurde ein Landarbeiter verletzt, als die russischen Streitkräfte ein Lagerhaus in der Gegend um Mykolajiw angriffen. Wenige Stunden nach dem Angriff beobachteten Mitarbeiter*innen von ‹Amnesty International› ukrainische Militärangehörige und -fahrzeuge im Getreidelager. Zeug*innen bestätigten, dass das Lagerhaus, das gegenüber einem bewohnten Bauernhof lag, von der Armee als Stützpunkt genutzt worden war. Während ‹Amnesty›-Vertreter*innen entstandene Schäden an Wohnhäusern und angrenzenden öffentlichen Gebäuden in Charkiw und in Dörfern im Donbass und östlich von Mykolajiw untersuchten, hörten sie Schüsse aus ukrainischen Militärstellungen in der Nähe. In Bachmut berichteten mehrere Anwohner*innen, dass das ukrainische Militär ein Gebäude als Stützpunkt genutzt hatte. Es lag keine 20 Meter von einem zivilen Hochhaus entfernt. Am 18. Mai 2022 schlug eine russische Rakete in die Fassade des Gebäudes ein, zerstörte fünf Wohnungen teilweise und beschädigte benachbarte Gebäude. Kateryna, eine überlebende Bewohnerin, sagte: «Ich verstand nicht, was vor sich ging. [Da waren] zerbrochene Fenster und eine Menge Staub in meiner Wohnung (…) Ich bin hiergeblieben, weil meine Mutter nicht weg gehen wollte. Sie hat gesundheitliche Probleme.» Drei Anwohner*innen berichteten, dass die ukrainischen Streitkräfte vor dem Angriff ein Gebäude gegenüber dem bombardierten Wohnhaus genutzt hatten, und dass zwei Militärfahrzeuge vor einem anderen Haus geparkt waren, das beim Einschlag der Rakete ebenfalls beschädigt wurde. ‹Amnesty International› fand innerhalb und ausserhalb des Gebäudes Anzeichen für eine Militärpräsenz, zum Beispiel in Form von Sandsäcken und schwarzen Plastikplanen zum Verdunkeln der Fenster sowie neue, in den USA hergestellte Erste-Hilfe-Ausrüstung. «Wir können nicht bestimmen, was das Militär tut, aber den Preis dafür zahlen wir», sagte ein Anwohner, dessen Haus bei dem Einschlag beschädigt wurde.
Bases militaires dans les hôpitaux Militärstützpunkte in Krankenhäusern
Les collaborateurs d'Amnesty International ont pu observer à cinq endroits comment les forces armées ukrainiennes utilisaient de facto les hôpitaux comme bases militaires. Dans deux villes, des dizaines de soldats ont utilisé les hôpitaux pour se reposer ou pour y prendre des repas. Dans une autre ville, les militaires ont tiré des projectiles à proximité de l'hôpital. Le 28 avril, deux employés d'un laboratoire médical ont été blessés dans une attaque aérienne russe dans la banlieue de Kharkiv, après que les forces armées ukrainiennes ont installé une base sur le site. L'utilisation d'hôpitaux à des fins militaires constitue une violation manifeste du droit international humanitaire. Mitarbeiter*innen von ‹Amnesty International› konnten an fünf Orten beobachten, wie ukrainische Streitkräfte Krankenhäuser faktisch als Militärstützpunkte nutzten. In zwei Städten wurden Krankenhäuser von Dutzenden Soldat*innen dazu genutzt, sich auszuruhen bzw. sich dort aufzuhalten und Mahlzeiten zu sich zu nehmen. In einer anderen Stadt feuerte das Militär aus der Nähe des Krankenhauses Geschosse ab. Am 28. April wurden in einem Vorort von Charkiw bei einem russischen Luftangriff zwei Mitarbeiter*innen eines medizinischen Labors verletzt, nachdem die ukrainischen Streitkräfte auf dem Gelände einen Stützpunkt eingerichtet hatten. Die Nutzung von Krankenhäusern für militärische Zwecke ist ein klarer Verstoss gegen das humanitäre Völkerrecht.
Bases militaires dans les ecoles Militärstützpunkte in Schulen
Des écoles sont également régulièrement utilisées comme bases par les forces ukrainiennes dans différentes villes et villages du Donbass et dans la région de Mykolaïv. Bien que les écoles soient temporairement fermées depuis le début du conflit, dans la plupart des cas, les bâtiments scolaires sont situés à proximité de quartiers civils habités. Dans 22 des 29 écoles visitées par les représentants d'Amnesty, les locaux étaient soit utilisés par les forces armées, soit des preuves d'activités militaires actuelles ou passées, telles que des vêtements militaires, des munitions utilisées, des rations alimentaires et des véhicules militaires ont été trouvées. L'armée russe a attaqué de nombreuses écoles utilisées par les forces armées ukrainiennes. Dans au moins trois villes, des soldats ukrainiens* ont déménagé dans d'autres écoles à proximité après avoir essuyé des tirs russes, exposant ainsi les quartiers environnants au risque d'attaques similaires. Dans une ville à l'est d'Odessa, Amnesty International a observé un schéma selon lequel les forces ukrainiennes utilisaient des zones civiles comme abris et salles d'attente. Par exemple, des véhicules blindés ont été garés sous des arbres dans des zones résidentielles et deux écoles ont été utilisées à des fins militaires dans des zones résidentielles densément peuplées. Entre avril et fin juin, des obus russes se sont abattus à plusieurs reprises à proximité de ces écoles, blessant ou tuant plusieurs civils. Parmi eux, un enfant et une femme âgée ont perdu la vie le 28 juin, lorsque leur maison a été touchée par un missile. A Bakhmout, les forces armées ukrainiennes utilisaient un bâtiment universitaire comme base, qui a été touché par une attaque russe le 21 mai 2022. Sept soldats auraient été tués. L'université est adjacente à un immeuble d'habitation qui a été endommagé lors de l'attaque, ainsi qu'à d'autres habitations civiles situées à environ 50 mètres de là. Amnesty International a trouvé un véhicule militaire détruit dans la cour intérieure du bâtiment universitaire bombardé. Le droit international humanitaire n'interdit pas explicitement aux parties au conflit de s'installer dans des écoles qui ne sont pas en service. Toutefois, les forces armées sont tenues, dans la mesure du possible, de ne pas utiliser les écoles situées à proximité de maisons ou d'habitations civiles, sauf en cas de nécessité militaire impérieuse. Si c'est le cas, ils doivent avertir la population civile et, le cas échéant, aider les gens à évacuer. Cela ne semble pas avoir été fait dans les cas étudiés par Amnesty International. Dans les conflits armés, le droit des enfants à l'éducation est sérieusement compromis. L'utilisation d'écoles à des fins militaires peut entraîner des dommages dans les écoles, ce qui continue de compromettre le droit à l'éducation même après la fin de la guerre. L'Ukraine fait partie des 114 pays qui ont signé la Déclaration sur la protection des écoles en période de conflit armé. Cette déclaration autorise les parties au conflit à utiliser des écoles abandonnées ou évacuées uniquement s'il n'existe pas d'alternative réalisable". Auch Schulen werden in verschiedenen Städten und Dörfern im Donbass und in der Gegend um Mykolajiw von ukrainischen Streitkräften regelmässig als Stützpunkte genutzt. Die Schulen sind seit Beginn des Konflikts zwar vorübergehend geschlossen, doch in den meisten Fällen befinden sich die Schulgebäude in der Nähe von bewohnten zivilen Vierteln. In 22 der 29 von ‹Amnesty›-Vertreter*innen besuchten Schulen wurden die Räumlichkeiten entweder gerade von Streitkräften genutzt oder es fanden sich Belege für aktuelle oder frühere militärische Aktivitäten wie etwa Militärkleidung, verbrauchte Munition, Essensrationen und Militärfahrzeuge. Das russische Militär griff zahlreiche der von den ukrainischen Streitkräften genutzten Schulen an. In mindestens drei Städten zogen ukrainische Soldat*innen nach russischem Beschuss in andere Schulen in der Nähe um, sodass die umliegenden Stadtteile der Gefahr ähnlicher Angriffe ausgesetzt waren. In einer Stadt östlich von Odessa beobachtete ‹Amnesty International› ein Schema, nach dem ukrainische Streitkräfte zivile Gebiete als Unterkünfte und Bereitstellungsräume nutzten. So wurden beispielsweise Panzerfahrzeuge unter Bäumen in Wohngebieten abgestellt und zwei Schulen in dicht besiedelten Wohngegenden militärisch genutzt. Zwischen April und Ende Juni schlugen in der Nähe dieser Schulen mehrmals russische Geschosse ein, die mehrere Zivilpersonen verletzten oder töteten. Darunter auch ein Kind und eine ältere Frau, die am 28. Juni ums Leben kamen, als ihr Haus von einer Rakete getroffen wurde. In Bachmut nutzten die ukrainischen Streitkräfte ein Universitätsgebäude als Stützpunkt, das am 21. Mai 2022 bei einem russischen Angriff getroffen wurde. Berichten zufolge wurden dabei sieben Soldat*innen getötet. Die Universität grenzt an ein Mehrparteienhaus, das bei dem Angriff beschädigt wurde, sowie an weitere zivile Wohnhäuser in etwa 50 Metern Entfernung. ‹Amnesty International› fand ein zerstörtes Militärfahrzeug im Innenhof des bombardierten Universitätsgebäudes. Das humanitäre Völkerrecht verbietet es Konfliktparteien nicht ausdrücklich, sich in Schulen einzuquartieren, die nicht in Betrieb sind. Streitkräfte sind jedoch verpflichtet, Schulen, die sich in der Nähe von zivilen Häusern bzw. Wohngebäuden befinden, nach Möglichkeit nicht zu nutzen, es sei denn, es besteht eine zwingende militärische Notwendigkeit. Wenn dies der Fall ist, haben sie die Zivilbevölkerung zu warnen und den Menschen gegebenenfalls bei der Evakuierung zu helfen. Dies scheint in den von Amnesty International untersuchten Fällen nicht geschehen zu sein. In bewaffneten Konflikten wird das Recht von Kindern auf Bildung ernsthaft beeinträchtigt. Die militärische Nutzung von Schulen kann zu Schäden an den Schulen führen, die das Recht auf Bildung auch nach Beendigung des Krieges weiter beeinträchtigen. Die Ukraine gehört zu den 114 Ländern, die die Erklärung zum Schutz von Schulen in bewaffneten Konflikten unterzeichnet haben. Diese Erklärung erlaubt den Konfliktparteien die Nutzung verlassener oder evakuierter Schulen nur dann, wenn es keine umsetzbare Alternative gibt.»
(Source: www.amnesty.de/allgemein/pressemitteilung/ukraine-kampftaktik-der-ukrainischen-armee-gefaehrdetzivilpersonen) (Quelle: www.amnesty.de/allgemein/pressemitteilung/ukraine-kampftaktik-der-ukrainischen-armee-gefaehrdetzivilpersonen)
Ce rapport a suscité de vives critiques et de l'irritation de la part du gouvernement de Kiev et du président de la République, qui l'ont qualifié de faux document dans lequel une inversion bourreau-victime aurait été faite. L'organisation de défense des droits de l'homme a réagi dans un communiqué en ces termes (extrait) : "'Amnesty International' regrette profondément la douleur et la colère que notre communiqué de presse sur les tactiques de combat de l'armée ukrainienne a suscitées". La directrice de la filiale ukrainienne dAmnesty International' a alors démissionné en signe de protestation, accusant la célèbre organisation internationale de défense des droits de l'homme d'avoir fait de son rapport 'un outil de la propagande russe'. Dieser Bericht stiess auf scharfe Kritik und Verärgerung seitens der Kiewer Regierung und des Staatspräsidenten, die es als ein falsches Dokument bezeichneten, in dem eine Täter-Opfer-Umkehr gemacht worden sei. Darauf reagierte die Menschenrechtsorganisation in einem Statement mit folgenden Worten (Auszug): «‹Amnesty International› bedauert tief den Schmerz und Ärger, den unsere Pressemeldung über die Kampftaktiken des ukrainische Militärs ausgelöst hat.» Daraufhin trat die Leiterin der ukrainischen Filiale von ‹Amnesty International› aus Protest zurück und warf der renommierten internationalen Menschenrechtsorganisation vor, ihr Bericht sei ‹zu einem Werkzeug der russischen Propaganda geworden›.
Selon les observations pléiariennes et les données de contact correspondantes, il est également vrai que les prisonniers de guerre russes sont souvent tués par des militaires ukrainiens, ce qui est également le fait de la Russie et constitue une grave violation de la Convention de Genève, qui stipule que les prisonniers de guerre ne doivent pas être torturés ou tués. Et en ce qui concerne les crimes flagrants commis dans cette guerre et cachés au public, on peut lire ce qui suit dans les récents rapports de contact plejarischen : Laut plejarischen Beobachtungen und entsprechenden Kontaktberichtangaben ist es auch so, dass russische Kriegsgefangene oft durch ukrainisches Militär getötet werden, was auch von russischer Seite geschieht und ein schwerer Verstoss gegen die Genfer Konvention darstellt, welche beinhaltet, dass Kriegsgefangene nicht gefoltert oder getötet werden dürfen. Und bezüglich der himmelschreienden Verbrechen, die in diesem Krieg verübt und der Öffentlichkeit verheimlicht werden, ist in den neueren plejarischen Kontaktberichten Folgendes zu lesen:
Quinto: Quinto:
(…) Cependant, la guerre en Ukraine est diffusée par les médias dans les pays voisins et dans le monde entier à l'aide de fausses informations, de mensonges et d'informations trompeuses, de telle sorte que les crimes de guerre commis par l'armée ukrainienne sont passés sous silence, tout comme les agissements et les crimes de guerre commis par des mercenaires et des aventuriers étrangers provenant de nombreux pays étrangers, ainsi que d'Ukraine et de Russie. Comme nous avons pu l'observer, ... et moi-même, des mercenaires, qui sont en réalité tous des meurtriers passionnés, débauchés et endurcis, ont tiré sur des réfugiés et leurs véhicules avec des armes russes capturées et ont tué des personnes - femmes, hommes et enfants. Mais cela a ensuite été attribué aux militaires russes par des affirmations mensongères. Ces personnes dégénérées n'éprouvent aucun sentiment de remords, de honte ou de culpabilité, car en réalité, elles sont bien pires que les animaux sauvages dégénérés que vous appelez Maneater. (…) (…) Der Ukrainekrieg wird jedoch durch die Medien mit einseitigen Falschmeldungen, Lügen und Betrugsnachrichten sowohl in den Anliegerstaaten, wie auch in der ganzen Welt verbreitet, und zwar derart, dass die Kriegsverbrechen der ukrainischen Armee ebenso verschwiegen werden, wie die Machenschaften und Kriegsverbrechen fremder Söldner und Abenteurer aus vielen fremden Staaten, wie auch aus der Ukraine selbst und aus Russland. Wie wir, … und ich, beobachten konnten, wurden von Söldnern, die wahrheitlich alle leidenschaftliche und ausgeartete sowie abgebrühte Mörder sind, Flüchtlinge und deren Fahrzeuge mit erbeuteten russischen Waffen beschossen und die Menschen getötet – Frauen, Männer und Kinder. Dies wurde jedoch später durch Lügenbehauptungen dem Russenmilitär angelastet. Diese ausgearteten Menschen kennen keine Gefühle der Reue, der Schande und der Schuld, denn wahrheitlich sind sie viel schlimmer als ausgeartete wilde Tiere, die bei euch Maneater genannt werden. (…)
Ptaah: Ptaah:
(…) Tu savais déjà depuis l'époque de Sfath que la guerre allait éclater en Ukraine, je le savais, mais tu n'avais pas vu tout ce qui allait se passer à l'époque. Ni le fait que des aventuriers, d'autres tueurs et violeurs entrent en Ukraine et font certaines choses, comme certains militaires ukrainiens qui violent, assassinent et enterrent leurs propres compatriotes, mais qui mettent ensuite cela sur le dos des ennemis, ce qui ne sera jamais clarifié. Bien sûr, les militaires ennemis font de même, mais tout ne peut pas leur être imputé. Ainsi, il m'a été rapporté que nos surveillances ont observé à différents endroits des actes de ce type commis par des aventuriers étrangers, certains militaires ukrainiens et des compagnons assassins venus d'ailleurs, dans la région de la capitale, Kiev, ainsi qu'ailleurs. Jusqu'à présent, nos surveillances ont également enregistré un grand nombre de pillages, commis par des militaires ukrainiens et des membres de la population du pays, ainsi que, bien sûr, par des militaires ennemis. Beaucoup sont surpris en train de piller, et s'il s'agit de personnes appartenant au pays, elles sont tout simplement abattues sans pitié par des compatriotes, qu'il s'agisse d'hommes, de femmes ou d'enfants. (…) Dass der Krieg in der Ukraine kommen wird, das wusstest du ja schon seit der Zeit mit Sfath, das ist mir bekannt, doch was sich alles ergeben wird, das habt ihr damals nicht alles beschaut. Auch nicht umfänglich das, dass Abenteurer, sonstige Lustmörder und Vergewaltiger in die Ukraine einreisen und einiges tun, wie einige des ukrainischen Militärs, die eigene Landsleute vergewaltigen, ermorden und verscharren, dies dann aber den Feinden zuschieben, was niemals abgeklärt werden wird. Natürlich tun die feindlichen Militärs dasselbe, doch nicht alles kann auf diese geschoben werden. So wurde mir berichtet, dass diesbezüglich von unseren Überwachungen an verschiedenen Orten beobachtet wurde, wie sich solcherart Geschehen durch landesfremde Abenteurer, einige des ukrainischen Militärs und zugereiste Mördergesellen, zutrugen, so im Bereich der Hauptstadt Kiew, wie auch anderswo. Auch Plündereien haben unsere Überwachungen bisher in grossem Masse registriert, und zwar von ukrainischem Militär und von landeseigenen Bevölkerungsteilen, wie natürlich auch von feindlichen Militärs. Viele werden beim Plündern ertappt, und wenn es landeseigene Personen sind, dann werden sie von Landsleuten gnadenlos einfach erschossen, und zwar Männer, wie auch Frauen und Kinder.
Il convient également de mentionner que, selon un documentaire de la chaîne de télévision américaine CBS intitulé 'Arming Ukraine', mais qui a été retiré du site web de la chaîne immédiatement après sa publication, seulement 30% des armes fournies par les États-Unis sont livrées à l'armée ukrainienne. Dans le film, Donatella Rovera, membre d'Amnesty International et experte en violations des droits de l'homme dans la guerre d'Ukraine, a été interviewée et a affirmé qu'il s'était passé en Ukraine quelque chose de similaire à ce qui s'était passé en Irak, lorsque l'EI avait pu s'emparer d'importantes quantités d'armes américaines livrées au gouvernement irakien de l'époque et ainsi développer son œuvre terroriste internationale. Il peut en effet arriver que la majeure partie des armes livrées à l'Ukraine par les États-Unis et d'autres pays occidentaux tombent entre les mains de marchands d'armes sans scrupules, de terroristes, d'extrémistes, de criminels et d'organisations criminelles. Es soll auch erwähnt werden, dass laut einem Dokumentarfilm des amerikanischen Fernsehsenders CBS unter dem Titel ‹Arming Ukraine›, der aber unmittelbar nach seiner Veröffentlichung von der Webseite des Senders entfernt wurde, nur 30% der von den USA gelieferten Waffen an das ukrainische Militär gelangen. Im Film wurde das Mitglied von ‹Amnesty International› und Expertin für Menschenrechtsverletzungen im Ukraine-Krieg Donatella Rovera interviewt, die behauptet, dass in der Ukraine Ähnliches wie im Irak geschah, als der IS grosser, an die damalige irakische Regierung gelieferter amerikanischer Waffenmengen habhaft werden und somit sein internationales Terrorwerk ausbauen konnte. Passieren kann nämlich, dass der Grossteil der von den USA und anderen Westländern an die Ukraine gelieferten Waffen in die Hände von skrupellosen Waffenhändlern, Terroristen, Extremisten, Kriminellen und Verbrechenorganisationen fallen.
A suivre Forts. folgt

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FIGU-Zeitzeichen Sonderausgabe 34 PDF (FIGU Switzerland)