Difference between revisions of "Escalation of the Ukraine crisis will be a windfall for the IS"

From L'avenir de l'humanité
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Ukraine plays an important role in Russia's energy trade. Ukraine's pipeline provide transit to 80 percent of the natural gas Russia sends to European markets, and Ukraine itself is a major market for Russian gas. Militarily, Ukraine is also important to Russia as a buffer state, and was home to Russia's Black Sea fleet, based in the Crimean port city of Sevastopol under a bilateral agreement between the two states.  
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L'Ukraine joue un rôle important dans le commerce énergétique de la Russie. Le gazoduc ukrainien assure le transit de 80 % du gaz naturel que la Russie envoie vers les marchés européens, et l'Ukraine elle-même est un marché majeur pour le gaz russe. Sur le plan militaire, l'Ukraine est également importante pour la Russie en tant qu'État tampon et abritait la flotte russe de la mer Noire, basée dans la ville portuaire de Crimée de Sébastopol en vertu d'un accord bilatéral entre les deux États.
  
  
Central European countries were being assimilated into EU influence, and by proxy, NATO. Putin, alarmed by this, conceived a strong Eurasian Customs Union as a buffer. US and EU knew from the beginning that Putin's vision of a strong Eurasian Union balance heavily on participation of Ukraine and wresting Ukraine from Russian sphere would deal a hard blow to Putin's dream and also disrupt Russian gas supply to Europe through Ukraine.  
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Les pays d'Europe centrale étaient assimilés à l'influence de l'UE et, par procuration, à l'OTAN. Poutine, alarmé par cela, a conçu une union douanière eurasienne forte comme tampon. Les États-Unis et l'UE savaient dès le début que la vision de Poutine d'une Union eurasienne forte reposant lourdement sur la participation de l'Ukraine et l'arrachement de l'Ukraine à la sphère russe porterait un coup dur au rêve de Poutine et perturberait également l'approvisionnement en gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine.
  
  
So how does the current situation in Ukraine come to be against the backdrop of US/NATO and Russian geopolitical influence in Ukraine? Contrary to popular belief, US intervention in Ukraine to form a pro-western Government is decade or more old. Before the 2004 election US government, through the US Agency for International Development (USAID), granted millions of dollars to the Poland-America-Ukraine Cooperation Initiative (PAUCI), which is administered by the US-based Freedom House. PAUCI then sent US Government funds to numerous Ukrainian non-governmental organizations (NGO’s). These NGO’s were squarely in favour of one candidate – Viktor Yushchenko of the Independence Party. Some of these so called NGOs included International Center for Policy Studies on whose board Yushchenko was an advisor, then The Western Ukraine Regional Training Center which was allegedly supported by USAID.
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Alors, comment la situation actuelle en Ukraine se situe-t-elle dans le contexte de l'influence géopolitique des États-Unis, de l'OTAN et de la Russie en Ukraine ? Contrairement à la croyance populaire, l'intervention américaine en Ukraine pour former un gouvernement pro-occidental date d'au moins une décennie. Avant les élections de 2004, le gouvernement américain, par l'intermédiaire de l'Agence américaine pour le développement international (USAID), a accordé des millions de dollars à l'Initiative de coopération Pologne-Amérique-Ukraine (PAUCI), qui est administrée par Freedom House, basée aux États-Unis. PAUCI a ensuite envoyé des fonds du gouvernement américain à de nombreuses organisations non gouvernementales (ONG) ukrainiennes. Ces ONG étaient carrément en faveur d'un candidat – Viktor Yushchenko du Parti de l'Indépendance. Certaines de ces soi-disant ONG comprenaient le Centre international d'études politiques au conseil d'administration duquel Iouchtchenko était conseiller,
 
  
In 2004 election, Yushchnko got 39.90% vote to Yanukovich's 39.26%. As per Ukrainian system a second round vote was conducted since no one got 50%. In the second round, Yushchnko got 46.61% vote to Yanukovich's 49.46%. Several foreign and domestic observers declared the run-off as unfair and massive protests, so-called “Orange revolution” followed. Subsequent court ruling annulled the second round and a third round was held where Yushchnko got 51.99% vote to Yanukovich's 44.20% and Yushchnko was declared winner. The voting pattern indicated clear geographical divide, with pro-Europe Western and Central Ukraine voting Yushchnko and Eastern Ukraine voting Yanukovich, western and central Ukraine being mostly Ukrainian speaking and Eastern Ukraine with traditional ties with Russia and the Russian language.
 
  
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Lors des élections de 2004, Iouchtchnko a obtenu 39,90 % des voix contre 39,26 % pour Ianoukovitch. Selon le système ukrainien, un vote au second tour a été organisé puisque personne n'a obtenu 50 %. Au second tour, Iouchtchnko a obtenu 46,61 % des voix contre 49,46 % pour Ianoukovitch. Plusieurs observateurs étrangers et nationaux ont qualifié le second tour de manifestations injustes et massives, la soi-disant «révolution orange» a suivi. Une décision de justice ultérieure a annulé le deuxième tour et un troisième tour a eu lieu où Iouchtchnko a obtenu 51,99% des voix contre 44,20% pour Ianoukovitch et Iouchtchnko a été déclaré vainqueur. Le schéma de vote a indiqué une nette division géographique, l'Ukraine occidentale et centrale pro-européenne votant Iouchtchnko et l'Ukraine orientale votant Ianoukovitch, l'Ukraine occidentale et centrale étant principalement de langue ukrainienne et l'Ukraine orientale ayant des liens traditionnels avec la Russie et la langue russe.
  
Yushchnko, perhaps in a bid to strengthen his pro-Europe base further (among other obvious reasons), increased his anti-Russian rhetoric. At one point in 2009, Russian President Medvedev directed an open letter to Yushchnko raising concerns on his anti-Russian policies and rhetoric. The Russians were worried they were going to have a NATO state at their border with 80% of Russian gas supply control. Many believe at this point of time the Russians realized they need to do something in Ukraine to protect their interests. 2010 elections happened, and after the costly election, Yanukovich won the election. Despite his main opponent Tymoshenko's claim that second round was unfair, Yanukovich came to power and that was supported by NATO, EU, Russia and all major countries. Note that at this point of time Yanukovich started to promote a more balanced view of Ukraine’s involvement with EU and Russia including promoting a “neutral” approach to EU and Russia.
 
  
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Iouchtchnko, peut-être dans le but de renforcer davantage sa base pro-européenne (entre autres raisons évidentes), a intensifié sa rhétorique anti-russe. À un moment donné en 2009, le président russe Medvedev a adressé une lettre ouverte à Iouchtchnko faisant part de ses inquiétudes sur sa politique et sa rhétorique anti-russes. Les Russes craignaient d'avoir un État de l'OTAN à leur frontière avec 80% du contrôle de l'approvisionnement en gaz russe. Beaucoup pensent qu'à ce moment-là, les Russes ont réalisé qu'ils devaient faire quelque chose en Ukraine pour protéger leurs intérêts. Les élections de 2010 ont eu lieu et, après des élections coûteuses, Ianoukovitch a remporté les élections. Malgré l'affirmation de son principal adversaire Timochenko selon laquelle le second tour était injuste, Ianoukovitch est arrivé au pouvoir et a été soutenu par l'OTAN, l'UE, la Russie et tous les grands pays.
  
Yanukovich declared that Ukraine would never be part of NATO but NATO would be a strategic partner. He passed a law where it would accept Russian as the second state language where Russian speaking citizens are 10% or more. He also renewed Russian lease of Sevastopol naval base in exchange of cheaper gas, amid protests. On the other hand, he also promised to push forward a Ukraine EU free trade zone and visa-free travel. So far good with the balancing act.
 
  
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Ianoukovitch a déclaré que l'Ukraine ne ferait jamais partie de l'OTAN mais que l'OTAN serait un partenaire stratégique. Il a adopté une loi où il accepterait le russe comme deuxième langue d'État où les citoyens russophones sont 10% ou plus. Il a également renouvelé le bail russe de la base navale de Sébastopol en échange de gaz moins cher, au milieu des protestations. D'autre part, il a également promis de faire avancer une zone de libre-échange Ukraine-UE et des voyages sans visa. Jusqu'ici bon avec l'acte d'équilibrage.
  
But it was when Yanukovich dismissed association agreement with EU and accepted deeper integration with Russia, that protests erupted in November 2013. As per New York times “Protest leaders said they intended to make Mr. Yanukovich a prisoner in his own capital on Monday, with streets blocked, government buildings surrounded or occupied and possibly a general strike by workers and students. A map was posted on Facebook showing supporters where to put their vehicles to obstruct traffic.”
 
  
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Mais c'est lorsque Ianoukovitch a rejeté l'accord d'association avec l'UE et accepté une intégration plus profonde avec la Russie que des manifestations ont éclaté en novembre 2013. des rues bloquées, des bâtiments gouvernementaux encerclés ou occupés et peut-être une grève générale des travailleurs et des étudiants. Une carte a été publiée sur Facebook montrant aux supporters où mettre leurs véhicules pour gêner la circulation.
  
Viktor Yanukovych, who was following a middle path of integration with Europe and mending relationship with Russia suddenly suspended Ukraine–European Union Association Agreement. Something happened that made Yanukovych flip. Ukraine had asked for US$27 billion in loans and aid. The EU was willing to offer $838 million in loans. Russia was willing to offer $15 billion in debt relief and gas prices at 1/3rd rate. In addition to the money, the EU required major changes to the regulations and laws in Ukraine. Russia, however, did not. In short, Yanukovych was offered a better deal by Putin that was not only good for Ukraine in the short term, but for Yanukovich also.
 
  
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Viktor Ianoukovitch, qui suivait une voie médiane d'intégration avec l'Europe et de rétablissement des relations avec la Russie, a soudainement suspendu l'accord d'association Ukraine-Union européenne. Il s'est passé quelque chose qui a fait basculer Ianoukovitch. L'Ukraine avait demandé 27 milliards de dollars de prêts et d'aide. L'UE était disposée à offrir 838 millions de dollars de prêts. La Russie était disposée à offrir 15 milliards de dollars d'allégement de la dette et des prix du gaz au taux de 1/3. En plus de l'argent, l'UE a exigé des modifications majeures des réglementations et des lois en Ukraine. La Russie, cependant, ne l'a pas fait. En bref, Ianoukovitch s'est vu offrir une meilleure offre par Poutine, ce qui n'était pas seulement bon pour l'Ukraine à court terme, mais aussi pour Ianoukovitch.
  
Violence continued with many rounds of failed peace deals in between. Yanukovych absconded in February 2014 and Crimean uprising began. On March 1st Russian parliament approved President Vladimir Putin's request to use force in Ukraine to protect Russian interests. President Putin also signed a bill to absorb Crimea into the Russian Federation. By May, pro-Russian separatists in Donetsk and Luhansk declared independence after unrecognised referendums. In June 2014, primary objective of securing safety of Russian speaking region being largely realised, Russia's parliament cancelled the previous parliamentary resolution authorising the use of Russian forces in Ukraine. Peter (or Petro) Poroshenko of Party of Regions (PoR) was sworn in as President of Ukraine in the same month. In July, the EU signed the landmark association agreement with Ukraine. MH17 also got shot down in July, allegedly by Russian backed separatists in a criminal act.
 
  
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La violence s'est poursuivie avec de nombreuses séries d'accords de paix ratés entre les deux. Ianoukovitch s'est enfui en février 2014 et le soulèvement de Crimée a commencé. Le 1er mars, le parlement russe a approuvé la demande du président Vladimir Poutine d'utiliser la force en Ukraine pour protéger les intérêts russes. Le président Poutine a également signé un projet de loi visant à intégrer la Crimée dans la Fédération de Russie. En mai, les séparatistes pro-russes de Donetsk et Louhansk ont ​​déclaré leur indépendance après des référendums non reconnus. En juin 2014, l'objectif principal d'assurer la sécurité de la région russophone étant largement réalisé, le parlement russe a annulé la précédente résolution parlementaire autorisant l'utilisation des forces russes en Ukraine. Peter (ou Petro) Porochenko du Parti des régions (PoR) a prêté serment en tant que président de l'Ukraine le même mois. En juillet, l'UE a signé l'accord d'association historique avec l'Ukraine. Le MH17 a également été abattu en juillet, prétendument par des séparatistes soutenus par la Russie dans le cadre d'un acte criminel.
  
Sporadic violence continues to this date with death toll exceeding 5000. Sanctions and counter-sanctions have hurt Russia and Europe, while US, due to its insignificant dependency on Russian trade so far escaped unhurt by pushing the clueless Europeans against Russia.
 
  
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La violence sporadique se poursuit à ce jour avec un nombre de morts supérieur à 5 000. Les sanctions et contre-sanctions ont blessé la Russie et l'Europe, tandis que les États-Unis, en raison de leur dépendance insignifiante au commerce russe, sont jusqu'à présent sortis indemnes en poussant les Européens désemparés contre la Russie.
  
Both sides (Russian and Ukraine/EU) have been guilty of misadventure that led to escalation.
 
  
In a leaked phone conversation with Geoffrey Pyatt, the US ambassador to Ukraine, Nuland boasted that the US had invested $5 billion to "build democratic skills and institutions" in Ukraine.  
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Les deux parties (Russie et Ukraine/UE) se sont rendues coupables d'une mésaventure qui a conduit à l'escalade.
  
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Dans une conversation téléphonique avec Geoffrey Pyatt, l'ambassadeur des États-Unis en Ukraine, qui a fait l'objet d'une fuite, Nuland s'est vanté que les États-Unis avaient investi 5 milliards de dollars pour « renforcer les compétences et les institutions démocratiques » en Ukraine.
  
Sergey Kaplin, a (Petro) Poroshenko Block Rada Deputy recently declared on Ukrainian TV on the Donbass war: “Let’s get to the truth. Who caused the situation in the East? When they say ‘only Putin’, that’s a very convenient answer. But it's not so! It was caused by Yatsenyuk (Prime Minister Arseniy Yatsenyuk) and the current head of SDC (Security and Defence Committee chief Aleksandr Turchinov)”.
 
  
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Sergey Kaplin, un député de (Petro) Porochenko Block Rada a récemment déclaré à la télévision ukrainienne sur la guerre du Donbass : « Allons à la vérité. Qui a causé la situation à l'Est ? Quand ils disent "seulement Poutine", c'est une réponse très pratique. Mais ce n'est pas le cas ! Il a été causé par Iatseniouk (Premier ministre Arseniy Iatseniouk) et l'actuel chef du SDC (chef du comité de sécurité et de défense Aleksandr Turchinov) ».
  
Western agencies for 2 decades were so much used to deal with dysfunctional dictatorship that they failed to sum up to Putin. Overstretched by a phoney war in Iraq, followed by a pipe-dream of pro-western democracy in the Middle East, the US led NATO already was inadequate to deal with Putin before the Ukraine crisis. Putin is not Saddam, neither Assad and Russia is not Iraq or Syria. In fact, in Putin, the current world order led by US faces the greatest challenge ahead of the calculative Chinese who seem to prefer to wait till the enemy (US) is weakest. In many ways Putin's handling of the Ukrainian situation have been several times effective than handling by US and West. Putin has been trumping overconfident West in the very game they are champions – feeding counter-information, misinformation and disinformation to wrest world opinion in favour. With repeated lying exposed, nobody trust western media now. The media manipulation card have been overplayed. Putin is exploiting this to create confusion around Russian involvement in Ukraine.
 
  
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Pendant 2 décennies, les agences occidentales ont été tellement utilisées pour faire face à une dictature dysfonctionnelle qu'elles n'ont pas réussi à résumer Poutine. Dépassée par une guerre bidon en Irak, suivie d'une chimère de démocratie pro-occidentale au Moyen-Orient, l'OTAN dirigée par les États-Unis était déjà inadéquate pour faire face à Poutine avant la crise ukrainienne. Poutine n'est pas Saddam, ni Assad et la Russie n'est pas l'Irak ou la Syrie. En fait, chez Poutine, l'ordre mondial actuel dirigé par les États-Unis fait face au plus grand défi devant les Chinois calculateurs qui semblent préférer attendre que l'ennemi (États-Unis) soit le plus faible. À bien des égards, la gestion de la situation ukrainienne par Poutine a été plusieurs fois plus efficace que la gestion par les États-Unis et l'Occident. Poutine a devancé l'Occident trop confiant dans le jeu même où ils sont champions - alimentant la contre-information, la désinformation et la désinformation pour arracher l'opinion mondiale en sa faveur. Avec des mensonges répétés exposés, personne ne fait confiance aux médias occidentaux maintenant. La carte de la manipulation des médias a été surjouée. Poutine exploite cela pour semer la confusion autour de l'implication russe en Ukraine.
  
  
In contact 593 from August 2014 we read:
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Au contact 593 d'août 2014 nous lisons :
  
 
<code>'''Billy''' In der Ost-Ukraine gibt es immer noch keine Ruhe mit den Separatisten, wie auch nicht im Nord-Irak mit der ISIS-Verbrecherbande. Du hast gesagt, dass in bezug auf die Ost-Ukraine in Russland Freiwilligen-Trupps aufgestellt werden, die sich den Separatisten anschliessen und gegen die reguläre ukrainische Armee kämpfen, wobei natürlich auch Zivilisten getötet werden. Im Nord-Irak wüten die ISIS-Mörder, ermorden massenweise Zivilisten und Andersgläubige und wollen einen Gottesstaat erschaffen, wobei auch Neu-Islamisten aus diversen nichtislamischen Staaten mitmischen.  
 
<code>'''Billy''' In der Ost-Ukraine gibt es immer noch keine Ruhe mit den Separatisten, wie auch nicht im Nord-Irak mit der ISIS-Verbrecherbande. Du hast gesagt, dass in bezug auf die Ost-Ukraine in Russland Freiwilligen-Trupps aufgestellt werden, die sich den Separatisten anschliessen und gegen die reguläre ukrainische Armee kämpfen, wobei natürlich auch Zivilisten getötet werden. Im Nord-Irak wüten die ISIS-Mörder, ermorden massenweise Zivilisten und Andersgläubige und wollen einen Gottesstaat erschaffen, wobei auch Neu-Islamisten aus diversen nichtislamischen Staaten mitmischen.  
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<Unofficial translation>
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<Traduction non officielle>
  
'''Billy'''  In the East-Ukraine there is still no rest with the separatists, as is not in North-Iraq with the ISIS gang of felons . The ISIS murderers cause havoc in North-Iraq, murder civilians and believers of other religions on a huge scale and want to create a god-state, whereby also New-Islamists from various non-Islamic states get involved.  
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'''Billy'''  Dans l'Est de l'Ukraine, il n'y a toujours pas de répit avec les séparatistes, comme ce n'est pas le cas dans le Nord de l'Irak avec la bande de criminels d'ISIS. Les meurtriers de l'ISIS font des ravages dans le nord de l'Irak, assassinent des civils et des croyants d'autres religions à grande échelle et veulent créer un État-dieu, auquel participent également des néo-islamistes de divers États non islamiques.
  
'''Ptaah''' Right. In the Eastern Ukraine not only the separatists exert terror, '''but also Russian military units''', as was already the case in the Crimea. Indeed, like in Crimea, this is contested by Putin, but it will not be long until the truth comes out...(snip)
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'''Ptaah''' C'est vrai. Dans l'est de l'Ukraine, ce ne sont pas seulement les séparatistes qui font régner la terreur, " mais aussi les unités militaires russes ", comme c'était déjà le cas en Crimée. En effet, comme en Crimée, ceci est contesté par Poutine, mais la vérité ne tardera pas à éclater...(snip)
  
 
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Putin has also successfully exposed the ultra-right wing Neo-Nazi nexus of the coalition that led the Euromaidan protests. A decade back, such Russian claims would have being totally ignored.
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Poutine a également exposé avec succès le lien néonazi d'extrême droite de la coalition qui a mené les manifestations d'Euromaïdan. Il y a dix ans, de telles revendications russes auraient été totalement ignorées.
  
  
Let's look at the three main parties that supported Euromaidan protests:
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Regardons les trois principaux partis qui ont soutenu les manifestations d'Euromaïdan : i) Parti de la Patrie - Centre-droit, Pro Europe, pro-OTAN ii) UDAR ou Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme - Pro Europe, en faveur d'un gouvernement moins puissant et d'une opposition forte -loi anti-corruption. iii) Svoboda – Ultra-droite, anti-minoritaire, anti-russe, anti-communiste et présumée pro-nazie.
i) Fatherland Party – Centre-right, Pro Europe, pro-NATO
 
ii) UDAR or Ukrainian Democratic Alliance for Reform – Pro Europe, in favor of a less powerful Government and strong anti-corruption law.  
 
iii) Svoboda – Ultra right wing, anti-minority, anti-Russian, anti-communists and alleged pro-Nazi.
 
  
  
Apart from these other ultra-right wing anti-Russian groups supported the protests:
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En dehors de ces autres groupes anti-russes d'extrême droite ont soutenu les manifestations : Volonté du peuple anciennement Souveraine européenne Ukraine – Formé à partir d'un ancien membre du parti de la patrie. Pro-Europe, intègre un important bras paramilitaire dans le parti. Secteur droit - un ensemble de groupes paramilitaires comme Trident, UNA-UNSO, Patriot of Ukraine, Social-National Assembly et White Hammer étant principal.
People's Will formerly Sovereign European Ukraine – Formed out of former member of fatherland party. Pro-Europe, incorporates a large paramilitary arm in the party.  
 
Right sector – a collection of paramilitary groups like Trident, UNA–UNSO, Patriot of Ukraine, Social-National Assembly and White Hammer being principal.  
 
  
  
Much of the violent protests were coordinated by the People's Wing and Right Sector.
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Une grande partie des manifestations violentes ont été coordonnées par l'aile populaire et le secteur droit.
  
  
The First Yatsenyuk Government formed after the 2014 revolution had substantial support from these neo-Nazi groups and ultra-right wing paramilitaries.  
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Le premier gouvernement Iatseniouk formé après la révolution de 2014 bénéficiait d'un soutien substantiel de la part de ces groupes néonazis et des paramilitaires d'extrême droite.
  
  
The second Yatsenyuk Government formed after 2014 parliamentary election, is led by Petro Poroshenko block of social democrat background (143 seats), non-partisan support from UDAR, People's Front – formed out of Fatherland Party (83 seats), newly formed Christian belief based Self Reliance Party (32 seats), with continued support from right wing paramilitary groups Radical Party (22 seats), People's Will (20 seats) and Economic Development (19 seats). Svoboda lost support in the second election, Right Sector shrinked largely, and also the fascist group White Hammer was expelled from the Right Sector. But even then, the ultra-right wing components like People's Will and Economic Development continue to be significant in the ruling coalition in bed with once centre-left Petro Poroshenko block and moderate UDAR.  
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Le deuxième gouvernement Yatsenyuk formé après les élections législatives de 2014 est dirigé par le bloc Petro Porochenko d'origine sociale-démocrate (143 sièges), le soutien non partisan de l'UDAR, le Front populaire - formé à partir du Parti de la patrie (83 sièges), nouvellement formé sur la foi chrétienne. Parti de l'autonomie (32 sièges), avec le soutien continu des groupes paramilitaires de droite Parti radical (22 sièges), Volonté du peuple (20 sièges) et Développement économique (19 sièges). Svoboda a perdu son soutien lors de la deuxième élection, le secteur droit a considérablement diminué, et le groupe fasciste White Hammer a également été expulsé du secteur droit. Mais même dans ce cas, les composantes d'extrême droite comme la Volonté du peuple et le Développement économique continuent d'être importantes dans la coalition au pouvoir au lit avec le bloc Petro Poroshenko autrefois de centre gauche et l'UDAR modéré.
  
  
Putin continue to have a firm grip on world opinion in his favour and over-achieved his goal of criminally painting the Ukrainian Government as an “entirely” Neo-Nazi group, while the truth is more complex, with only a minority of the current regime having Neo-Nazi link.
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Poutine continue d'avoir une emprise ferme sur l'opinion mondiale en sa faveur et a dépassé son objectif de dépeindre criminellement le gouvernement ukrainien comme un groupe "entièrement" néo-nazi, alors que la vérité est plus complexe, avec seulement une minorité du régime actuel ayant un lien néo-nazi.
  
  
No doubt the West called for this trouble and this loss. How would a hypothetical situation played out, if say Russia supported a pro-Russian Government in Mexico? Being provoked, Putin is behaving as his image is – of an “iron-man”. What the West is undermining - is that Putin is highly unpredictable. His sophisticated method will not remain so sophisticated if provoked, and NATO is ill prepared to defend Europe.
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Sans doute l'Occident a-t-il appelé à ce trouble et à cette perte. Comment se déroulerait une situation hypothétique, si par exemple la Russie soutenait un gouvernement pro-russe au Mexique ? Provoqué, Poutine se comporte comme son image est celle d'un « homme de fer ». Ce que l'Occident sape, c'est que Poutine est hautement imprévisible. Sa méthode sophistiquée ne le restera pas si elle est provoquée, et l'OTAN est mal préparée pour défendre l'Europe.
  
  
Moreover, the EU effort trying to surround Russia by assimilating countries like Georgia must stop to allow for Russia-Europe trust to grow.
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De plus, l'effort de l'UE visant à encercler la Russie en assimilant des pays comme la Géorgie doit cesser pour permettre à la confiance Russie-Europe de se développer.
  
  
From Contact 573 from March 2014:
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Depuis le Contact 573 de mars 2014 :
  
  
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<Unofficial translation>
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<Traduction non officielle>
  
'''Billy''' But I think it will be a long time because when I think of what Jmmanuel said that at the present time and also in the future the people will rise up against their authorities, as it first has happened in Ukraine and Crimea and continue to happen, then still much evil is to be expected. For my part, I think, that the whole unpleasant happening with respect to Ukraine, '''is the fault of the EU dictatorship toying with it, which is also fancying to incorporate the State in its dictatorship Union'''.  
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'''Billy''' Mais je pense que ce sera long, car quand je pense à ce que Jmmanuel a dit, qu'à l'heure actuelle et aussi à l'avenir, le peuple se soulèvera contre ses autorités, comme cela s'est produit d'abord en Ukraine et en Crimée et continue de se produire, alors il faut s'attendre à beaucoup de mal. Pour ma part, je pense que tout ce qui se passe de désagréable en Ukraine '''est la faute de la dictature de l'UE qui s'amuse avec elle, et qui veut aussi incorporer l'État dans sa dictature de l'Union.'''.  
  
'''Ptaah''' I also see it that way.  
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'''Ptaah''' Je le vois aussi de cette façon.  
  
'''Billy''' As I have said that the EU dictatorship Union is to blame, that in Ukraine the bloody unrest and subversive machinations have broken out.  
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'''Billy''' Comme j'ai dit que l'Union européenne dictatoriale est à blâmer, qu'en Ukraine les troubles sanglants et les machinations subversives ont éclaté.  
  
'''Ptaah''' That's right, and for my part I must say that your statement is correct, because the EU wants to forcibly spread in the East, as well as also it is trying to incorporate Switzerland in its dictatorship, whereby it wishes for the unreasonableness of the home/nation betraying elements, who make great efforts to sell their freedom and home, to the EU dictatorship for lies and power.  
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'''Ptaah''' C'est exact, et pour ma part je dois dire que votre déclaration est correcte, parce que l'UE veut s'étendre par la force à l'Est, ainsi qu'elle essaie d'incorporer la Suisse dans sa dictature, par laquelle elle souhaite la déraison des éléments trahissant la patrie/nation, qui font de grands efforts pour vendre leur liberté et leur patrie, à la dictature de l'UE pour les mensonges et le pouvoir.  
  
'''Billy''' We are not the only ones who know. See here, this article – if you want to read it please. Former German Chancellor Helmut Schmidt speaks in plain language, I can accept fully, for he says is exactly as what we both private already discussed.  
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'''Billy''' Nous ne sommes pas les seuls à savoir. Voir ici, cet article - si vous voulez le lire s'il vous plaît. L'ancien chancelier allemand Helmut Schmidt parle en langage clair, je peux l'accepter entièrement, car il dit exactement ce que nous avons déjà discuté en privé.  
  
 
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This is happening at a time when the IS presents a true challenge to “modernity” and so-called “free-thinking” that is universally cherished by the West. Even the democratic Façade of Russia, the totalitarian capitalist (by name Communist) regime of China and the corrupt chaotic dysfunctional democracy of India, that constitute the 3 pillars of BRICS, give their citizen freedom which is aeon separated from the fanatical IS ideology. If Putin and US/NATO allow Ukraine to be truly devoid of interference, and promote its neutrality, there will be an opportunity for US/NATO and Russia/China to unite against a common and real threat and battle against the fanatic IS where use of force has become unavoidable.  
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Cela se produit à un moment où l'IS présente un véritable défi à la «modernité» et à la soi-disant «libre-pensée» universellement chérie par l'Occident. Même la Façade démocratique de la Russie, le régime capitaliste totalitaire (appelé communiste) de la Chine et la démocratie corrompue et chaotique dysfonctionnelle de l'Inde, qui constituent les 3 piliers des BRICS, donnent à leurs citoyens une liberté qui est depuis longtemps séparée de l'idéologie fanatique de l'EI. Si Poutine et les États-Unis/l'OTAN autorisent l'Ukraine à être véritablement exempte d'ingérence et promeuvent sa neutralité, les États-Unis/l'OTAN et la Russie/la Chine auront l'occasion de s'unir contre une menace commune et réelle et de lutter contre l'EI fanatique où l'utilisation de la force est devenue incontournable.
  
  
As per new information from January 2015, Meier revealed that Abu Bakr Al Baghdadi is the third “Pied-Piper” in the turn of the new Millennium, first being George W. Bush, second being Bin Laden, the enemy of George W. Bush.
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Selon de nouvelles informations de janvier 2015, Meier a révélé qu'Abu Bakr Al Baghdadi est le troisième "Pied-Piper" au tournant du nouveau millénaire, le premier étant George W. Bush, le second étant Ben Laden, l'ennemi de George W. Bush. .
  
  
By trying to install democracies in countries not ready for it, especially in Iraq and Syria and by supporting hard lined bigot countries that provide tactic support to extremism, the US and EU shares the most responsibility in ridding the world of this menace, but nevertheless a solution involving Sunni nations in Arab world, Russia, and China will be smoother, more legitimate, balanced and usher in a new era of cooperation. Participation of Russia and China would open up further participation of other nations using Russian and Chinese weapons in a truly representative coalition. Furthermore no single nation can now really be expected to contribute thrice the number of IS combatants, roughly 300,000 personnel (now maybe more) for a full blown attack. The three multiplier is commonly used for an attacking army against strong defence, the more the better.
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En essayant d'installer des démocraties dans des pays qui ne sont pas prêts pour cela, en particulier en Irak et en Syrie et en soutenant des pays bigots purs et durs qui fournissent un soutien tactique à l'extrémisme, les États-Unis et l'UE partagent la plus grande responsabilité pour débarrasser le monde de cette menace, mais néanmoins un Une solution impliquant les nations sunnites du monde arabe, la Russie et la Chine sera plus fluide, plus légitime, équilibrée et inaugurera une nouvelle ère de coopération. La participation de la Russie et de la Chine ouvrirait une nouvelle participation d'autres nations utilisant des armes russes et chinoises dans une coalition véritablement représentative. De plus, on ne peut plus vraiment s'attendre à ce qu'une seule nation fournisse trois fois plus de combattants de l'EI, soit environ 300 000 personnes (maintenant peut-être plus) pour une attaque à grande échelle. Le multiplicateur trois est couramment utilisé pour une armée attaquante contre une défense solide,
  
  
It is to be noted that current US and European intervention failed to cause any significant impact on IS fighter strength. The IS is not a classical nation state that when faced with the death of a few thousand of it's own, will surrender fearing humiliation and destruction. IS will fight to death.
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Il convient de noter que l'intervention actuelle des États-Unis et de l'Europe n'a pas eu d'impact significatif sur la force des combattants de l'EI. L'EI n'est pas un État-nation classique qui, face à la mort de quelques milliers d'entre eux, se rendra par peur de l'humiliation et de la destruction. L'EI se battra jusqu'à la mort.
  
  
It is very easy to sit in comfort zone thinking that the current IS barely can outgrow Iraq and Syria and is in no match to the might of West and NATO, but then many other factors are to be taken into account. Firstly, Inaction by countries like Turkey and Saudi Arabia is making the situation complicated every day. Secondly, and more devastating contributing factor could be the the Ukraine crisis. if left uncontrolled, the Ukraine situation in itself presents a great danger that can consume the world. It can lit a matchbox that can in turn consume the US/NATO and Russia. A tired Europe will then find it 100 times difficult to contain IS.
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Il est très facile de s'asseoir dans sa zone de confort en pensant que l'EI actuel peut à peine dépasser l'Irak et la Syrie et n'est pas à la hauteur de la puissance de l'Occident et de l'OTAN, mais de nombreux autres facteurs doivent être pris en compte. Premièrement, l'inaction de pays comme la Turquie et l'Arabie saoudite complique chaque jour la situation. Deuxièmement, un facteur contributif plus dévastateur pourrait être la crise ukrainienne. si elle n'est pas maîtrisée, la situation en Ukraine présente en elle-même un grand danger qui peut consumer le monde. Il peut allumer une boîte d'allumettes qui peut à son tour consommer les États-Unis/l'OTAN et la Russie. Une Europe fatiguée aura alors 100 fois plus de mal à contenir l'EI.
  
  
The actors in charge of the Ukraine situation at least have the capability to “think” and which was sadly missing so far. If the “thinking” beyond ego is not done promptly, it will be much easier for truly “thoughtless” Baghdadi to become “Super Pied-Piper” and consume what will be left of a depleted and tired civilization in Europe with millions of armed and criminalised youth who will see then Baghdadi as a provider and fanatical Islam as a justification for their psychopathic murderous deeds. Southern and Eastern Europe will then be in an impossible position to defend against the zombie army of Baghdadi.
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Les acteurs en charge de la situation ukrainienne ont au moins la capacité de « penser » qui manquait malheureusement jusqu'à présent. Si la "pensée" au-delà de l'ego n'est pas faite rapidement, il sera beaucoup plus facile pour un Bagdadi vraiment "irréfléchi" de devenir un "Super joueur de flûte" et de consommer ce qui restera d'une civilisation épuisée et fatiguée en Europe avec des millions de personnes armées et des jeunes criminalisés qui verront alors Baghdadi comme un pourvoyeur et l'islam fanatique comme une justification de leurs actes meurtriers psychopathes. L'Europe du Sud et de l'Est sera alors dans une position impossible pour se défendre contre l'armée zombie de Baghdadi.
  
  

Revision as of 20:15, 28 February 2022

L'Ukraine joue un rôle important dans le commerce énergétique de la Russie. Le gazoduc ukrainien assure le transit de 80 % du gaz naturel que la Russie envoie vers les marchés européens, et l'Ukraine elle-même est un marché majeur pour le gaz russe. Sur le plan militaire, l'Ukraine est également importante pour la Russie en tant qu'État tampon et abritait la flotte russe de la mer Noire, basée dans la ville portuaire de Crimée de Sébastopol en vertu d'un accord bilatéral entre les deux États.


Les pays d'Europe centrale étaient assimilés à l'influence de l'UE et, par procuration, à l'OTAN. Poutine, alarmé par cela, a conçu une union douanière eurasienne forte comme tampon. Les États-Unis et l'UE savaient dès le début que la vision de Poutine d'une Union eurasienne forte reposant lourdement sur la participation de l'Ukraine et l'arrachement de l'Ukraine à la sphère russe porterait un coup dur au rêve de Poutine et perturberait également l'approvisionnement en gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine.


Alors, comment la situation actuelle en Ukraine se situe-t-elle dans le contexte de l'influence géopolitique des États-Unis, de l'OTAN et de la Russie en Ukraine ? Contrairement à la croyance populaire, l'intervention américaine en Ukraine pour former un gouvernement pro-occidental date d'au moins une décennie. Avant les élections de 2004, le gouvernement américain, par l'intermédiaire de l'Agence américaine pour le développement international (USAID), a accordé des millions de dollars à l'Initiative de coopération Pologne-Amérique-Ukraine (PAUCI), qui est administrée par Freedom House, basée aux États-Unis. PAUCI a ensuite envoyé des fonds du gouvernement américain à de nombreuses organisations non gouvernementales (ONG) ukrainiennes. Ces ONG étaient carrément en faveur d'un candidat – Viktor Yushchenko du Parti de l'Indépendance. Certaines de ces soi-disant ONG comprenaient le Centre international d'études politiques au conseil d'administration duquel Iouchtchenko était conseiller,


Lors des élections de 2004, Iouchtchnko a obtenu 39,90 % des voix contre 39,26 % pour Ianoukovitch. Selon le système ukrainien, un vote au second tour a été organisé puisque personne n'a obtenu 50 %. Au second tour, Iouchtchnko a obtenu 46,61 % des voix contre 49,46 % pour Ianoukovitch. Plusieurs observateurs étrangers et nationaux ont qualifié le second tour de manifestations injustes et massives, la soi-disant «révolution orange» a suivi. Une décision de justice ultérieure a annulé le deuxième tour et un troisième tour a eu lieu où Iouchtchnko a obtenu 51,99% des voix contre 44,20% pour Ianoukovitch et Iouchtchnko a été déclaré vainqueur. Le schéma de vote a indiqué une nette division géographique, l'Ukraine occidentale et centrale pro-européenne votant Iouchtchnko et l'Ukraine orientale votant Ianoukovitch, l'Ukraine occidentale et centrale étant principalement de langue ukrainienne et l'Ukraine orientale ayant des liens traditionnels avec la Russie et la langue russe.


Iouchtchnko, peut-être dans le but de renforcer davantage sa base pro-européenne (entre autres raisons évidentes), a intensifié sa rhétorique anti-russe. À un moment donné en 2009, le président russe Medvedev a adressé une lettre ouverte à Iouchtchnko faisant part de ses inquiétudes sur sa politique et sa rhétorique anti-russes. Les Russes craignaient d'avoir un État de l'OTAN à leur frontière avec 80% du contrôle de l'approvisionnement en gaz russe. Beaucoup pensent qu'à ce moment-là, les Russes ont réalisé qu'ils devaient faire quelque chose en Ukraine pour protéger leurs intérêts. Les élections de 2010 ont eu lieu et, après des élections coûteuses, Ianoukovitch a remporté les élections. Malgré l'affirmation de son principal adversaire Timochenko selon laquelle le second tour était injuste, Ianoukovitch est arrivé au pouvoir et a été soutenu par l'OTAN, l'UE, la Russie et tous les grands pays.


Ianoukovitch a déclaré que l'Ukraine ne ferait jamais partie de l'OTAN mais que l'OTAN serait un partenaire stratégique. Il a adopté une loi où il accepterait le russe comme deuxième langue d'État où les citoyens russophones sont 10% ou plus. Il a également renouvelé le bail russe de la base navale de Sébastopol en échange de gaz moins cher, au milieu des protestations. D'autre part, il a également promis de faire avancer une zone de libre-échange Ukraine-UE et des voyages sans visa. Jusqu'ici bon avec l'acte d'équilibrage.


Mais c'est lorsque Ianoukovitch a rejeté l'accord d'association avec l'UE et accepté une intégration plus profonde avec la Russie que des manifestations ont éclaté en novembre 2013. des rues bloquées, des bâtiments gouvernementaux encerclés ou occupés et peut-être une grève générale des travailleurs et des étudiants. Une carte a été publiée sur Facebook montrant aux supporters où mettre leurs véhicules pour gêner la circulation.


Viktor Ianoukovitch, qui suivait une voie médiane d'intégration avec l'Europe et de rétablissement des relations avec la Russie, a soudainement suspendu l'accord d'association Ukraine-Union européenne. Il s'est passé quelque chose qui a fait basculer Ianoukovitch. L'Ukraine avait demandé 27 milliards de dollars de prêts et d'aide. L'UE était disposée à offrir 838 millions de dollars de prêts. La Russie était disposée à offrir 15 milliards de dollars d'allégement de la dette et des prix du gaz au taux de 1/3. En plus de l'argent, l'UE a exigé des modifications majeures des réglementations et des lois en Ukraine. La Russie, cependant, ne l'a pas fait. En bref, Ianoukovitch s'est vu offrir une meilleure offre par Poutine, ce qui n'était pas seulement bon pour l'Ukraine à court terme, mais aussi pour Ianoukovitch.


La violence s'est poursuivie avec de nombreuses séries d'accords de paix ratés entre les deux. Ianoukovitch s'est enfui en février 2014 et le soulèvement de Crimée a commencé. Le 1er mars, le parlement russe a approuvé la demande du président Vladimir Poutine d'utiliser la force en Ukraine pour protéger les intérêts russes. Le président Poutine a également signé un projet de loi visant à intégrer la Crimée dans la Fédération de Russie. En mai, les séparatistes pro-russes de Donetsk et Louhansk ont ​​déclaré leur indépendance après des référendums non reconnus. En juin 2014, l'objectif principal d'assurer la sécurité de la région russophone étant largement réalisé, le parlement russe a annulé la précédente résolution parlementaire autorisant l'utilisation des forces russes en Ukraine. Peter (ou Petro) Porochenko du Parti des régions (PoR) a prêté serment en tant que président de l'Ukraine le même mois. En juillet, l'UE a signé l'accord d'association historique avec l'Ukraine. Le MH17 a également été abattu en juillet, prétendument par des séparatistes soutenus par la Russie dans le cadre d'un acte criminel.


La violence sporadique se poursuit à ce jour avec un nombre de morts supérieur à 5 000. Les sanctions et contre-sanctions ont blessé la Russie et l'Europe, tandis que les États-Unis, en raison de leur dépendance insignifiante au commerce russe, sont jusqu'à présent sortis indemnes en poussant les Européens désemparés contre la Russie.


Les deux parties (Russie et Ukraine/UE) se sont rendues coupables d'une mésaventure qui a conduit à l'escalade.

Dans une conversation téléphonique avec Geoffrey Pyatt, l'ambassadeur des États-Unis en Ukraine, qui a fait l'objet d'une fuite, Nuland s'est vanté que les États-Unis avaient investi 5 milliards de dollars pour « renforcer les compétences et les institutions démocratiques » en Ukraine.


Sergey Kaplin, un député de (Petro) Porochenko Block Rada a récemment déclaré à la télévision ukrainienne sur la guerre du Donbass : « Allons à la vérité. Qui a causé la situation à l'Est ? Quand ils disent "seulement Poutine", c'est une réponse très pratique. Mais ce n'est pas le cas ! Il a été causé par Iatseniouk (Premier ministre Arseniy Iatseniouk) et l'actuel chef du SDC (chef du comité de sécurité et de défense Aleksandr Turchinov) ».


Pendant 2 décennies, les agences occidentales ont été tellement utilisées pour faire face à une dictature dysfonctionnelle qu'elles n'ont pas réussi à résumer Poutine. Dépassée par une guerre bidon en Irak, suivie d'une chimère de démocratie pro-occidentale au Moyen-Orient, l'OTAN dirigée par les États-Unis était déjà inadéquate pour faire face à Poutine avant la crise ukrainienne. Poutine n'est pas Saddam, ni Assad et la Russie n'est pas l'Irak ou la Syrie. En fait, chez Poutine, l'ordre mondial actuel dirigé par les États-Unis fait face au plus grand défi devant les Chinois calculateurs qui semblent préférer attendre que l'ennemi (États-Unis) soit le plus faible. À bien des égards, la gestion de la situation ukrainienne par Poutine a été plusieurs fois plus efficace que la gestion par les États-Unis et l'Occident. Poutine a devancé l'Occident trop confiant dans le jeu même où ils sont champions - alimentant la contre-information, la désinformation et la désinformation pour arracher l'opinion mondiale en sa faveur. Avec des mensonges répétés exposés, personne ne fait confiance aux médias occidentaux maintenant. La carte de la manipulation des médias a été surjouée. Poutine exploite cela pour semer la confusion autour de l'implication russe en Ukraine.


Au contact 593 d'août 2014 nous lisons :

Billy In der Ost-Ukraine gibt es immer noch keine Ruhe mit den Separatisten, wie auch nicht im Nord-Irak mit der ISIS-Verbrecherbande. Du hast gesagt, dass in bezug auf die Ost-Ukraine in Russland Freiwilligen-Trupps aufgestellt werden, die sich den Separatisten anschliessen und gegen die reguläre ukrainische Armee kämpfen, wobei natürlich auch Zivilisten getötet werden. Im Nord-Irak wüten die ISIS-Mörder, ermorden massenweise Zivilisten und Andersgläubige und wollen einen Gottesstaat erschaffen, wobei auch Neu-Islamisten aus diversen nichtislamischen Staaten mitmischen.

Ptaah Richtig. In der Ost-Ukraine üben nicht nur die Separatisten Terror aus, sondern auch russische Militäreinheiten, wie das auch schon in der Krim der Fall war. Zwar wird das, wie in der Krim, von Putin bestritten, doch wird es nicht mehr lange dauern, bis die Wahrheit ans Licht kommt...(snip)

...

<Traduction non officielle>

Billy Dans l'Est de l'Ukraine, il n'y a toujours pas de répit avec les séparatistes, comme ce n'est pas le cas dans le Nord de l'Irak avec la bande de criminels d'ISIS. Les meurtriers de l'ISIS font des ravages dans le nord de l'Irak, assassinent des civils et des croyants d'autres religions à grande échelle et veulent créer un État-dieu, auquel participent également des néo-islamistes de divers États non islamiques.

Ptaah C'est vrai. Dans l'est de l'Ukraine, ce ne sont pas seulement les séparatistes qui font régner la terreur, " mais aussi les unités militaires russes ", comme c'était déjà le cas en Crimée. En effet, comme en Crimée, ceci est contesté par Poutine, mais la vérité ne tardera pas à éclater...(snip)

...


Poutine a également exposé avec succès le lien néonazi d'extrême droite de la coalition qui a mené les manifestations d'Euromaïdan. Il y a dix ans, de telles revendications russes auraient été totalement ignorées.


Regardons les trois principaux partis qui ont soutenu les manifestations d'Euromaïdan : i) Parti de la Patrie - Centre-droit, Pro Europe, pro-OTAN ii) UDAR ou Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme - Pro Europe, en faveur d'un gouvernement moins puissant et d'une opposition forte -loi anti-corruption. iii) Svoboda – Ultra-droite, anti-minoritaire, anti-russe, anti-communiste et présumée pro-nazie.


En dehors de ces autres groupes anti-russes d'extrême droite ont soutenu les manifestations : Volonté du peuple anciennement Souveraine européenne Ukraine – Formé à partir d'un ancien membre du parti de la patrie. Pro-Europe, intègre un important bras paramilitaire dans le parti. Secteur droit - un ensemble de groupes paramilitaires comme Trident, UNA-UNSO, Patriot of Ukraine, Social-National Assembly et White Hammer étant principal.


Une grande partie des manifestations violentes ont été coordonnées par l'aile populaire et le secteur droit.


Le premier gouvernement Iatseniouk formé après la révolution de 2014 bénéficiait d'un soutien substantiel de la part de ces groupes néonazis et des paramilitaires d'extrême droite.


Le deuxième gouvernement Yatsenyuk formé après les élections législatives de 2014 est dirigé par le bloc Petro Porochenko d'origine sociale-démocrate (143 sièges), le soutien non partisan de l'UDAR, le Front populaire - formé à partir du Parti de la patrie (83 sièges), nouvellement formé sur la foi chrétienne. Parti de l'autonomie (32 sièges), avec le soutien continu des groupes paramilitaires de droite Parti radical (22 sièges), Volonté du peuple (20 sièges) et Développement économique (19 sièges). Svoboda a perdu son soutien lors de la deuxième élection, le secteur droit a considérablement diminué, et le groupe fasciste White Hammer a également été expulsé du secteur droit. Mais même dans ce cas, les composantes d'extrême droite comme la Volonté du peuple et le Développement économique continuent d'être importantes dans la coalition au pouvoir au lit avec le bloc Petro Poroshenko autrefois de centre gauche et l'UDAR modéré.


Poutine continue d'avoir une emprise ferme sur l'opinion mondiale en sa faveur et a dépassé son objectif de dépeindre criminellement le gouvernement ukrainien comme un groupe "entièrement" néo-nazi, alors que la vérité est plus complexe, avec seulement une minorité du régime actuel ayant un lien néo-nazi.


Sans doute l'Occident a-t-il appelé à ce trouble et à cette perte. Comment se déroulerait une situation hypothétique, si par exemple la Russie soutenait un gouvernement pro-russe au Mexique ? Provoqué, Poutine se comporte comme son image est celle d'un « homme de fer ». Ce que l'Occident sape, c'est que Poutine est hautement imprévisible. Sa méthode sophistiquée ne le restera pas si elle est provoquée, et l'OTAN est mal préparée pour défendre l'Europe.


De plus, l'effort de l'UE visant à encercler la Russie en assimilant des pays comme la Géorgie doit cesser pour permettre à la confiance Russie-Europe de se développer.


Depuis le Contact 573 de mars 2014 :


Billy Das aber, denke ich, wird noch lange dauern, denn wenn ich daran denke, was Jmmanuel gesagt hat, dass in der heutigen Zeit und auch noch zukünftig die Völker gegen ihre Obrigkeiten aufstehen werden, wie es eben erst auch in der Ukraine und auf der Krim geschehen ist und weiter geschieht, dann ist noch viel Böses zu erwarten. Meinerseits denke ich aber dazu, dass das ganze Unerfreuliche in bezug auf die Ukraine die Schuld der EU-Diktatur ist, die damit liebäugelt, auch diesen Staat ihrer Diktatur-Union einzuverleiben.

Ptaah Das sehe auch ich so. Billy Da habe ich gesagt, dass die EU-Diktatur-Union die Schuld daran trägt, dass in der Ukraine die blutigen Unruhen und die umstürzlerischen Machenschaften ausgebrochen sind.

Ptaah Das ist richtig, und auch meinerseits muss ich sagen, dass deine Darlegung richtig ist, denn die EU will sich gewaltsam in den Osten ausbreiten, wie sie sich aber auch bemüht, die Schweiz in ihre Diktatur einzubringen, wobei sie auf die Unvernunft der heimatverratenden Elemente hofft, die grosse Anstrengungen unternehmen, ihre Freiheit und Heimat an die EU-Diktatur gegen Lügen und Macht verkaufen zu können.

Billy Wir sind nicht die einzigen, die dies wissen. Sieh hier, dieser Artikel – wenn du ihn bitte lesen willst. Der ehemalige deutsche Bundeskanzler Helmut Schmidt spricht darin Klartext, den ich voll und ganz befürworten kann, denn er spricht genau das aus, was wir beide privaterweise auch schon erörtert haben.

...

<Traduction non officielle>

Billy Mais je pense que ce sera long, car quand je pense à ce que Jmmanuel a dit, qu'à l'heure actuelle et aussi à l'avenir, le peuple se soulèvera contre ses autorités, comme cela s'est produit d'abord en Ukraine et en Crimée et continue de se produire, alors il faut s'attendre à beaucoup de mal. Pour ma part, je pense que tout ce qui se passe de désagréable en Ukraine est la faute de la dictature de l'UE qui s'amuse avec elle, et qui veut aussi incorporer l'État dans sa dictature de l'Union..

Ptaah Je le vois aussi de cette façon.

Billy Comme j'ai dit que l'Union européenne dictatoriale est à blâmer, qu'en Ukraine les troubles sanglants et les machinations subversives ont éclaté.

Ptaah C'est exact, et pour ma part je dois dire que votre déclaration est correcte, parce que l'UE veut s'étendre par la force à l'Est, ainsi qu'elle essaie d'incorporer la Suisse dans sa dictature, par laquelle elle souhaite la déraison des éléments trahissant la patrie/nation, qui font de grands efforts pour vendre leur liberté et leur patrie, à la dictature de l'UE pour les mensonges et le pouvoir.

Billy Nous ne sommes pas les seuls à savoir. Voir ici, cet article - si vous voulez le lire s'il vous plaît. L'ancien chancelier allemand Helmut Schmidt parle en langage clair, je peux l'accepter entièrement, car il dit exactement ce que nous avons déjà discuté en privé.

...


Cela se produit à un moment où l'IS présente un véritable défi à la «modernité» et à la soi-disant «libre-pensée» universellement chérie par l'Occident. Même la Façade démocratique de la Russie, le régime capitaliste totalitaire (appelé communiste) de la Chine et la démocratie corrompue et chaotique dysfonctionnelle de l'Inde, qui constituent les 3 piliers des BRICS, donnent à leurs citoyens une liberté qui est depuis longtemps séparée de l'idéologie fanatique de l'EI. Si Poutine et les États-Unis/l'OTAN autorisent l'Ukraine à être véritablement exempte d'ingérence et promeuvent sa neutralité, les États-Unis/l'OTAN et la Russie/la Chine auront l'occasion de s'unir contre une menace commune et réelle et de lutter contre l'EI fanatique où l'utilisation de la force est devenue incontournable.


Selon de nouvelles informations de janvier 2015, Meier a révélé qu'Abu Bakr Al Baghdadi est le troisième "Pied-Piper" au tournant du nouveau millénaire, le premier étant George W. Bush, le second étant Ben Laden, l'ennemi de George W. Bush. .


En essayant d'installer des démocraties dans des pays qui ne sont pas prêts pour cela, en particulier en Irak et en Syrie et en soutenant des pays bigots purs et durs qui fournissent un soutien tactique à l'extrémisme, les États-Unis et l'UE partagent la plus grande responsabilité pour débarrasser le monde de cette menace, mais néanmoins un Une solution impliquant les nations sunnites du monde arabe, la Russie et la Chine sera plus fluide, plus légitime, équilibrée et inaugurera une nouvelle ère de coopération. La participation de la Russie et de la Chine ouvrirait une nouvelle participation d'autres nations utilisant des armes russes et chinoises dans une coalition véritablement représentative. De plus, on ne peut plus vraiment s'attendre à ce qu'une seule nation fournisse trois fois plus de combattants de l'EI, soit environ 300 000 personnes (maintenant peut-être plus) pour une attaque à grande échelle. Le multiplicateur trois est couramment utilisé pour une armée attaquante contre une défense solide,


Il convient de noter que l'intervention actuelle des États-Unis et de l'Europe n'a pas eu d'impact significatif sur la force des combattants de l'EI. L'EI n'est pas un État-nation classique qui, face à la mort de quelques milliers d'entre eux, se rendra par peur de l'humiliation et de la destruction. L'EI se battra jusqu'à la mort.


Il est très facile de s'asseoir dans sa zone de confort en pensant que l'EI actuel peut à peine dépasser l'Irak et la Syrie et n'est pas à la hauteur de la puissance de l'Occident et de l'OTAN, mais de nombreux autres facteurs doivent être pris en compte. Premièrement, l'inaction de pays comme la Turquie et l'Arabie saoudite complique chaque jour la situation. Deuxièmement, un facteur contributif plus dévastateur pourrait être la crise ukrainienne. si elle n'est pas maîtrisée, la situation en Ukraine présente en elle-même un grand danger qui peut consumer le monde. Il peut allumer une boîte d'allumettes qui peut à son tour consommer les États-Unis/l'OTAN et la Russie. Une Europe fatiguée aura alors 100 fois plus de mal à contenir l'EI.


Les acteurs en charge de la situation ukrainienne ont au moins la capacité de « penser » qui manquait malheureusement jusqu'à présent. Si la "pensée" au-delà de l'ego n'est pas faite rapidement, il sera beaucoup plus facile pour un Bagdadi vraiment "irréfléchi" de devenir un "Super joueur de flûte" et de consommer ce qui restera d'une civilisation épuisée et fatiguée en Europe avec des millions de personnes armées et des jeunes criminalisés qui verront alors Baghdadi comme un pourvoyeur et l'islam fanatique comme une justification de leurs actes meurtriers psychopathes. L'Europe du Sud et de l'Est sera alors dans une position impossible pour se défendre contre l'armée zombie de Baghdadi.


References:

http://fortruss.blogspot.in/2015/01/yatsenyuk-and-turchinov-started-war.html

http://www.alternet.org/tea-party-and-right/us-backing-neo-nazis-ukraine

http://www.bbc.com/news/world-middle-east-26248275

http://www.figu.org/ch/verein/periodika/sonder-bulletin/2014/nr-82/593kontakt

http://www.figu.org/ch/verein/periodika/sonder-bulletin/2014/nr-80/587-kontaktgespr%C3%A4ch

http://www.figu.org/ch/verein/periodika/sonder-bulletin/2015/nr-86/leserfrage-ii

http://www.thedailybeast.com/articles/2015/02/03/isis-recruits-thousands-of-new-fighters-despite-u-s-bombs.html

http://theyflyblog.com/2014/11/28/the-only-way-to-stop-the-is/